Le chant millénaire des vagues Venant mourir sur les galets Jadis chevauchées par de fières nefs, Maintenant terrain de jeu Des cormorans et des mouettes, Ce chant éternel Nous dit, inlassablement : ‘‘L’homme n’est que de passage, Il va, il vient, il disparaît, Mais moi je reste, Éternelle gardienne des grèves Au-delà des temps.’’