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La Voie d'Isabelle : Ch. 05

Isabelle, l'amant et le mari

Effectivement, en franchissant le portail de la propriété d'Isabelle et de son mari, je peux constater qu'ils vivent dans une superbe villa. Cette dernière est au bout d'une rue, c'est la dernière maison avant la forêt. Il n'y a aucun vis à vis, elle est encore plus isolée que la mienne. J'avance vers l'entrée et gare ma voiture.

Il est encore tôt, et même si le printemps est en avance, je ne pense pas que nous pourrons profiter de la piscine que j'aperçois près de la terrasse.

Vêtu d'un pantalon et d'une chemisette en lin, je salue Paul qui m'attend devant la porte fenêtre.

-- Isabelle finit de se préparer, me dit-il. Mais, nous pouvons l'attendre sur la terrasse. J'ai préparé de quoi grignoter et du champagne.

-- Avec plaisir!

Je le suis et nous nous asseyons dans les fauteuils installés autour d'une table basse.

-- Vous m'avez dit être photographe! Aussi, je me suis permis d'apporter ma tablette pour vous montrer le type de photos que je prends.

-- Avec plaisir! Pour ma part, je suis plus vieux jeu et je suis resté aux tirages papiers. Mais, nous pourrons regarder ces photos plus tard dans la soirée.

Isabelle nous rejoint à ce moment. Elle est radieuse dans cette tenue. Elle a mis la noire, celle qui est courte, à bretelles et décolletée en arrondi. Heureusement que la météo est clémente car elle est assez légère et elle la porte sans soutien-gorge et jambes nues. Elle a des chaussures à talons. La robe moule bien ses seins et les tétons dressés sont bien apparents, sous le tissu fin.

Qu'a-t-elle raconté à son mari au sujet de ces robes? Car il est clair qu'il est loin d'être naïf. Serait-ce un moyen pour elle de lui faire comprendre notre relation? Et, ose-t-elle porter le rosebud?

Je le lui ai déjà fait porter une fois dans la semaine, en classe. Quand nous nous sommes retrouvés le soir à la brasserie, elle fut soulagée que je lui dise de le retirer en échange du string que je lui avais pris le midi. Elle m'a dit que c'est la première fois qu'elle avait un objet dans ses fesses et avait peur qu'il ne sorte. Je dus la rassurer en lui expliquant que la forme de l'objet l'empêchait de ressortir, d'autant plus que le rectum aspire naturellement les objets que l'on s'insère dans l'anus. C'est pour cela que les urgentistes voient régulièrement arriver des patients avec des objets incongrus dans leur fondement.

Je me lève pour l'embrasser et, discrètement, je passe une main sous la robe pour flatter sa croupe. Je sens ses fesses nues! String ficelle ou rien du tout? Je ne sais pas.

-- Tu es en beauté ce soir! Lui dis-je en souriant. C'est un honneur que tu me fais!

-- Merci, je suis contente que cette robe te plaise. Paul la trouve belle aussi et il était heureux quand je suis revenue avec deux achats, cette robe noire et une blanche, que j'avais faits cette semaine, en vue des beaux jours.

De plus, je peux voir qu'elle s'est maquillée comme j'apprécie que les femmes le soient, un maquillage visible sans être vulgaire.

Nous trinquons tous les trois et je regarde Paul.

-- Peut-être à une future collaboration artistique? Il faut dire qu'avec un tel modèle, il faudrait y mettre de la mauvaise volonté pour rater nos photos!

Je sais que je tente mon va-tout en lui proposant cela, mais qu'ai-je à perdre? De voir ma relation avec Isabelle s'arrêter ce soir du faut d'un mari jaloux?

Je le regretterai, je le sais, mais j'ai connu pire.

-- Oui, ce sera sympa de faire un concours photos, mais plus tard, me dit-il. Il est temps de passer à table!

Je suis soulagé de sa réponse, à moi d'exploiter avec sagesse cette opportunité de rencontrer Isabelle, sans le faire dans le dos de son mari que j'apprécie de plus en plus.

***

Nous entrons et je découvre le rez-de-chaussée : un grand hall avec un escalier qui mène à l'étage, un salon-salle à manger, une cuisine avec coin repas, des toilettes, une salle de bain et un bureau.

La table est mise avec goût. Connaissant Isabelle, cela ne me surprend pas. Je la regarde faire le service, sa lourde poitrine qui remue à chaque pas, peut-être devrais-je lui interdire le port du soutien-gorge! Mais, je suis toujours dans l'incertitude de savoir si elle a un string ou pas.

Avec Paul, durant cette soirée, nous trouvons des sujets d'intérêt commun et nous bavardons de vin, mais aussi de football et de rugby et enfin de vacances. Les deux, nous constatons aimer le soleil, la mer, les plages naturistes!

Paul me sert plusieurs fois de son excellent Côtes de Graves 2009. Quand Isabelle nous propose de passer au salon pour prendre le café, je me rends compte que j'ai trop bu.

-- Montre nous tes photos, Hervé! me dit-elle.

Je propose de connecter ma tablette sur leur téléviseur pour profiter des images sur grand écran. Pendant que Paul s'occupe des branchements, Isabelle est venue s'asseoir à côté de moi sur le canapé. Je peux constater qu'elle continue d'appliquer la règle des fesses nues sur le siège. Je sens sa cuisse contre la mienne et je pose ma main sur sa cuisse et la remonte doucement. Isabelle écarte les genoux et laisse mes doigts accéder à son intimité protégée par une fine dentelle que je suppose noire. Je la sens chaude et humide. Je n'insiste pas. J'entends un petit soupir de frustration.

-- Tout est en place! Dit Paul.

Il revient s'asseoir sur le canapé. Isabelle est entre nous et je vois la main de Paul caresser la cuisse de sa femme. Je la connais bien maintenant et j'imagine ses lèvres gonflées de désirs, sa chatte dégoulinante d'excitation et son string trempé.

Je commence à faire défiler les photos, des paysages, des animaux puis rapidement des insectes, des fleurs prises en macrophotographie. Avec Paul, nous parlons d'ouverture relative, de diaphragme, de sensibilité.

-- Je vais préparer le café, tu en veux Hervé?

-- Oui, avec plaisir!

Pendant qu'elle est dans la cuisine, je montre à Paul mes photos de nus, prises avec la complicité d'une amie. Quand Isabelle revient elle voit sur l'écran, une femme nue allongée sur un lit, les cuisses écartées, exposant sa féminité naturelle.

Il me semble percevoir une pointe de jalousie et lorsqu'elle pose le café, elle se penche face à moi pour que je vois bien sa lourde poitrine libre dans son décolleté. Paul ne peut pas ne pas se rendre compte du jeu de sa femme, mais il ne réagit pas, cela me surprend un peu, mais après tout, c'est leur vie!

Isabelle fixe alors la photo et fait une remarque sur la toison mal taillée et le ventre rebondi. Je me rends compte qu'elle ne peut pas s'empêcher de relever chez la femme ces point qui, pour elle, sont négatifs.

Paul la remet sèchement en place en lui disant qu'elle aussi, elle est parfois poilue. A la moue qu'elle fait, il est clair qu'elle est vexée. Toutefois, je note la remarque de Paul sur la pilosité de sa femme dans un coin de ma mémoire. Il ajoute même que la femme de la photo a de superbes seins et que ses formes sont très appétissantes.

-- Si tu le souhaites, je te la présenterai, lui dis-je en observant la réaction d'Isabelle du coin de l'œil.

Je finis de faire défiler et je me prépare à prendre congé de mes hôtes. Je me relève, la tête me tourne, je me retiens au dossier du canapé.

-- Tu devrais rester dormir me dit Isabelle. La chambre d'amis est toujours prête.

-- Je ne voudrais pas vous déranger!

-- Oh! Tu sais, me répond Paul, nous ne sommes que tous les deux et la maison est grande! Reste!

-- Oui! Reste! Tu ne vas pas conduire de nuit dans cet état, surenchérit Isabelle.

-- D'accord, je reste! Mais demain je partirai tôt!

-- Je suis désolé, me dit Paul. D'habitude, nos invités restent dormir. Du coup! Je t'ai servi comme les autres, j'ai oublié que tu devais rentrer en voiture. Nous avons abusé de l'alcool.

-- Ce n'est pas grave, ce vin était excellent. Je vous remercie de cette invitation.

-- Isabelle va te montrer ta chambre!

Je suis Isabelle dans l'escalier, son cul devant mes yeux. Malheureusement, je ne suis plus en état pour m'en occuper correctement. Elle me montre à l'étage leur chambre à coucher, la chambre d'amis. Entre les deux, il y a une vaste salle de bain. En face il y a des toilettes et une autre chambre dont la porte est fermée.

Après avoir aider Paul et Isabelle à finir de ranger le salon. Je monte me coucher. Je m'endors, juste vêtu de mon caleçon.

***

J'ignore quelle heure il peut être quand je suis réveillé par une sensation agréable. J'ouvre les yeux et je vois, je sens Isabelle me sucer. Elle est nue et a soulevé la couette qui me couvrait et a retiré mon caleçon. Dans la pénombre de la nuit, je vois sa tête remuer, mon sexe au fond de sa bouche. Au moment de jouir, je tiens sa tête pour ne pas qu'elle se recule et j'éjacule dans sa bouche. Elle avale tout et vient se blottir dans mes bras. Elle s'allonge à mes côtés.

Quelques minutes plus tard, dégrisé et bien éveillé, j'ai retrouvé ma vigueur. Je la fais mettre à quatre pattes sur le lit pour la prendre. Je commence par aller et venir dans sa chatte, je la besogne en lui claquant les fesses. Je ne retiens pas mes coups et ses fesses doivent la brûler et être bien rouges, mais dans l'obscurité de la chambre, je ne peux le voir. Elle a un mouvement de recul mais je la tiens fermement pour l'empêcher d'échapper à mes aller et retour brutaux. Je finis par lui caresser le clitoris avec mes doigts.

Je jouis dans son vagin en grognant et m'allonge sur son dos.

Quand je débande, je me retire et m'allonge sur le dos.

-- Nettoie moi! Salope!

-- Oui Maître! me dit-elle.

Je ne la reprends pas. Il m'a semblé voir un mouvement dans le couloir, par la porte entrouverte.

Comme elle traîne un peu, je m'exprime de manière plus appuyée. C'est aussi un moyen pour moi de montrer à Paul le type de relation que j'entretiens avec sa femme.

-- Tu es là pour obéir, non? C'est ce que tu voulais en venant me rejoindre!

-- Oui! dit-elle en baissant les yeux.

Maintenant, j'en suis sûr. Paul est là. Il nous observe. Je décide aussi de tester la réaction d'Isabelle aux mots grossiers et vulgaires.

-- Alors, ne fais pas ta mijaurée et suce-moi, comme la pute que tu es! Dis-moi ce que tu es? Dis que tu es une traînée! Une suceuse de queues! Une vide couilles! Un garage à bites! Une grosse chienne! Dis-le!

Obéissante, Isabelle lèche et nettoie mon membre flasque après ces deux éjaculations rapprochées. D'une claque sur les fesses, je lui dis de rejoindre son mari qui doit se demander ce qu'elle fait.

***

Au matin, je descends dans la cuisine, attiré par l'odeur du café préparé par Paul.

-- Tu as bien dormi? me demande-t-il.

-- Oh oui! Comme un bébé!

-- Comme un bébé! Vraiment?

-- Disons que...

-- Oh! Ne t'inquiète pas! Je sais ce que vous avez fait cette nuit!

Devant cette affirmation, je ne sais plus où me mettre, ni comment réagir.

-- Isabelle a des besoins que je ne peux plus combler. J'ai vu que tu savais t'occuper d'elle. Je préfère que ce soit toi qu'un jeune abruti!

-- Mais... c'est que?

-- Écoute! Je sais ce que tu as vécu. Avec Isabelle, tu retrouves le bonheur, c'est très bien!

-- Mais, tu es son mari!

-- Oui et je le resterai... toi, tu seras son guide dans la soumission! Tu veux bien, j'en serais comblé et rassuré.

Je suis incapable de lui répondre. Heureusement, Isabelle arrive. Elle porte une belle nuisette courte rose et fine, qui ne cache rien de son corps, ses jambes sont nues et elle a des escarpins au pied. Elle est rayonnante.

Nous la fixons. Elle comprend qu'il vient de se passer quelque chose entre Paul et moi.

-- Viens nous sucer, sous la table! lui dis-je d'une voix ferme, alors que nous sommes en train de prendre notre café.

Elle regarde Paul, surprise, étonnée.

-- Fais ce qu'il te demande, lui dit Paul, d'une voix toute aussi assurée.

Je vois alors Isabelle retirer sa nuisette. Nue, elle obéit et se met sous la table. Elle passe d'une queue à l'autre en suçant, aspirant, tétant les glands. Puis, elle joue avec les boules, elle les gobe et pour finir elle fait éjaculer et elle avale le sperme de son homme avant de faire de même avec moi. Fabuleux!

***

Finalement, je ne suis rentré chez moi qu'en fin d'après-midi. Isabelle a passé son dimanche, nue, s'occuper de ses tâches ménagères. Je ne me lasse pas de voir ses seins, ses mamelles et ses grosses fesses rondes rebondir à chacun de ses pas.

Je l'ai enculée sous la douche. Puis, dans la cuisine, pendant qu'elle préparait le repas, je l'ai prise en levrette contre le plan de travail, sous les yeux de Paul qui se masturbait avant qu'elle ne vienne le finir avec sa bouche de suceuse née.

Au cours du déjeuner, nous établissons les modalités de notre trio. Je demande à Isabelle de répéter les règles que je lui ai imposées et qu'elle a acceptées.

Elle commence à les réciter à claire et intelligible voix, rouge de honte de devoir faire cela devant son mari.

- Première règle : ne plus porter de culotte, juste des strings ou des string-ficelles.

- Deuxième règles : mes hauts doivent pouvoir être facilement ouverts et bien sur décolletés.

- Troisième règle : Hervé doit toujours pouvoir me joindre et je dois lui répondre le plus rapidement possible.

- Quatrième règle : quand je m'assieds mes fesses doivent directement être en contact avec le siège.

- Cinquième règle : je ne dois ni fermer la porte de toilettes ni celle de la salle de bain quand je les utilise.

Je regarde Paul. Je le vois pensif.

-- Si tu le souhaites, tu peux en ajouter... lui proposai-je.

-- Cinq! C'est déjà bien. Je veillerai à ce qu'Isabelle les respecte, me répond-il.

***

Isabelle a passé l'après-midi à genoux, devant nous pendant que nous regardions le match du grand chelem du Tournoi des Six Nations. Elle nous suçait l'un après l'autre et quand je suis parti, son visage, ses cheveux et ses nichons étaient recouverts de sperme.

Avant de partir, j'explique à Paul le fonctionnement de l'œuf vibrant. Il m'avoue, à ce moment, qu'il se doutait bien que le samedi après-midi Isabelle n'allait pas faire du shopping avec des amies. En disant cela, il fixe sa femme des yeux, piquant un far, elle baisse le regard. Il ne lui a rien dit car il est content de voir qu'elle a retrouvé sa joie de vivre et son entrain. Il me répète qu'il est content que je sois l'amant et le maître de sa femme et qu'il est ravi de me connaître.

Je lui propose d'installer sur son téléphone l'application qui permet de déclencher les vibrations à distance. Il se montre enthousiaste. A ces yeux brillants et lubriques, je pense qu'il risque de se montrer plus pervers que moi et de faire fonctionner cet objet de plaisir ou de torture, même pendant les heures de cours d'Isabelle.

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