Actrice Malgré Elle (Partie 01)

Amandine, essaya de regarder à travers ses paupières plissées, restant immobile malgré des petits tremblements incontrôlables. Étrangement, en sentant le textile glisser sur sa peau, elle se sentit bizarre, presque excitée.

Fabien ouvrit de grands yeux en découvrant d'aussi près le superbe corps qui se dévoilait à lui. Il n'avait pas voulu le dire à l'équipe de tournage mais il était toujours puceau et n'avait vu jusqu'à présent des femmes nues que sur Internet ou dans des films.

Oubliant les consignes d'Alexandre, il était tellement attiré par la jeune femme, qu'il ne put s'empêcher de poser sa main sur un des seins qui se soulevaient au rythme de sa respiration.

Amandine tressaillit en sentant le garçon toucher son globe de chair mais eut peur de réagir. Elle pensa à ce qu'elle risquait si elle fâchait le metteur en scène mais elle se rendit compte qu'il n'y avait pas que ça.

Elle resta immobile car elle aima cette main venant au contact de sa peau alors qu'elle était censée dormir.

Alexandre faillit interrompre le tournage mais en voyant la jeune femme rester de marbre, il fit signe à Paul de continuer de filmer. Il n'avait pas prévu de tourner des scènes trop érotiques aujourd'hui mais l'attitude passive de la fille changeait ses plans.

Le caméraman s'approcha lentement du lit alors que Fabien continuait à caresser le sein d'Amandine. Il était comme hypnotisé par ce corps somptueux et ne pouvait plus s'arrêter.

La jeune femme commençait à ressentir une chaleur inhabituelle dans tout son corps alors que le garçon qui la tripotait était celui qu'elle craignait le plus. Étrangement, elle se mit à oublier qu'elle était nue devant toute l'équipe de tournage et eut presque envie que cela continue longtemps.

Elle fut presque déçue lorsqu'elle entendit la voix de l'homme

- coupez, c'est dans la boîte

Elle ouvrit alors les yeux pour constater que le fils des propriétaires fixait étrangement sa poitrine et qu'il continuait à lui malaxer le sein alors qu'Alexandre avait demandé d'arrêter.

- Je crois que c'est fini, lui dit-elle

Il sortit d'un coup de sa léthargie et retira sa main comme s'il s'était brûlé.

- Pardon, je ne sais pas ce qu'il m'a pris.

En voyant le regard paniqué du jeune homme, Amandine lui sourit pour lui faire comprendre qu'elle ne lui en voulait pas.

Sophie s'approcha alors du lit et lui tendit son peignoir qu'elle enfila après s'être levé.

- Tu es très belle, lui souffla-t-elle.

- Merci

Finalement Amandine trouva que ce n'était pas la fin du monde si elle devait faire quelques apparitions nues dans le film. Elle se savait jolie et n'avait pas détesté cette première scène ou elle se montrait complètement déshabillée.

Le reste de la matinée, Alexandre lui demanda de faire du monokini près de la piscine pour quelques scènes qu'il n'était pourtant pas sûr de mettre dans le film.

Paul la filma également sur une chaise longue ainsi que dans l'eau, toujours observé de loin par Fabien qui ne la quittait plus du regard.

Ce fut vers midi que la voiture arriva avec à son bord le couple qui devait jouer ses parents. Philippe et Corinne devaient tous les deux avoir une quarantaine d'années mais elle trouva l'homme plutôt antipathique. Il avait un physique athlétique mais il avait un regard assez dur qui n'était pas très rassurant.

Pour ce qui était de Corinne, c'était une très belle femme et le courant passa tout de suite. Elle lui sourit en la voyant, lui faisant la bise comme si elles se connaissaient depuis toujours.

Elle avait enfilé un t-shirt juste avant qu'ils n'arrivent et elle resta ainsi vêtue pour passer à table. Elle se retrouva assise à coté de Corinne et sut en discutant avec elle qu'elle travaillait souvent avec Philippe.

- Et vous avez déjà bossé avec Alexandre?

- Tu sais, tu peux me tutoyer, on va passer quelques jours ensemble. Oui, j'ai déjà fait plusieurs films avec lui et on s'est à chaque fois bien amusé.

Amandine, voyant qu'elle avait l'air d'estimer le metteur en scène, n'osa pas lui dire qu'il l'avait en quelque sorte fait chanter pour qu'elle se déshabille.

- Mais toi, tu débutes, c'est ton premier film?

- Oui, j'ai juste fait de la figuration avec une de mes copines.

- Bienvenue alors parmi nous

- Merci. Mais je suis étonnée de ne pas avoir eu des scripts concernant le film même si j'ai un rôle muet.

La femme éclata de rire, faisant tourner la tête de tous les convives vers elle

- Avec Alexandre tu n'en auras jamais, il change d'idée en permanence

- Ah!

Corinne la regarda alors longuement, la mettant mal à l'aise.

- Je peux te poser une question, finit-elle par demander

- Oui bien sur.

- J'aimerais bien savoir ce qui t'a motivé pour faire ce genre de film. Moi c'était par vice, mais toi?

- Je ne comprends pas ta question.

- Qu'est-ce qui t'a poussé à vouloir jouer dans un porno

Amandine mit quelques secondes à vraiment comprendre ces quelques mots et devint toute blanche. Ce n'était pas possible, jamais personne ne lui avait dit qu'elle allait tourner dans ce genre de film. Tout se mit à tourner autour d'elle et elle n'entendit même pas la voix inquiète de Corinne qui lui demandait si ça allait.

Il lui avait demandé d'être nue mais rien de plus et elle se rassura en se disant qu'elle était censée être une mineure et donc d'être épargnée par des scènes de sexe.

- Ça va, Amandine, tu es toute blanche.

- Hein!

- Ça va?

La jeune femme ne voulait pas faire de scandale à table, préférant voir le réalisateur à part pour tirer les choses au clair. En voyant que tous les regards étaient tournés vers elle, elle sourit difficilement.

- J'ai dû prendre un coup de chaud près de la piscine.

- Tu te reposeras cet après-midi, je ne veux pas que ma petite starlette soit malade.

Ce fut Alexandre qui depuis l'autre bout de la table venait de lui répondre.

Pendant le reste du repas, Amandine n'arrêta pas de penser à la galère dans laquelle elle s'était fourrée. Elle avait envie de sauter dans sa voiture et d'aller le plus loin possible mais si la justice s'en mêlait, ses parents risquaient d'être au courant, surtout avec les images déjà enregistrées où elle était entièrement nue.

Après manger, elle alla tout de même s'allonger un peu, plus pour réfléchir que pour se reposer. Elle resta avec son bas de bikini et son t-shirt, de peur qu'une personne n'entre dans sa chambre.

Ce fut Sophie qui frappa à sa porte vers seize heures pour savoir si elle allait bien.

- On est tous inquiet et Alexandre m'a envoyé voir si ça allait mieux

- Ça va mieux, merci. Je dois aller le voir il est dans son bureau?

- Il est dans le bureau mais je peux lui dire de venir

Avant même qu'elle n'ait eu le temps de répondre, Sophie avait disparu. Quelques minutes plus tard, le réalisateur faisait irruption dans la pièce un sourire aux lèvres.

S'asseyant sur le bord du lit, il lui demanda.

- Tu veux me voir!,

- Oui, heu! A table Corinne m'a dit que c'était un film porno que tu faisais

L'homme éclata de rire.

- Je comprends mieux pourquoi tu étais aussi blanche au dîner. Je ne fais pas des films pornos mais plutôt des films érotiques. Il y a moins de scènes de cul et je suggère plus que je ne montre.

- Donc, je ne devrais pas faire l'amour!

- Juste un petit peu mais rien à voir par rapport à un film X

- Je suis obligée?

Alexandre lui mit la main sur la cuisse et avec un sourire enjôleur il lui dit.

- Si tu as peur que tes parents ou tes amis te voient tu ne risques rien. Mes films ne sont vendus qu'en DVD et ne sont jamais diffusés sur internet où à la télé. Tu ne risques rien a part prendre du plaisir.

- C'est ...

L'homme se leva et quitta la chambre, la laissant perplexe. Elle n'avait pas le choix mais en sachant qu'aucune de ses connaissances ne la verrait, elle fut tout de même rassurée.

Restant habillée de son bas de maillot et de son t-shirt, elle décida vers 17 h00 d'aller faire un tour. En passant près de la dernière chambre, juste avant de descendre l'escalier, elle stoppa dans le couloir en entendant des voix et des gémissements. La porte était entrebâillée de quelques centimètres et elle ne put s'empêcher d'y jeter un œil.

Elle sentit son cœur s'accélérer en découvrant la scène. La jolie Sophie était entièrement nue, à quatre pattes sur le lit alors que Bertrand le technicien la prenait par derrière et que Paul, sans sa caméra, était à genoux devant elle, son membre dans la bouche.

Elle subissait une double pénétration et paraissait aimer ça.

Bertrand lui tenait fermement les hanches et la prenait bestialement alors que son copain avait saisi la tête de la jeune femme pour mieux se faire sucer.

Amandine avait eu quelques petits copains jusqu'à présent mais jamais elle n'aurait pu imaginer une telle chose. En les voyant faire, une chaleur envahit son bas-ventre et sans vraiment s'en rendre compte, elle fit glisser ses doigts dans son maillot pour se caresser.

La scène qui se déroulait dans la chambre était à la fois barbare et extrêmement érotique et elle jalousa presque la petite assistante en voyant le plaisir qu'elle devait ressentir.

Elle fut étonnée, en insérant ses doigts entre les lèvres de sa chatte, de constater qu'elle était bien plus mouillée qu'elle ne se l'imaginait.

De voir ce corps être pris de façon si sauvage, les seins ondulants au rythme des coups de reins dans une posture de complet abandon, cela la mettait dans un drôle d'état.

La petite Sophie, si gentille, était en fait une vraie petite cochonne et cela l'excita.

Lorsque Paul se retira de sa bouche pour lui éjaculer sur le visage alors que Bertrand donnait des coups de reins de plus en plus violents, Amandine comprit qu'il valait mieux partir avant qu'ils ne la découvrent.

Elle était tout excitée en arrivant en bas des escaliers et essaya de se calmer de peur que cela ne se voie. Jamais elle n'aurait cru prendre autant de plaisir à jouer les voyeuses, elle qui se croyait irréprochable.

Elle trouva le reste de l'équipe autour de la piscine prenant cette demi-journée de repos au pied de la lettre. Fabien, en la voyant, lui fit un petit signe de la main qui fit très plaisir à la jeune femme.

Décidément, celui qu'elle craignait le plus s'avérait très gentil finalement.

Ne portant pas de haut de maillot sous son t-shirt, elle n'eut pas le choix pour se baigner. En retirant le vêtement, elle se retrouva topless pour le plus grand plaisir des hommes présents.

- Très jolie poitrine, la complimenta Philippe qui était allongé sur un transat. Je suis fier d'être ton père dans ce film.

- Merci

En voyant Amandine faire du monokini, les deux autres femmes, d'un commun accord, retirèrent elle aussi leur haut, laissant apparaître de jolis seins fermes pour Corinne alors que pour Éléonore, ils étaient plutôt gros et tombants.

- C'est la première fois que je vois ma femme les seins à l'air hors de la maison, dit étonné monsieur Calbri

- On suit l'exemple de la petite, répondit-elle en rigolant.

Finalement, la fin de l'après-midi se passa agréablement pour la jeune fille qui essaya de ne rien montrer en voyant Sophie, Paul et Bertrand les rejoindre un peu plus tard.

Le souper fut lui aussi détendu et lorsque vers 23h00, la jeune femme regagna sa chambre, elle n'avait plus aucune appréhension pour la suite de son séjour dans cette demeure. Elle s'était fait à l'idée de devoir donner de sa personne et l'acceptait depuis qu'elle avait surpris Sophie et les deux hommes. Maintenant qu'elle savait que personne ne verrait le film, elle avait beaucoup moins appréhension..

Il faisait très chaud et comme la veille, elle décida de dormir nue. Elle ne mit pas longtemps pour sombrer dans le sommeil et ne se rendit même pas compte de la visite de Fabien qui vint longuement l'observer en train de dormir. La lueur de la pleine lune éclairait suffisamment son corps nu pour permettre au jeune homme d'apprécier chaque courbe de son anatomie. Elle le mettait dans un drôle d'état et jamais encore il n'avait ressenti une telle chose, lui qui était surprotégé par ses parents.

****

En ouvrant les yeux, elle fut soulagée de constater qu'elle se trouvait seule dans sa chambre. Sur son réveil, il était 08h00 du matin et elle décida de prendre une longue douche avant de descendre déjeuner, vêtue de son vieux bas de survêtement reprisé à de nombreux endroits et d'un t-shirt pas mieux loti.

Alexandre et Bertrand étaient déjà en train de déjeuner et en la voyant faire irruption dans la pièce, le réalisateur ne put s'empêcher de faire une réflexion.

- Je ne savais pas qu'il y avait des SDF dans le manoir

- Très drôle, répondit la jeune fille.

- Tu sais que tu as un joli corps mais là tu n'envoies pas du rêve.

- Mais je suis à l'aise ...

Le réalisateur la regarda un moment avant de rajouter.

- J'ai pensé à une scène cette nuit et on va la tourner ce matin.

- Laquelle, demanda Amandine, à la fois curieuse et inquiète.

- Une scène d'inceste entre toi et ton père.

Le sang de la jeune femme se figea en entendant les paroles. Pas une minute elle n'aurait pensé à ce genre de scénario et ne sut plus quoi répondre.

Alexandre la fixa, s'attendant à un moment de rébellion et il fut surpris en la voyant sans réaction. Elle avait l'air d'accuser le coup mais paraissait accepter la situation.

- Ce sera soft, si ça peut te rassurer. On tournera dans la salle de sports que les Calbris ont aménagée au sous-sol.

- Une salle de sport? répondit la jeune femme d'une voix éteinte.

- Oui, et elle est plutôt bien équipée.

Après le petit déjeuner, Amandine retourna dans sa chambre en attendant que le réalisateur l'appelle. Elle était comme une condamnée surveillant par la porte de sa cellule l'arrivée du bourreau.

Elle essaya de se calmer, se disant qu'elle avait déjà eu des relations avec des garçons même si elle ne l'avait encore jamais fait devant une caméra.

C'est Sophie qui arriva avec des vêtements à la main. Il s'agissait d'un short moulant et d'une brassière conçue pour le sport.

- Normalement j'ai l'œil, ils doivent être à ta taille. Alexandre veut que tu prennes une douche avant, il est très à cheval sur l'hygiène, surtout que les rapports sont non protégés.

- Comment ça?

- C'est sans capote si tu préfères, c'est plus réaliste. Je viens te chercher dans une demi-heure.

La jeune femme n'attendit pas la réponse et laissa Amandine seule et complètement paniquée.

Essayant de se calmer, elle se lava longuement avant de s'essuyer consciencieusement puis d'enfiler les vêtements qu'avait emmenés l'assistante. Lorsqu'elle se regarda dans le miroir, elle ne put que constater qu'ils mettaient son corps vraiment en valeur.

Lorsque Sophie vint la chercher, Amandine était au bout de sa vie et elle suivit machinalement la femme sans dire un mot.

Elle découvrait seulement maintenant que le manoir possédait un sous-sol et elle fut agréablement surprise en découvrant tous les agrès de sport qui s'y trouvaient. Ça allait du vélo elliptique aux appareils de musculation en passant par des poutres ou barres parallèles.

Des tapis étaient posés le long d'un mur et la jeune femme, captivée par cette salle incroyablement équipée, en finit par en oublier la raison de sa présence ici.

C'est la vue du réalisateur et de son équipe qui rappela à la jeune femme ce qui l'attendait, surtout que son prétendu père patientait dans un coin, lui aussi habillé d'une tenue de sport.

Il ne l'avait pas encore vu de la matinée aussi s'approcha-t'il d'elle pour lui dire bonjour.

- J'attendais avec impatience que l'on tourne ensemble, lui dit-il après lui avoir fait la bise. Depuis que je t'ai vu j'ai trop envie de toi.

La jeune femme fut surprise par la franchise de l'homme et elle ne put s'empêcher de répondre

- Mais Alexandre n'a pensé à cette scène que cette nuit!

- Je le connais et je savais qu'il allait me trouver quelque chose de sympa. Tu vas voir tu vas adorer.

Amandine n'en croyait pas ses oreilles. Elle l'avait trouvé antipathique lorsqu'elle l'avait vu la première fois et là elle découvrait qu'il était en plus imbu de lui-même.

C'est alors qu'Alexandre intervint.

- Les enfants, voila comment je vois les choses. Amandine, tu fais du vélo d'appartement pendant que ton père te regarde. N'oublie pas que tu es muette, je ne veux pas t'entendre. Philippe, quant à toi, à un moment donné, tu t'approches d'elle et tu te mets à la caresser.

- J'ai carte blanche?

- Oui, par contre il faut faire croire que ce n'est pas la première fois qu'il y a un rapport entre vous et je ne veux voir dans vos attitudes que de l'envie ou de l'amour.

La jeune femme était stressée en montant sur le vélo, surtout en voyant Paul qui commençait à filmer. Heureusement, dans la salle il n'y avait que le réalisateur, le cameraman et Sophie qui était un peu en retrait.

Elle ne savait pas pourquoi, mais elle était heureuse que Fabien n'assiste pas à cette scène. Elle n'aurait pas aimé voir le garçon la regarder alors qu'elle se faisait prendre par quelqu'un d'autre.

Elle s'étonna de ses pensées, se demandant pourquoi ce garçon qu'elle n'appréciait pas lui faisait autant d'effets.

Elle commença à pédaler, essayant de faire le vide dans son esprit. Elle réalisa que c'était parti lorsqu'elle entendit la voix de Philippe.

- Ah! tu es la... je t'ai cherché partout.

Étant normalement muette, tout en continuant son effort, elle se contenta de tourner la tête vers don père pour lui sourire en essayant d'être naturelle.

- Quand je te vois comme ça, je te trouve magnifique

Tout en disant ça, il se mit à lui caresser le dos, glissant sa main sous le top.

Même si l'homme la rebutait, elle ne put s'empêcher de frissonner alors qu'elle essayait de ne rien montrer.

Le cameraman s'était positionné de l'autre côté du vélo pour faire des gros plans.

Philippe cessa de lui caresser le dos pour saisir le bas du vêtement afin de le lui enlever en le faisant passer par dessus la tête. Tout en pédalant, elle dut lâcher le guidon et lever les bras pour se laisser déshabiller.

Alexandre regardait la scène avec un grand sourire. En donnant carte blanche à son acteur, il savait qu'il ne serait pas déçu car il le connaissait bien. Généralement, avec lui, toutes les séquences se faisaient en une seule prise lui faisant économiser pas mal d'argent.

Amandine continuait à pédaler, les bras le long du corps et le torse bien droit. Elle était magnifique ainsi, les seins bien exposés à la vue de tous.

Elle poussa juste un petit gémissement lorsqu'une main puissante vint saisir son globe de chair, le pressant fortement.

- Tu es ma petite fille chérie et j'ai trop envie de toi.

L'homme la saisit alors comme si elle ne pesait rien et l'arracha du vélo. Elle faillit pousser un cri de surprise mais se retint à temps. Il la porta jusqu'à un gros tapis et elle se laissa allonger sans rien dire.

Étrangement, elle était plus excitée qu'elle n'avait vraiment peur et elle en oublia presque la caméra toujours dirigée sur elle. Elle se laissa faire lorsque Philippe lui glissa le short sur ses jambes pour la dénuder complètement. Machinalement, sans que son esprit ne le lui ait commandé, elle écarta les cuisses pour offrir sa vulve.

Alors que l'homme se redressait pour se déshabiller, Paul s'était approché pour faire un gros plan de la fille, s'attardant sur ses seins et son sexe. Ses jambes grandes ouvertes laissait son intimité exposé de la plus belle des façons.

Amandine frissonna lorsque l'homme enleva son short. Son membre en érection était bien au-dessus de la moyenne et elle sentit une vague de plaisir se diffuser en elle juste en admirant ce pieu de chair qui lui était destiné.

L'homme, excité comme rarement, lui qui avait pourtant eu des centaines de partenaires, s'allongea sur le jeune corps pour l'embrasser. La jeune femme, en sentant la bouche venir au contact de la sienne, adora ce baiser, oubliant de quel homme il provenait. Ce dernier était un professionnel et il savait comment faire pour donner du plaisir. Tout en en gardant ses lèvres contre les siennes, il se mit à la caresser ce qui n'était pas pour déplaire à sa partenaire.

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