La future mariée participe à un con

- "Du calme chérie .....C'est sûr ...... Evidement vous paniquez .... C'est normal ... Par ailleurs Hank est un professionnel ......Il a déjà fait ça des douzaines de fois ......Et beaucoup de ces modèles étaient bien plus dévêtues!..... Si vous voyez ce que je veux dire! ......." lui répliqua Joléne surnommant Abe, Hank en cette occa-sion.

Elle ajouta alors :

- "J'ai toujours pris toutes les précautions ........J'ai amené une bou-teille de vin ...... Elle est dans mon sac avec le bouquet de fleurs avec lequel on vous photographiera ....."

- "Un verre de vin calme les angoisses, et facilite les choses ..... Au-riez-vous des verres? ......"

Avec une fiole contenant une solution de soda et le quart d'un comprimé de rohypnol, il serait aisé de contrôler la future mariée sans qu'elle s'en doute.

- "Ne vous tracassez pas pour ça Tiffany ... Cela ne durera que quelques minutes le temps que vous enfiliez votre robe de mariée ....."

Joléne mettait tout en oeuvre pour rassurer la petite salope.

Elle ne pouvait pas se permettre de la laisser changer d'avis, car alors, elle devrait rendre sa commission et le bonus à Abe, elle ne pourrait être tranquille à ce sujet que lorsque Abe aurait enfilé sa grosse bite noire dans la foufoune de la naïve jeune femme.

- "Allons dans votre chambre, nous assurer que rien ne cloche! ...... prenez les verres, je me charge du vin ......" intervint Joléne.

Alors que Tiffany ouvrait la voie, Joléne se rendit compte qu'elle devait avertir le photographe, elle ouvrit la porte et rugit :

- "Hank ..... on monte à l'étage ...... Amènes y ton équipement ....."

Une fois arrivé dans la chambre, Joléne vit la splendide robe de mariée suspendue à la porte, elle commenta :

- "C'est parfait on débutera la série par un cliché de la robe suspen-due à la porte!..."

-

A peine Tiffany avait-elle bu quelques gorgées du vin que Joléne lui avait versé, qu'elles entendirent des pas résonner dans l'escalier.

Joléne sortit pour guider le photographe, puis elle héla Tiffany :

- "Tiffany, .....Hank Morton, le propriétaire du studio ....."

Tiffany poussa un long soupir en voyant un colosse noir qui transportait l'équipement photo, Tiffany sentit un tremblement la parcourir des pieds à la tête, lorsqu'il lui tendit la main pour la saluer, elle dut se forcer pour répondre à son geste convivial.

Quelques secondes plus tard, elle agrippait le poigné de Joléne et l'atti-rait dans la salle de bain pour lui confier tandis qu'Hank installait le maté-riel :

- "Je ....Je ne pensais pas .....L'idée ne m'est jamais venue .....Que le photographe pouvait être noir ......."

Même si cela ne pouvait lui porter aucun préjudice, l'idée de se faire pho-tographier en petite tenue par un noir lui paraissait quasiment épouvan-table.

- "Du calme ....Du calme, ma douce!" répliqua Joléne d'uns voix douce, apaisante.

Elle avait constaté l'expression de peur qu'avait affiché le visage de Tif-fany lorsque Abe était apparu au fond du couloir, elle savait que la petite salope s'était effrayée en dehors de toute raison.

Tendant à Tiffany son verre e de vin elle lui murmura doucement :

- "Buvez encore un peu de vin ..... Cela calme les nerfs ...."

Et elle sourit à la vue de la tremblante jeune femme absorbant deux lar-ges rasade du breuvage.

Tout d'abord, Elle suggéra à Hank de prendre une paire de clichés de la robe suspendue à la porte, ce serait un bon début pour la série de pho-tos destinée au magazine. Puis de photographier ses hauts talons près du bureau ......et ses gants blancs ... et enfin le coussin sur lequel repo-saient les alliances des futurs! ....

Et tandis que Tiffany se calmait peu à peu sous l'influence du vin drogué, Joléne lui dit :

- "Ne t'inquiète pas de te montrer en sous vêtements, je me mettrai aussi en culotte et soutien-gorge le temps de t'aider à enfiler ta robe .........

-

-

Plus tard, Tiffany qui portait un pull et jean et des tennis s'empara de la robe de mariée qu'elle devait passer. Se retournant, elle enleva ses ten-nis se tenant en chaussettes blanches.

Abe était anxieux en voyant Joléne secouer la petite peste en lui intimant l'ordre de se changer.

- "Bordel quelle mignonne petite pute .... je suis impatient de la voir en petite culotte et soutien-gorge ..... J'ai la gaule rien que d'y pen-ser ....." pensait Abe ravi.

- " Bon sang Joléne a vraiment tiré le bon numéro .....Elle ne connait même pas mon vrai nom ....Elle est assez folle pour aller se plain-dre aux flics d'avoir été violée ......Qu'elle pensait qu'il s'agissait d'une classique séance de photos ....... Tout n'était que mise en scène ......" méditait Abe.

Le contrat ne comportait que le nom 'Studio des Enchantements", celui qu'Abe avait décidé d'employer ce jour là.

Le contrat qu'elle avait signé n'était qu'un faux relevant d'une compagnie imaginaire. Et, comme Joléne balancerait le portable utilisé pour cette petite comédie, la petite chérie serait vraiment stupide d'aller reporter tout cela aux flics!..... Gloussa-t-il hilare.

Dans la salle de bain, porte fermée, Tiffany se déshabillait nerveusement selon les directives de Joléne.

Elle se dépouilla de son jean, du pull et des chaussettes, en petite culotte et soutien-gorge, Tiffany tremblait d'inquiétude.

Selon les instructions de Joléne, elles avaient convenus de se comporter comme si elles n'étaient que toutes deux dans la chambre. Tiffany se ré-pétait encore et encore : que ce n'était qu'un mauvais moment à passer, mais que le jeu en valait la chandelle! ......

Sortie de la salle de bain, alors que Joléne l'assistait pour disposer le voile de mariée, Tiffany qui ne pouvait l'aider jeta un oeil sur le miroir et enregistra l'image du photographe.

Inspirant lourdement alors que la caméra émettait un bruit sec, Tiffany frissonna en voyant le foutu bâtard écarter sa jambe de pantalon, appa-remment pour soulager la tension de sa grosse pine qui bandait visible-ment.

Elle aurait aimé que Joléne s'aperçoive de l'excitation de ce bâtard, elle pensait que c'était la vue de son corps qui avait provoqué cette réaction primaire.

De fait, Abe brûlait comme l'enfer, il attendait impatiemment le moment où il pourrait allonger cette salope de blanche sur son lit pour la violer! ....

Mais il devait terminer la série de photo qu'il voulait vraiment présenter dans un concours.

Il avait déjà tenté l'expérience avec différents magazines, mais à chaque fois ses clichés lui avaient été renvoyés.

Abe espérait seulement que cette fois ils seraient retenus.

- "Il faut que je tire pas mal de clichés de cette ravissante future jeune mariée avant de me la faire .... " gloussa-t-il en lui-même.

Ils firent une pause alors qu'Abe rechargeait la camera, Tiffany prit le verre de vin que Joléne avait de nouveau rempli.

Elle en avala encore une large rasade, il lui semblait que son corps s'échauffait, reprendre la séance photo lui parut plus facile.

Tiffany craignait les prises de vue à venir, elle devait s'asseoir sur le re-bord du lit et devait rouler son bas sur ses cuisses.

Assise sur son lit, on lui demanda de jouer cette scène très lentement pour que le photographe puisse multiplier les angles de vue.

De fait il prit de nombreux clichés, mais c'était surtout pour son plaisir. En bon fétichiste des jambes, il savourait pleinement la vue de ses mol-lets galbés, de ses pieds cambrés de ses ongles manucurés, ces images lui provoquaient une érection démente.

Il prit sur lui, pour s'interdire de poser la caméra et d'aller lui caresser ses jambes si tentantes.

- "C'est l'enfer ces bas nylons ......Que j'aimerais sentir ses jolies jambes ivoires m'enserrer le torse" haletait-il fasciné.

-

-

Joléne voyait Abe haleter comme un chien en lorgnant les longues jam-bes sexys de la petite salope.

- "Il en bave d'envie! ....." elle secoua la tête incrédule en voyant à quel point la concupiscence le transformait.

Mais le comble survint lorsqu'elle l'entendit dire :

- "Bordel ....Il manque un peu de lumière ..... Il va falloir reprendre cette série ......"

Ce gros salaud allait faire reprendre la séance rien que pour lorgner à nouveau les jambes de la jeune beauté comprit-elle instantanément.

Ils reprirent donc cette scène qui voyait Tiffany rouler lentement ses bas nylons sur ses cuisses, Abe suait comme un porc.

Finalement, il prit quelques clichées de Tiffany ajustant la jarretière que le mari devrait jeter à la tête des célibataires, il termina la série sur Tiffa-ny lissant soigneusement ses bas..

Puis Joléne l'aida à ajuster sa robe, alors que Tiffany vidait son verre, il prit des photos de son anneau avant qu'elle n'enfile ses gants blancs.

Encore quelques poses avec son bouquet de fleur et aussitôt elle se re-mit sur pieds

Joléne aida une Tiffany éméchée à s'allonger sur le lit.

Pendant ce temps, Abe rechargeait à nouveau la caméra pour l'événe-ment principal, mettant deux nouvelles cassettes dans les caméscopes.

La drogue opérant son plein effet, Tiffany était comme court-circuitée, elle ne répondait même plus à Joléne qui la poussait du coude pour véri-fier son état de torpeur.

Abe tendit une caméra à Joléne, puis il se tint à coté du lit, il voulait être filmé se déshabillant tout à coté de la jeune future qui gisait dans sa robe de mariée, sur le lit profondément endormie.

Ne voulant pas tourner un film muet, la beauté droguée étant bien inca-pable de parler, Abe devait pourvoir seul au son.

Se dirigeant vers la tête du lit, il prit sa main gauche inerte, lui enleva son gant blanc et la posa sur son énorme trique.

- "Oahhh, gezzzzzzz ..... Putain ...... Sa main est aussi douce que le cul d'un bébé.......!" il se demanda brusquement si l'innocente jeune femme avait déjà branlé son futur.

- "Bordel son fiancé doit avoir un sacré bon boulot pour pouvoir lui offrir ce diamant! ....Regarde comme Il étincelle! ...." commenta Abe, le diamant étincelant posé sur son épais bourgeon.

-

Décidé à satisfaire son fétichisme, Abe prit place au pied du lit pour lui caresser le talon droit, faisant glisser légèrement sa main sur sa cheville et son mollet gainé de nylon.

Puis il retroussa sa robe dénudant ses longues cuisses et le fond de sa petite culotte de dentelle. Joléne qui filmait la scène depuis son début, lui conseilla :

- "Va de l'autre coté .....Tu veux la filmer descendant l'allée princi-pale dans sa tenue virginale, n'est ce pas! ....Alors ne l'avilit pas trop vite ... Elle risque de saigner .......Si elle est encore pucelle! ...... "

S'occupant d'une jambe, puis de l'autre Abe lissa les bas sur ses cuis-ses atteignant sa ceinture porte-jarretelles pour déclipser les attaches.

Il souriait aux anges tout en roulant langoureusement les bas sur les jambes ivoires de la jeune beauté.

Elle était maintenant jambes nues, Abe lui empoigna alors les chevilles et serra la plante de ses pieds sur sa hampe raidie les enduisant d'une larme de pré sperme luisant.

Puis il promena son visage sur ses jambes, léchant, embrassant et reni-flant ses flagrances intimes de la pointe des pieds à la fourche de ses cuisses.

- "Bordel ......Cette foutue salope sent drôlement bon ......" commen-ta Abe avant de lécher le fond de sa culotte.

Se retirant un peu pour la caméra, Abe léchouillait frénétiquement son fond de culotte odorant, le cache sexe était tout humide de salive et de secrétions intimes, le fond décoloré de la culotte serait clairement visible sur la cassette.

Puis, dans le but d'asticoter les futurs spectateurs, il quittant le fond de culotte il remonta jusqu'à la ceinture élastiquée de la blanche culotte, et commença, lentement à la mignoter nez à hauteur de sa toison.

Lui relevant le visage, Abe se débrouilla ensuite pour exposer son an-neau d'or à la caméra.

Puis il lui ôta sa fragile ceinture porte-jarretelles repoussa sa petite culotte soyeuse sur ses chevilles, lui enleva et lui écarta les cuisses en grand.

Enfin, il replongea entre ses cuisses se mettant vraiment à lui bouffer le gazon.

Joléne se rapprocha, prenant vue sur vue de la langue d'Abe s'enfouis-sant dans les muqueuses brillantes. Abe sentait les muscles vaginaux de la belle se crisper inconsciemment lorsqu'il tutoyait l'entrée de la ca-verne palpitante.

Bientôt son angélique petit corps répondit aux lubriques sollicitations, elle secréta épais jus qui vint détremper sa chatte embrasée.

Le menton luisant de secrétions Abe émergea finalement se pourléchant les babines, il se tourna souriant vers la camera commentant :

- "Bordel ....Délicieux ..... Bigrement mielleuse ... Un vraie chatte de pucelle ..... " et se prenant la bite bien en main face à la caméra, il annonça :

- "Et maintenant le salace Hank va dépraver cette ravissante jeune future mariée .... Peut-être gratifiera-t-il le futur d'un cadeau .....Hey, hey ... Un petit polichinelle noir dans le tiroir de sa tendre future ......."

Repoussant ses chevilles, Abe se mit en position, pointant son gros bourgeon écarlate au centre de la fente poisseuse.

Donnant un coup de rein vif il réalisa tout de suite que son étroitesse ne faciliterait pas son intromission.

- "Bordel ce qu'elle est étroite ......Elle va m'écorcher la bitte " s'ex-clama-t-il avec concupiscence

Il lui écarta alors les cuisses plus largement, lui relevant les genoux ta-lons de ses chaussures plantés dans les draps la maintenant en posi-tion, il lui agrippa les hanches et poussa fortement.

Mains accrochées à sa robe de mariée, Abe se cabra et d'un seul élan l'empala littéralement hurlant :

- "Oh Bon Dieu .....Qu'est ce qu'elle est étroite! ......C'est p&as Dieu possible....."

Le gland enfoncé dans la foufoune serrée, Abe se releva une nouvelle fois et lui agrippant toujours les hanches il se lança d'un coup de rein fu-rieux, déterminé à prendre possession de son corps.

- "Oahhhhhhhhhhhhhhhhh! ..." rugit-il l'empalant, puis il s'esclaffa :

- "Je sens quelque chose ...... Elle est bel et bien pucelle! .....La pe-tite chérie ... C'est un vrai régal maintenant ......Hank va te faire jouir maintenant qu'il t'a ravi ta fleur ......"

Se retirant encore, il se rua à nouveau à l'assaut annonçant fièrement :

- "Ca y'est .... Hank est le premier à s'enfoncer profondément dans cette chatte de pucelle ... C'en est bien fini de son pucelage ......"

Il se retira alors à l'orée de sa chatte exposant clairement la trace san-glante sur sa bite et le jus épais, rougeâtre s'épanchant de sa chatte frémissante.

- "Oh ... Que c'est bon .....Dire qu'elle gardait sa fleur pour son futur mari! ....Lui dira-t-elle qu'elle s'est violer et dépuceler par un bâ-tard de nègre? ........." se marrait-il goguenardement en s'enfouis-sant à nouveau dans sa chatte frémissante.

- "Ough .......Ugh .....Ugh .......Ugh ......Ugh!........ " grognait Abe, chaque fois qu'il s'enfouissait dans sa chatte pantelante alors qu'il sentait ses couilles vibrer, proches de l'explosion, il gémit alors :

Il allait de plus en plus vite, la pilonnant furieusement

- "Bordel ... Je jouis .....Je lui jute dedans ......Ahhhhh ...... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! ..." gémit-il sourdement lui inondant l'utérus de sa chaude semence.

- "Oahhh ...... Ca y'est je jouis .......J'ai la bite toute sanglante après lui avoir cueilli sa fleur ...... C'est son mari qui va être choqué le soir de la nuit de noces .....Surtout s'il espérait la dépuceler ......" rigolait Abe.

Il empoigna ensuite la petite culotte de la belle et s'en servit pour es-suyer les traces sanguinolentes marbrant sa queue.

Puis, sous l'oeil curieux de la camera il se pencha sur Tiffany et lui écar-ta largement les cuisses exposant sa chatte débordant d'un mélange de foutre et de sang virginal.

Ils tournèrent une nouvelle séquence de viol avec la beauté droguée, puis lorsque la bite d'Abe reprit de la vigueur il grimpa sur la couche en-fourchant le torse de la jeune femme.

Il releva le voile sur son visage tout en se branlant, puis il appuya du pouce sur son menton.

Sa bite palpitait déjà au contact de sa chaude haleine sur son gland. Elle entrouvrit ses lèvres charnues, Abe glissa alors sa queue dans sa bouche, savourant la délicieuse sensation ressentie au contact de sa langue.

Enfoncé de toute sa longueur dans sa bouche, Abe souriait triomphale-ment yeux rivés sur le visage de la jeune et infortunée future.

Il se branlait furieusement décidé à laisser de quoi se régaler dans la bouche de la jeune salope à son réveil.

- "Oahhhhhhhhhhhhh!........" grogna-t-il en giclant à gros bouillons dans sa bouche asservie.

S'arrachant alors, Abe éclata de rire en terminant son éjaculation sur son visage procédant ainsi à un traitement esthétique du plus bel effet.

Des heures plus tard, l'effet de la drogue disparaissant, Tiffany gémit, et grimaça elle était toute courbaturée.

Clignant des yeux, elle essaya de rassembler ses esprits, pour l'instant tout était très flou. Se redressant, Tiffany repoussa son voile de mariée qui recouvrait son visage.

Tentant de se remémorer ce qui s'était passé, Tiffany en revint à la série de photos en robe de mariée, mais cette séance était suivie d'un impor-tant blanc.

Elle frissonna, s'inquiètant de ce goût salé et gluant dans sa bouche. Déglutissant, elle frémit à l'immonde saveur qui explosa dans sa bouche, se demandant ce qu'elle avait bien pu boire ou grignoter.

C'est alors qu'elle découvrit que son voile était collé à la peau de son vi-sage, elle voulut se lever, quitter son lit, une douleur intense la fit crier :

- "Oowwwwwwwwww ....... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh!........".

Se remontant sur les coudes, elle haleta en constatant que sa robe était tirebouchonnée autour de sa taille, ses jambes nues.

Comme sa chatte était douloureuse, elle explora des doigts sa foufoune meurtrie.

- "Oh Mon Dieu ........Nonnnnnnnn ..." hurla-t-elle à la vue des traces sanguinolentes marbrant ses doigts.

C'est à ce moment qu'elle commença à réaliser ce qui s'était passé, que tout avait été réglé d'avance, qu'ils avaient prétexté d'un reportage photo pour venir la violer dans sa propre maison, sur son lit conjugal, dans sa robe de mariée.

Finalement réfugiée dans la salle de bains, Tiffany sanglota et a cria en constatant que c'était une substance blanchâtre ressemblant fort à du sperme qui retenait son voile collé à son visage.

Elle n'en avait jamais vu auparavant, mais elle avait suivi des cours d'éducation sexuelle au collège, par ailleurs ses soeurs de confrérie ly-céenne évoquaient cette substance lorsqu'une d'elle avait son corsage blanc maculé de taches semblables.

- "Oh Mon Dieu .....Ce goût salé et gluant dans ma bouche ....... Oh, Nonnnnnnnnn! ......Non seulement il a ravi ma virginité ... Mais ... En plus il a mis sa ... Sa bite dans ma bouche et ...Et ...Et il a éja-culé dans ma bouche ......Et sur mon visage!........" réalisa-t-elle horrifiée.

Incapable de rapporter à qui que ce soit son viol, elle dit à son fiancé qu'elle était malade lorsqu'il l'appela dans la soirée, Tiffany était ferme-ment décidée à ne révéler à personne son noir secret.

- "Comment ai-je pu être aussi naïve? ....." se demandait-elle.

Repensant à la somme promise, elle s'avisa alors qu'elle n'avait pas tou-ché le moindre fifrelin du salaire promis, il n'en avait résulté que l'ignoble viol de son corps.

Elle avait été si naïve de croire qu'on pouvait gagner aussi facilement de l'argent comme mannequin.

Quelques semaines plus tard, ils répétaient la cérémonie de mariage à l'église qui devait se poursuivre par un repas de mariage offert aux invi-tés dans un restaurant proche.

Juste au moment ou le coordinateur faisait signe de commencer la répé-tition, Tiffany se figea à la vue de Joléne pénétrant dans l'église suivie du photographe noir, caméra et trépied en main.

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