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La Naufragée

Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle et le viol. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

L'homme pousse la porte et entre. Le bruit des machines s'atténue lorsqu'il referme la porte derrière lui. La fille, une magnifique black, est là, assise sur le lit, résignée, juste avec un tee shirt de marin trop grand pour elle, elle a dit avoir dix-neuf ans mais elle aurait pu avoir entre dix-sept et vingt-et-un que l'on aurait pas fait la différence.

Les hommes l'on retrouvée sur une barque dérivant sur la mer, pas très loin des côtes, seule, les autres migrants ont été projetés à la mer par une tempête et vu l'état de la barque, il ne devait pas rester beaucoup de temps avant qu'elle ne sombre.

Comme c'est la nuit, le capitaine de ce cargo a décidé d'attendre le lendemain pour prévenir les autorités, mais voila...

Ils n'ont pas eu le temps de prendre du bon temps à l'escale, cela fait plus de deux semaines qu'ils n'ont pas vu de femmes. Une éternité qu'ils n'en ont pas vus une aussi jolie, aussi bien foutue, un vrai mannequin avec ses gros seins, son cul magique...

Un des hommes, a profité du petit matin, pour aller dans la chambre de la jeune femme pour la violer, par derrière, sans aucune douceur, la sodomisant comme il l'aurait fait d'une prostituée bien habituée à ce genre de pratique. À aucune moment il ne s'est soucié des hurlements de la jeune fille, totalement vierge de cet orifice. Comme des autres d'ailleurs.

Bien sûr les cris de la magnifique et très sexy black ont attirés le reste de l'équipage, qui ont surpris l'homme couché sur elle, finissant de jouir entre ses petites fesses ferme, pendant que la jeune femme sanglote, épuisée par ce qu'elle vient de subir, choquée.

Le vomit qui tache son lit, prouve l'horreur de ce qu'elle a vécu. Le sperme et le sang qui souillent ses fesses, ses cuisses, prouvent la violence, la méchanceté et la brutalité de ce viol. Les soubresauts que fait encore son corps, montre à quel point la jeune femme souffre encore, l'anus écartelé, atrocement fissuré.

Au début les hommes ont voulu le lyncher, mais c'est un de leurs copains marins, un des hommes qui vie sur le bateau en autarcie avec eux, en plus c'est un beau parleur, un meneur.

Il se défend, devant ses collègues, certains son en colère, d'autre sont plus envieux, jaloux.

-- Si on avait prit le temps d'aller au bordel au port ça ne serait pas arrivé dit-il regardant le capitaine droit dans les yeux.

-- Et c'est une raison pour violer une femme? Elle a droit à son bonheur! C'est peut-être une future chirurgien!

Le marin regarda la belle black, toujours allongée sur le ventre. Sa position n'a pas changée, on voit parfaitement son petit anus écartelé, éclaté, fissuré, qui se referme doucement; mais très difficilement de sa dilatation.

-- Tu parles répond le marin, tu sais comment elles finissent! La plupart, dans le meilleur des cas, comme putes. Les autres comme actrice dans un snuff horrible, ou un film zoophile sordide. Donc elle se fera enculer plus d'un millier de fois, alors avec nous ou d'autres!

-- Mais tu as vu son âge, même si elle est bien formée, avec des gros seins et un cul de fou, c'est une toute jeune majeure. Pour moi, une fille de dix-huit ans c'est encore une enfant!

L'homme ricane.

-- En tout cas je peux te dire que son cul m'a accueilli comme une grande, ça fait longtemps que je n'ai pas jouis comme ça, ni rencontré un trou-du-cul aussi serré! Je serais vous j'en profiterais, on a encore trois semaines de mer à tenir, si on ne baise pas rapidement, on va s'entre-tuer.

Les hommes commencent à se regarder, reluquant le cul vraiment défoncé de la fille.

-- Et on dit quoi après aux autorités, elle nous dénoncera!

-- On la garde sur le cargo, on ne dit rien à personne, ça ne vous dis pas d'avoir une petite pute à disposition? Une petite pute qu'on pourrait baiser sans payer, sans qu'elle puisse refuser quoi que ce soit?

-- C'est quand même dégueulasse dit le capitaine, mais il sent qu'il perd la partie, lui aussi, d'ailleurs, commence à regarder les fesses de la magnifique black.

Le violeur semble faire des émules, un autre renchérit :

-- De toute façon elle se serait noyée, on lui a sauvé la vie! dit un des autres marins en se caressant la bosse sur son pantalon. Alors elle peut être reconnaissante, moi le fait que ce soit un viol, ne me gêne pas, je dirais même que sa petite moule bien poilu ne me déplaît pas! Consentante ou pas!

Le capitaine regarde ses hommes, même si certains baissent les yeux gênés, la plupart ont déjà baisé des putes pas franchement consentante, dans les bordels des ports, la vue du petit cul d'une migrante de dix-huit ans, n'est pas très différent d'un cul d'une prostituée du même âge.

-- Moi je suis d'accord! Je n'en peux plus, j'ai les couilles qui vont éclater tellement elles sont pleine! dit un des hommes, il baisse, son pantalon exhibant un sexe déjà dressé.

Il s'approche de la jeune femme qui le regarde terrifiée.

-- Allez ma poulette au suivant! dit-il en s'agenouillant sur le lit.

La jeune black regarde le capitaine qui l'a sauvée de la mort quelques heures plus tôt, espérant une aide. Il regarde la jeune femme puis son équipage.

-- Comme vous voulez après tout, c'est la seule femme à bord, puis on doit absolument livrer notre cargaison à temps pour être payé. Si j'avertis les autorités on devra sûrement attendre une navette des gardes-côtes, et on perdra tout.

Il regarde la fille pendant que l'homme se positionne au-dessus d'elle. Il hausse alors les épaules, l'air de dire « désolé, mais tu va y passer. ». Son devoir c'est de livrer la cargaison. Le sort d'une future putain de port, au final, ne changera pas, soit elle ne sera baisée que par son équipage, soit elle sera baisée par tout les équipages de passage dans le bordel où elle échouera. Il se dit qu'il fait presque une bonne action en la cédant à ses hommes.

Il sort de la cabine avec plusieurs hommes, pendant que les autres regardent avec avidité ce corps féminin qu'ils ont désormais à disposition. La porte n'est pas refermée qu'il entend les couinements de la fille pendant que le second sexe s'enfonce entre ses fesses. Couinements qui deviennent rapidement des cris, puis des hurlements.

Cette journée là, la jeune femme est baisée et sodomisée plus d'une trentaine de fois. Une fois les premiers tabous passés, un troisième homme a encore enculé la jeune femme. Y allant très fort, dévastant tout sur son passage. Quand au quatrième il a retourné la belle black en pleurs, la mettant sur le dos, lui écartant les cuisses en grand.

Le sexe est poilu, mal entretenu. Par contre pour le vagin, l'entrée est minuscule, il pense à une déformation, car jamais il n'a vu une vulve aussi fine chez une femme. Il s'en moque, l'homme va se la taper, peu lui importe les dégâts qu'il va faire. Il a juste mouillé son gland avec de la salive, puis il s'enfonce dans le ventre de la fille, sans aucune pitié pour son pucelage. La jeune femme a hurlée, elle s'est débattue, en vain. Elle n'a pas pu éviter son viol, son dépucelage, ni la pénétration douloureuse et répétitive.

Il l'a violée longtemps, la pinçant, la mordant. Lui défonçant son sexe fragile et vierge jusque ici. Ensuite il à jouit en elle, dans son ventre fertile. Puis ils se sont succédé dans son ventre, entre ses fesses. Jouissant en elle, sur elle. Ils lui ont aussi pris son dernier pucelage, buccal. Défonçant également sa bouche, déformant sa gorge. Elle a servi de poupée à quasiment tous les hommes... Seul le capitaine, ainsi que le médecin de bord ne lui sont pas passé dessus. Les réfractaire ont rapidement oubliés leurs préjugés contre les rapports forcés, pour aller dans la cabine de la fille, se vider en elle, sur elle.

Finalement, à la fin de l'après midi, quand tous ont enfin fini de jouer avec elle, le médecin de bord a emmené la black à l'infirmerie. Elle n'est plus qu'une loque. Deux hommes ont été obligés de la porter, tant elle a mal au vagin au cul. Ses orifices dégorgent de semence, de sang. Elle est déchirée, fissurée, détruite. Le médecin lui fait prendre une douche. Elle suinte le sperme de partout, il l'aide à se laver. Il l'examine, elle est amorphe, incapable de s'arrêter de pleurer. Elle a découvert en une seule journée les instincts les plus bas des hommes.

La jeune fille a comprit de la plus dure des manières, qu'il n'y a aucune pitié à attendre d'un homme en érection. Même si la plupart des hommes se sont contentés de la baiser comme une poupée, certains ont pris plaisir à exiger le maximum de ses orifices, s'enfonçant à fond dans son corps, pourtant déjà maintes fois violés, sans se soucier des douleurs occasionnées.

Le médecin constate que si les orifices de la fille sont totalement dilatés, elle a aussi subit de multiples petites déchirures vaginale, ainsi qu'autant de petites fissures anale. Mais aucune déchirure ni blessure ne nécessitant son intervention. Cela va rendre très douloureux tout les futurs rapports de la belle black pendant quelques jours, mais aucun risque pour sa santé. Physique tout du moins, parce qu'en ce qui concerne la santé mentale de la fille...

Même si il n'a pas participé au viol collectif, il sent son sexe se dresser à la vue de la victime, nue, lavée, bandante. il fait asseoir la black sur le fauteuil.

Il déboutonne son pantalon en sachant qu'il brise un tabou pour lui. Son sexe jaillit déjà droit, la position est bonne. Il agrippa la tête de la jeune femme qui le regarde horrifiée face à ce nouveau viol qui s'annonce. Il pose le gland sur la bouche. La fille le regarde toujours, ses yeux s'emplissent de larmes, mais elle ouvre docilement la bouche. Pour sa première fellation, quelques heures plus tôt, on lui a pincé le nez pour qu'elle ouvre la bouche. La jeune black de dix-huit ans a même pris une gifle violente, parce qu'un des marins a senti ses dents. Alors elle a vite compris.

Le médecin pousse son sexe dans la bouche, sentant les lèvres autour de son pieu, la langue de la pute en dessous. Il savoure ce plaisir sans forcer, juste faire aller et venir son pénis dans cette douce grotte bien chaude, tout en tenant la femelle par la tête, en lui faisant faire un doux va et vient.

Il sentit son plaisir venir, tenant la tête de sa victime, il se vide longuement dans sa bouche en savourant son plaisir. Les putes n'aiment pas qu'on jouisse dans leurs bouches. Cette fille ne pourra jamais rien refuser, tous les désirs les plus pervers peuvent lui être faits sans aucun risque. Même s'il a trouvé la situation dégueulasse au début, comme tout les réfractaire au viol de la belle black, il commence à trouver la situation très excitante.

Il garde la tête de la fille, enfoncée sur son sexe qui ramollit jusqu'à ce qu'elle ait tout avalé. Il se retire alors, essuie son sexe dans les longs cheveux frisés de la jeune femme, il la fait ensuite s'allonger sur le lit de la cabine.

Quelques minutes plus tard le capitaine arrive dans son infirmerie. La jeune femme, terrassée par tout ce qu'elle a subit, à réussit à s'endormir. Elle dort dans le lit destiné aux malades. Le capitaine et lui sont les plus gradés du bateau, de véritables amis depuis des années.

-- Tu en penses quoi? dit le capitaine.

-- Je sais que c'est salaud mais ça reste une fille et on risque de ne pas tenir les hommes si on ne la laisse pas à disposition.

Le capitaine hoche la tête

-- Elle est quand même bien jeune. Elle n'a que dix-huit ans, il y a peu c'était encore une ado. Vivre ça, sa vie d'adulte à peine commencée...

Le médecin sourit

-- Tu sais je me suis fait sucer la bite tout à l'heure, crois-moi tu ne vois pas la différence avec une vraie pute sauf qu'elle est plus fraîche! dit-il en riant.

-- Et elle va le supporter comment? Je veux dire physiquement?

-- Ça va aller, elle a du se faire baiser et enculer une quinzaine de fois dans chaque trou, si il y a des dégâts, elle n'a pas été trop déchirée, donc elle peut servir. Après je te cache pas, ce sera très douloureux pour elle, mais sans risque pour sa santé.

Le médecin fait une pause. Il reprend :

-- Pour tout te dire, elle pourra même avoir des enfants, elle est fertile, ils n'ont pas abîmés son utérus... Après mentalement, comme physiquement, cela va être très éprouvant pour elle, un être humain féminin n'est pas fait pour se faire violer toute la journée par trente marins en rut.

Le capitaine réfléchit aux paroles du médecin quelques secondes.

-- De toute façon elle se serait noyée. Reprend le capitaine.

Il reprend l'excuse du premier matelot violeur. Il regarda la fille. Le médecin retire le drap montrant la black nue. Le capitaine la regarde d'un air envieux. Même abîmé, avec des traces de morsures, de griffures, de doigts, son corps est merveilleux. Avec ses seins fermes, son ventre plat, son corps est un appel au sexe, au viol. Son beau visage est envoûtant. On dirait un mannequin, le style de femme, que lui et son équipage ne voient que dans les magasines ou à la télé. Alors en avoir une à bord, disponible...

-- C'est vrai que c'est tentant, moi non plus je n'ai pas baisé depuis trois semaines dit-il.

-- Te gêne pas dit le médecin je lui ai donné une douche. Elle est propre de partout.

Le capitaine se masse le sexe.

-- Tu veux que je te laisse?

-- Non, tu peux rester.

Le capitaine baisse son pantalon et son caleçon, il bande déjà dur.

-- Si tu veux aller plus profond encules-la, mais si tu veux tâter un orifice étroit, elle a la moule encore bien serrée, c'est assez rare pour ne pas en profiter. Surtout que vu ce qu'elle prend, cela ne va pas durer longtemps.

-- Je crois que je vais la baiser dit-il regardant la femme sur le lit.

Il monte sur le lit réveillant sa futur victime. Il lui écarte les cuisses. Elle le regarde, vaincu d'avance, voulant éviter toute violence, elle ne proteste même pas. La belle black est déjà résignée. Tant d'hommes se sont déjà succédé dans son corps pendant plusieurs heures, qu'elle a compris. Céder, c'est éviter des douleurs inutiles qui n'empêcheront pas son viol. Elle grimace juste quand le gland écarte son sexe tuméfié, mais elle se laisse pénétrer sans trop crier, ne pouvant pas contre pas s'empêcher de pleurer.

-- Putain que c'est bon! dit le capitaine en s'enfonçant et en regardant le médecin, je n'ai jamais baisé de salope si étroite!

-- Et encore elle a beaucoup servi depuis son arrivée. dit le médecin, ça devait être un régal de la dépuceler, j'envie le premier marin qui a eu l'idée.

Le capitaine baise maintenant la nouvelle putain à grand coups de reins, lui aussi est en manque, il profite maintenant de ce jouet tout neuf sans aucun scrupule. Il se cambre bientôt, s'enfonçant le plus possible, arrachant un cri de douleur à la femelle Il jouit longuement au fond du vagin puis se retire laissant la black amorphe, les cuisses écartées. Déjà son sperme, légèrement rosé par le sang de ses déchirures s'écoule du corps de nouveau profané.

Il bande encore, il la retourne sur le ventre. Elle se laisse faire comme une poupée gonflable vivante. Elle serre les dents quand il se couche sur son dos, ne voulant pas lui faire le plaisir de ses hurlements. Mais quand il entre en elle, quand son gland force son anus dévasté, la jeune femme ne peut s'empêcher de crier, tant la douleur lui vrille les entrailles.

Cette fois, son viol ne termine pas en cinq minutes. Il profite du trou-du-cul de la fille. Prenant son temps, savourant son étroitesse. Si il n'est pas violent, il n'a aucune pitié pour elle. La jeune femme n'est plus qu'un morceau de viande servant à donner du plaisir. Une fois fini, il se nettoie rapidement le sexe dans la bouche de la fille. Il se rhabille ensuite.

-- De toute façon on aura du mal à s'en passer maintenant il va falloir qu'on trouve une cabine à cette petite pute. Mais pour l'instant laissons-la à l'infirmerie, sous ta garde qu'elle puisse récupérer un peu.

La nouvelle putain passe la nuit à l'infirmerie. Le matin le médecin lui porte à manger, il pose le plateau à coté du lit, puis il baisse son pantalon, son sexe est déjà dressé impatient. Il se positionne devant la bouche de la fille, appuyant son sexe sur les lèvres jusqu'à ce qu'elle ouvre sa bouche!

Il tient la tête de sa victime, tout en faisant un doux va et vient, son sexe serré par les lèvres de la jolie femelle. Il se cambre et jouit de longues traînées de sperme dans la bouche de la salope, qui est obligée d'avaler, la tête tenue fermement.

-- Voila le début de ton petit déjeuner dit-il, se rhabillant. Maintenant mange ma chérie, tu vas avoir besoin de forces, tu as beaucoup de rendez-vous dans ta journée. Il dépose le plateau sur le lit et s'en retourne à son bureau.

La jeune black reste deux ans sur ce cargo. Avant d'être revendu une bouchée de pain à un bordel sordide. Ayant prit l'habitude d'avoir une pute à bord, le capitaine rachète à un passeur, pour un peu moins que le prix de la vente de la black, une jeune et belle syrienne de dix-huit ans. Totalement vierge elle aussi. Elle subit le même sort que la fille précédente, devenant une putain de bord. Tout les deux ans, le capitaine et son équipage change de fille. Avec toutes ces guerres, ce n'est pas la marchandise féminine, belle et à petit prix, qui manque.

La black quand à elle, à eut deux bébés, un garçon et une fille. Le médecin de bord se transformant pour l'occasion en obstétricien. Les deux enfants ont été revendus séparément, à une organisation chargée de trouver des enfants à de riches familles stérile. Ils ont tout deux, une très belle vie, dans le bonheur et l'opulence. Croyant leurs mère décédée lors de l'accouchement, aucun des deux n'a jamais appris ce qui lui est vraiment arrivée.

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