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Incarcération en Prison

Dans ce récit fictif tout les personnes sont largement majeurs, l'histoire est totalement imaginaire et relève du fantasme et rien d'autre.

Pour public averti.

C'est ici l'une des prisons les plus dures et les plus fermées des Etats Unis situé dans un lieu sans adresse au Texas dans un endroit semi-désertique), qui abrite des détenus ayant commis des crimes et des délits particulièrement graves (crimes fortement médiatisés, ou impliquant des personnes importantes), ainsi que des célébrités condamnées pour des crimes de mœurs ou délits financiers, et des personnes arrêtées à l'étranger par les forces armées ou les services de renseignements pour des raisons politiques (terrorisme, atteintes aux intérêts américains). Ce centre de détention accueille des hommes et des femmes condamnés ou en détention préventive dans les cas exprimés ci-dessus.

Depuis la loi sur le Patriot Act sous la présidence Bush Jr, la détention provisoire pour terrorisme peut durer très longtemps (plusieurs mois) sans contrôle judiciaire. Ce complexe pénitentiaire de par sa discrétion (isolé au fin fond du Texas, sans accès aux médias) est donc aussi choisi pour accueillir des personnes soupçonnées d'être des "combattants illégaux". La section femme de la prison est remplie de femme célèbre, de criminelles jugées dangereuse, et d'une "combattante illégale" Nadia, arrêtée sur le théâtre de guerre irakien par les forces américaines, elle dispose de la citoyenneté double citoyenneté US et irakienne alors elle est en détention aux USA et non dans une prison militaire à l'étranger.

Les autorités ont décidé de la rapatrier et de la garder en détention pour plusieurs mois le temps de faire la part des choses et d'établir sa responsabilité. Elle est restée 75 jours incarcérée avant d'être libérée. Elle est la sœur d'un grand industriel irakien américain très recherché pour soutien à la rébellion. Elle est susceptible elle aussi de détenir des informations importantes et peut servir de moyen de pression sur son époux.

Elle a 32 ans, 1,64 m pour 55 kilos, elle est bien entretenue, brune, les cheveux brun raide long jusque aux épaules, la peau blanche légèrement nacrée, et de grands yeux noirs.

Nous reproduisons ici une partie de son témoignage sur ses conditions de détention :

Le voyage était très long, il a duré une vingtaine d'heures, ils m'ont transférée de Bagdad en Irak jusque au Texas, puis m'ont transporter dans une camionnette anonyme jusque dans une grande prison dans le désert.

Une fois arrivé, après les procédures d'identification, deux gardiennes, une blanche (Elisabeth Johnson) et une noire (Jenny Padilla) me place dans une petite salle utilisée pour fouiller les nouvelles détenues, elles m'ont ôter les menottes et m'ont dit de retirer tout mes vêtements et de les poser sur la table. Elles étaient fermes et m'ont rapidement expliquer qu'entre femmes il n'y a rien à cacher et que les fouilles corporelles et la nudité sont des choses très communes ici et que les détenues s'y habituent très vite, les femmes prisonnières ne peuvent rien cacher ici, et qu'elles useront de la force en cas de refus de coopérer de ma part.

La gardienne Padilla est très impressionnante, noire, grande, elle devait faire un bon 1.85 m pour au moins 80 kilos, que puis je faire face à elle avec mon 1.64 m et mes 55 kilos!? Elle a de larges épaules et à l'air d'avoir maté beaucoup de rebelles, il ne faut pas trop jouer la maligne avec elle.

L'autre surveillante est blonde, elle s'appelle Johnson Elizabeth, on l'appelle "Betty", elle a l'air froide et dure, blonde au cheveux court, 1.70 m, pour une soixante de kilos, elle reste plus costaud que moi et ressemble à une lesbienne très autoritaire. Elles portent toutes deux des uniforme de type militaire et des bottes, des rangers. Johnson tient toujours une matraque.

Par fierté sans doute mal placée vue la situation, je tente de protester. Mal m'en prit! Betty me donne quelques coups de matraques sur les fesses, pas spécialement fort, mais suffisamment intense pour me faire comprendre que devant cette redoutable épreuve, je n'ai pas d'autre choix que l'obéissance, car je sais qu'ils utiliseront la force et n'hésiteront pas à découper mes vêtements.

Je cède et me déshabille, je commence par y retirer mon hijab, que je portais lors de mon arrestation, je suis pas très très pratiquante, mais je respecte les traditions et les us et coutumes des Arabes, mon voile fait partie de ma culture et de mon identité et c'est la raison pour laquelle je le porte. Les gardiennes n'aiment pas du tout ce type de tenue jugées "obscurantiste", "sexiste" et elles m'avertissent qu'en prison ce n'est pas autorisé.

Elles me font aussi défaire mes longs cheveux noirs et ondulés, je dois donner mon élastique et ma barrette.

Puis j'enlève mes chaussures, une paire de tennis blanche de marque américaine et je passe à ma veste que je dépose sur la table, puis j'enlève mon abaya, une robe traditionnelle arabe noire avec des motifs colorés et décorés que je porte quand je suis dans mon pays.

"Tu n'es pas mal" me dit it la surveillante Jenny Padilla, je ne comprend pas pourquoi vous les femmes arabes et musulmanes ne vous montrez pas à un peu avec des vêtements plus osés serrés et court car tu es vachement canon, enfin ici tu apprendre à mettre ta pudeur de côté, retire maintenant le reste on t'a dit de tout poser sur la table, tout!

"La gardienne Padilla me dit "Tu sais en Amérique et plus précisément dans cette prison, nous accueillons des femmes de toutes origines : caucasienne, des hispanique, des afro-américaines, des asiatiques et quelques moyen orientale comme toi, et de toute religion (Chrétienne, juives musulmanes, boudhistes, shintoïstes, hindouistes, athées et.) "qu'elles passent toutes à poil devant nous sans aucune pudeur." Ce n'est pas facile d'être en petite tenue, mais devoir se présenter toute nue est affreux.

J'ai toujours des sous-vêtements sexy en dentelle, aujourd'hui, c'est du rose. Les gardiennes me disent que je suis sexy sous mon voile.On me crie "d'enlever mes chaussettes", je m'exécute et je leur remets et pose mes plantes de pieds sur le béton dur et pas très propre. Betty dit que j'ai de jolis pieds égyptiens, très féminins, et qu'elle les trouve appétissants avec mon vernis rose sur mes ongles des orteils, et qu'ici les femmes sont gardées pieds nus ou en sandales ouvertes en plastique.

Ensuite, un autre ordre claque: "Le soutien gorge et vite, si tu fais des histoires, on te l'arrache!" Me dit la noire.

Je me presse et leur donne rapidement mon soutif et me retrouve les seins à l'air devant ces deux femmes qui me signalent que j'ai des petits seins avec des tétons rose, et Betty lance à sa collègue "Je suis certaines que son petit anus est rose lui aussi et que sa chatte est poilue, je parie 25 dollars! Elle poursuit en disant que les femmes arabes ont des chattes non rasées. Padilla la noire accepte le pari et prétend que d'être aussi américaine m'a appris à m'épiler.

"Allez la culotte et que ça saute!" Hurle la gardienne Betty ajoute que je dois être "nue à 100 %".

Je retire mon dernier vestige de fierté et reste complètement nue devant elles. C'est vraiment humiliant de devoir se pencher et écarter les fesses pour que ces lesbiennes examinent mon anus avec une lampe torche. Elles ne m'épargnent rien et me font m'accroupir et tousser plusieurs fois et regarder si quelque chose sort de mes fesses ou de mon vagin. Elles ne perdent aucune miette de ce spectacle et me font aussi monter sur une table, m'allonger sur le dos et lever les pieds vers le ciel pendant qu'elles m'écartent les lèvres vaginales avec leurs doigts gantés, c'est fait de façon ignoble et impudique!

Elles me félicitent de m'épiler les organes génitaux moi-même.

Elles me contrôlent aussi les cheveux, les oreilles me douille dans la bouche, et même juste au plus profond de ma gorge. Elles me font lever les bras pour contrôler mes aisselles et me font soulever les seins, j'ai même droit à une palpation en règle, la gardienne Betty empoigne fermement chacun de mes seins et les malaxe avec force. C'est douloureux mais je ressens sa force.

Elles m'ont aussi placée contre le mur, et j'ai dû soulever mon pied droit et elles ont doucement contrôler ma plante puis ont écarté mes orteils vernis l'un après l'autre, puis elles ont fait de même avec mon pied gauche.

Betty me dit que je suis une Arabe vachement canon et qu'elle va aimer s'occuper de moi et me surveiller. Elles m'ont fait parader nue les mains sur la tête dans un couloir pour m'amener dans une salle de douche, La garde Padilla me pousse dans un coin contre le mur et saisit un tuyau d'arrosage et le braque sur moi pendant que sa collègue actionne le robinet et je reçois directement tout le jet d'eau tiède et fort dans le visage!

Elles me font tourner à poil sur moi-même pour me mouiller tout le corps, elles aspergent mes seins, mon ventre, mes aisselles, puis me font mettre à quatre pattes pour y exposer mes parties les plus intimes qui sont passées au jet, je sens l'eau rentrer dans mes fesses et ma chatte.Elles me savonnent ensuite de la tête aux pieds en me frottant partout en incluant ma chatte qu'elles ont masturbé énergiquement jusqu' à me faire ressentir un début de jouissance.

Ensuite, elles m'ont rincée et donné une serviette pour me sécher. Ensuite, nous changeons de décor, je suis transférée dans une autre pièce ou se trouve un grand fauteuil de style qu'on peut voir dans les salons de coiffure, je suis sanglée par les poignets et les chevilles. Puis mes genoux et ma poitrine sont attachés contre ce fauteuil et je ne peux plus bouger du tout.

Jenny et Betty avec un sourire narquois m'explique que j'ai droit à un "coupe réglementaire". Autrement dit : "La boule à zéro".

Je crie, je hurle et les supplie de me laisser au moins mes cheveux, c'est trop humiliant!

" Pitié, pas ça! Pas ma crinière!"

Elles prennent une paire de ciseaux et commencent leur horrible travail, elles coupent mes cheveux noirs mèches après mèches, et ils tombent sur le sol ou sur mon corps. Betty me demande avec un air cruel "Qu'est ce que ça fait de savoir que je vais être totalement tondue?"

Jenny ajoute "Quel massacre si tu voyais ce qu'on a fait à ta chevelure".

Puis elles passent la tondeuse électrique et me coupent la tignasse à 0,5 millimètres!

Tiens nous allons te remettre tes vêtements de prisonnières, enfin ... Juste une paire de sandales en plastique et une sorte de blouse d'hôpital ...

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