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La Voie d'Isabelle : Ch. 04

Quelques Achats

Depuis ce jour, Isabelle vient régulièrement passer ses samedis après à la maison. Dès son arrivée, elle se met nue. Elle ne garde que ses bas et son porte-jarretelle. Elle commence toujours par venir mon sexe avec sa bouche et ensuite, nous baisons. Je l'ai prise dans toutes les pièces de la maison. J'ai jouis dans tous ses trous, sa chatte, sa bouche et son cul. Elle aime cela, je le vois à ses réactions : elle crie fort mais elle mouille aussi beaucoup.

Depuis que je peux communiquer avec Isabelle par des textos, mon emprise se fait plus pressante. Il est évident que, pour la protéger, je ne lui écris pas lorsqu'elle est au lycée mais je me permets de lui envoyer des messages lorsqu'elle est chez elle, qu'elle soit seule, avec son mari ou des amis. Il est de son devoir de gérer ces échanges épistolaires. Je lui ai également demandé d'installer une application qui me permet de savoir à chaque instant où se trouve son téléphone.

C'est ainsi qu'en ce dimanche matin, je me rends compte qu'elle se trouve sûrement à la brocante qui se déroule dans la commune voisine. Je décide d'aller voir si je peux dénicher quelques objets intéressants et si par chance, je croise Isabelle, je me ferais un plaisir de la saluer.

***

Je trouve une place sur le parking derrière l'église. Selon son téléphone, Isabelle se trouve toujours là, de l'autre côté de la brocante. Je marche lentement en regardant les objets exposés. Je m'arrête devant un bouquiniste et achète un livre de photographies érotiques dont la couverture est illustrée par une femme nue à genou aux pieds d'un homme debout devant elle. La foule n'est pas trop dense et je finis par la repérer de loin. Elle est avec son mari. Je m'approche et je feins la surprise.

— Isabelle! Toi, ici!

Puis, je regarde vers son mari.

— Je suis ravi de vous rencontrer, Isabelle m'a beaucoup parlé de vous! Puis-je me permettre de vous offrir un café?

Son mari a l'air étonné, mais il ne dit rien et nous nous dirigeons vers un petit bar, y entrons, nous nous attablons et je commande trois cafés. Isabelle explique à son mari comment nous nous connaissons.

— Hervé et moi, nous nous voyons régulièrement. Il est le responsable du laboratoire que je fais visiter à mes élèves de terminale. Il nous accueille toujours avec gentillesse et il répond à toutes les questions de mes lycéens, de plus il en prend aussi régulièrement en stage d'observation. Hervé, je te présente Paul, mon mari. C'est vraiment une surprise de te rencontrer sur ce marché! Je t'inviterai un jour à la maison pour dîner, tous les trois!

— Ce sera un plaisir pour moi! Je viendrais avec plaisir!

Voilà, les présentations sont faites. Tout en buvant le café, nous parlons de la pluie et du beau temps. Je regarde aussi Paul, il est bien plus âgé que moi, assez dégarni, cheveux gris. Je remarque aussi un petit ventre. Isabelle a une tenue très décontractée, on voit qu'elle ne travaille pas. Elle porte une sorte de combinaison qui moule son torse. Je trouve même que ses seins sont mis en valeur, elle ne doit pas avoir de soutien-gorge. On devine qu'ils sont naturels, en forme de poire, avec des bouts durs qui sont apparents. Dans mon pantalon, elle ne me laisse pas indifférent. Si elle savait!

Je remarque les regards de Paul vers le livre que j'ai déniché. Je le sens curieux, attiré, trouble, interrogatif mais ne sachant pas comment aborder le sujet.

— Vous savez, lui dis-je. Je suis un passionné de photo, et photographe amateur! Et qu'y a-t-il de plus beau que le corps d'une femme, magnifié par la lumière! Le jeu des ombres sur ses courbes nues! Un de mes photographes préférés, hélas dénigré aujourd'hui car il avait tendance, à ce qu'il paraît à profiter un peu trop de ses jeunes modèles, savait jouer avec la lumière, les flous et les voiles de dentelle... Si vous voulez avoir un aperçu de mes photos, il y en a quelques-unes exposées au salon d'art de mon village...

Je regarde Isabelle en disant ces mots et j'ajoute :

— Je suis certain qu'Isabelle ferait un très bon modèle!

Je finis mon café attendant leur réaction.

— Vous savez, moi aussi j'aime la photographie, les paysages surtout mais aussi ma femme, j'ai de nombreuses photos d'elle.

— Arrête Paul! Tu parles trop.

— Excuse-moi Isabelle! Mais quand je te photographie, tu sembles pourtant apprécier.

Je sens une gêne au niveau du couple, je n'insiste pas mais le sujet de la photographie est lancé et je le reprendrai une autre fois.

Après cette pause, nous repartons, chacun de son côté.

***

Le lendemain, je demande à Isabelle de me rejoindre à la brasserie pour le déjeuner. Elle a une nouvelle fois une jupe qui s'arrête au-dessus du genou, ainsi qu'une veste boutonnée. Dans le coin tranquille où nous nous retrouvons, elle me montre un joli string de dentelle rose. Il est légèrement transparent, ses lèvres sont bien visibles. Je souris en l'imaginant vêtue d'un legging très moulant. Je suis sûr qu'elle ferait se retourner un certain nombre d'hommes et de femmes aussi.

— Assieds-toi! Je me suis permis de commander pour toi pour ne pas que tu sois en retard au lycée.

Isabelle s'assied sur la chaise comme je l'exige. Je la vois frissonner. Je sens bien que s'asseoir ainsi en public et sentir la fraîcheur du siège sur ses fesses la perturbe, mais cela l'excite aussi.

La serveuse nous apporte les plats, un steak-frites pour moi et une salade pour elle.

— J'ai été très heureux de t'avoir rencontrée hier au marché et d'avoir fait connaissance avec ton mari.

— Tu sais, il m'a dit qu'il te trouvait sympa et il était content que je t'invite un soir chez nous. Et moi, je t'ai aussi fait une petite surprise, regarde.

Je la regarde en me demandant quelle surprise elle me réserve. Elle est assise vers le mur, moi vers la salle, donc personne ne voit ce qu'elle fait. Face à moi elle déboutonne sa veste et là je découvre qu'elle ne porte ni pull ni chemisier, mais uniquement un soutien-gorge blanc, très pigeonnant, quart de seins, qui met sa grosse poitrine en évidence. Ses tétons sont nus, gros et durs, ses aréoles sont brunes et larges. Quel beau cadeau! C'est ainsi que nous terminons notre plat et avant de partir, elle reboutonne bien sûr sa veste.

A la fin du repas, je lui propose une séance de shopping un peu spéciale pour le samedi suivant.

— Ainsi, tu ne mentiras pas complètement à ton mari!

***

Ce samedi, nous prenons ma voiture pour aller dans la grande ville voisine où se trouve une boutique d'articles érotiques. On ne peut plus appeler cela des sex-shops, ce sont maintenant de grandes surfaces commerciales bien ordonnées avec pignon sur rue.

Dans la voiture, je demande à Isabelle de retrousser sa jupe afin que je puisse admirer ses cuisses. Il est évident qu'ainsi je peux le fond de son string rouge.

Lorsque la route me le permet, je pose ma main sur ses cuisses et je viens caresser sa peau nue entre les bas et le string. Nous traversons alors la forêt qui nous sépare de la ville et sans rien dire, je prends un petit chemin qui permet d'accéder à une aire de pique-nique. Je sais qu'à cette heure-ci, elle sera déserte. Isabelle me regarde, étonnée.

— Je n'en peux plus! J'ai envie de te baiser.

Nous sortons de la voiture et je la prends en levrette, penchée en avant sur une table en bois. Je la laboure quelques minutes avant de jouir dans sa chatte.

Quand je me retire, je lui demande de me nettoyer la bite avec sa bouche avant de la remettre dans mon pantalon.

Au moment où elle se relève, nous entendons les portières d'une voiture claquer. Un couple en sort, viennent-ils d'arriver ou ont-ils été témoins de nos ébats? Nous les saluons avant de reprendre notre route.

Lorsque nous arrivons devant la boutique, je vois Isabelle regarder autour de nous. Elle s'assure que personne de ses connaissances ne va la voir entrer dans ce lieu avec un homme qui n'est pas son mari et, sûrement aussi, qu'aucun de ses élèves ne traîne dans le secteur.

Nous passons de rayons, Isabelle me commente différents articles et nous arrivons dans le rayon des robes. Nous en choisissons plusieurs et je demande à un vendeur où se trouvent les cabines d'essayage. Il m'indique le fond du magasin. Dans une des cabines, une femme essaye une robe sous l'œil attentif de son compagnon. Le rideau n'est pas complètement fermé. Cela me permet d'apercevoir que cette femme est plus grande qu'Isabelle possède une belle poitrine ferme en forme de poires, de beaux obus, même si elle est bien moins opulente que celle d'Isabelle

— Vas essayer les robes, lui dis-je, doucement. Et... ne tire pas le rideau complètement que je puisse voir.

Quand elle est dans la cabine, l'homme, grand, musclé, avec une chevelure épaisse, me demande comment je trouve sa femme.

— Votre femme est très belle, lui dis-je. J'aime bien son corps longiligne et bronzé, sa peau doit être douce, lui dis-je.

— Je trouve que la vôtre a des seins volumineux comme je les aime, ses tétons sont sensibles? me demande-t-il

— Oh oui, Isabelle aime que l'on pince que l'on étire ses gros bouts.

— Ma femme aussi, elle aime même que je gifle ses seins.

Ses mots me font sourire et Isabelle qui a tout entendu sort de la cabine le visage tout rouge. Le couple reste là, à la regarder dans une robe qui cache très peu de choses de ses charmes. L'homme lui fait un compliment.

— Dans cette robe vous êtes superbe, il faudra trouver des occasions pour la porter.

— Oh je n'en doute pas, Hervé trouvera bien des soirées pour cela. Merci pour votre compliment!

Ils se dirigent vers la caisse après nous avoir dit à bientôt. L'homme me donne la carte d'un club qu'ils fréquentent régulièrement, au verso, deux prénoms, Fred et Sophie et un numéro de téléphone.

Isabelle jette son dévolu sur deux robes, l'une est noire courte décolleté en arrondi, à bretelles, l'autre en blanche longue, fendue des deux côtés et avec un profond décolleté en dessous des seins. Les deux se portent sous soutien-gorge et idéalement sans culotte ou string. Mais avant d'aller régler nos achats, je m'arrête dans le rayon des sextoys. Je regarde différents objets. Je finis par prendre un œuf vibrant commandable à distance avec le téléphone et un rosebud de taille moyenne, le cul d'Isabelle n'est plus vierge, mais la sodomie n'est pas fréquente chez elle avec son mari m'a-t-elle confiée un jour, donc elle pourra accueillir cet objet sans la faire souffrir, en attendant mieux.

Sur le trajet du retour, je sens qu'Isabelle n'est pas totalement à l'aise, je lui demande si c'est la séance d'exhibition qui l'a dérangée, ou autre chose? Elle me regarde, je sens qu'elle veut me parler mais qu'elle n'ose pas.

— Isabelle, tu es songeuse, je ne te reconnais pas, que se passe-t-il?

— Je réfléchis à ce que nous venons de vivre et je m'interroge.

— Libère ta parole, dis ce que tu as sur le cœur!

— Tu sais! C'est la première fois que je m'exhibe, au sex-shop, devant un couple qui n'arrêtait pas de me regarder, de me mater, mais aussi dans la forêt, ils ont dû me voir jouir, crier mon plaisir comme un animal.

— Et alors cela n'est pas habituel mais, c'est humain.

— Je sais, mais ce que je ne comprends pas, c'est que bien que j'ai été honteuse, gênée, cela a augmenté mes plaisirs qui furent plus intenses.

— Et alors?

— Alors! C'est la première fois que je ressens cela, être excitée car on me regarde.

Je la rassure en lui disant que c'est la première fois, c'est normal de ressentir cette gêne. En même temps, je pense que je lui procurerai d'autres occasions de se faire mater, elle a l'air d'aimer cela.

Elle me dit aussi qu'elle désire m'inviter à dîner chez elle, en présence de Paul, samedi prochain. J'accepte évidemment cette invitation qui va enfin me permettre de découvrir le domicile de mon amante.

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