L'Appât Du Gain (Partie 01)

- Tu vas t'allonger sur le lit et prendre les positions que je te dirais. Ensuite, Joseph viendra te rejoindre pour quelques photos à deux.

- Heu... oui....

Clarisse était de plus en plus stressée mais obéit à l'homme en allant s'allonger sur le matelas comme si cela était normal.

Joseph, un sourire aux lèvres, ne quittait pas du regard sa future partenaire, la trouvant vraiment à son goût. Pour une fois, ils l'avaient gâté même si la majorité du temps elles refusaient de poser avec lui à cause de son membre démesuré.

Celle-là, non seulement elle était magnifique mais en plus elle n'avait pas l'air de vouloir s'en aller.

Docile, la jeune femme s'allongea sur le dos, laissant Samuel la photographier de près.

- Écartes les cuisses, que je prenne ton petit abricot en gros plan...

- Oui continue comme ça...

- Mets-toi à quatre pattes que je puisse prendre la cambrure de ton corps

- Tu es magnifique...

Clarisse, telle une esclave très obéissante, prit toutes les positions que l'homme lui demandait et elle finit même par trouver un certain plaisir à s'exhiber ainsi.

Pourtant son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il finit par dire.

- C'est bon, Joseph, tu peux rejoindre Clarisse.

La jeune femme fut tétanisée en voyant le grand noir la rejoindre, le sexe en érection. Ce n'était pas possible d'avoir un membre pareil, faisant sûrement dans les trente centimètres pour un diamètre qui devait dépasser les cinq centimètres

- Joseph, tu te mets sur le dos et Clarisse tu approches ta bouche de son sexe, je veux de l'érotisme.

Comment pourrait-il y avoir un soupçon d'érotisme avec un homme possédant la queue d'un âne. C'était immonde et pourtant la jeune femme sentait la mouille entre ses cuisses. Ce géant l'excitait même si elle ne voulait surtout pas le reconnaître.

Le noir vint s'allonger à coté de Clarisse qui avait presque cessé de respirer tant elle était crispée. C'est vrai qu'il était magnifique avec un corps comme dans les films mais c'est son membre qui attirait le plus la jeune femme.

Une fois qu'il fut positionné, Clarisse vint se mettre contre lui, approchant son visage du pieu de chair tout en ayant une bouffée de chaleur. Samuel commença à la mitrailler de très près, lui demandant de sourire et de s'approcher encore plus de la virilité du noir.

Elle était de plus en plus impressionnée et sans que personne ne lui ait demandé, elle vint poser les lèvres sur le gland turgescent.

- Fantastique, oui c'est ça, embrasse-le.

Même Noël n'en croyait pas ses yeux, lui qui avait pensé qu'elle refuserait de prendre ces photos. Là, elle embrassait carrément le méat du gros membre, dépassant de très loin toutes ses espérances.

Le photographe n'eut même pas besoin de diriger la fille qui se mit à caresser la queue tout en se mettant à lécher le gland décalotté.

Clarisse ne savait plus ce qu'elle faisait tant cela l'excitait. De sentir cette vigueur aussi près de ses lèvres, elle n'avait pu s'empêcher d'y goûter.

Elle l'aurait bien prise dans sa bouche mais le diamètre trop gros l'aurait forcément étouffé.

Avec application, elle se mit à laper l'énorme chibre comme si sa vie en dépendait. Elle était tellement excitée qu'elle en oublia presque l'appareil photo à cinquante centimètres qui la prenait en continu.

Le géant était aux anges, surtout en voyant comment cette beauté s'occupait de sa queue. D'habitude cette dernière faisait très peur aux femmes alors que là c'était tout le contraire.

Ce fut Philippe qui paniqua Clarisse lorsqu'il dit à son père.

- Ce serait génial de faire des photos avec Joseph en train de prendre la fille.

- J'y pensais mais je ne suis pas sûr que cela rentre, répondit en riant Noël

- Il suffit d'essayer pour voir.

En les entendant, la jeune femme s'était figée, la langue toujours sortie. Elle était attirée par ce sexe mais sa taille la laissait pleine d'effroi. Pourtant, si elle ne voulait pas perdre son argent, elle n'avait pas le choix.

Alors que les hommes ne faisaient qu'émettre cette idée, Clarisse n'attendit pas et se mit à quatre pattes sur le lit pour la plus grande surprise de tous les gens présents.

Même Joseph avait du mal à croire qu'elle s'offrait à sa queue alors que ce n'était pas prévu normalement.

- Putain, j'y crois pas, s'étonna Samuel, elle se positionne pour être prise

- C'est vraiment une belle salope, papa, tu as trouvé un sacré numéro avec cette fille.

Le géant, en voyant cette petite femme lui offrir son intimité, se positionna derrière elle, ayant encore du mal à réaliser qu'il allait pouvoir forcer son joli abricot.

Clarisse eut quelques tremblements incontrôlés lorsque l'énorme gland vint se plaquer contre son intimité.

Jamais en temps normal elle n'aurait accepté de recevoir un tel sexe mais l'argent lui masquait tout raisonnement logique car elle n'était plus guidée que par l'appât du gain.

Elle gémit lorsque le géant commença à forcer, écartant lentement ses chairs pour ouvrir le passage. Étrangement, la jeune femme était tellement bien lubrifiée, qu'elle sentait la tension exercée dans sa vulve sans vraiment avoir mal.

Lorsque les grandes mains puissantes vinrent lui saisir les hanches, elle comprit qu'il irait jusqu'au bout. La peur l'avait quittée car en se positionnant en levrette, elle acceptait son sort.

La jeune femme se mit à gémir plus fort alors que lentement il pénétrait son corps. Samuel tournait autour du lit pour prendre Clarisse sous tous les angles. C'était surtout son visage qui était magnifique avec cette expression entre extase et douleur.

Plus le noir s'enfonçait en elle et plus elle sombrait dans le plaisir, oubliant que sa chatte était élargie au bord de la déchirure.

Joseph prenait son pied tant la texture était jouissive. Comment une femme aussi belle pouvait avoir aussi un sexe si accueillant.

Lorsqu'il buta sur l'utérus, il sut qu'il n'irait pas plus loin, aussi, tout en la tenant fermement, il commença ses va-et-vient.

Pour Clarisse, ce fut le délire et elle se mit à haleter, perdant pied avec la réalité.

Durant de longues minutes le géant la baisa, y allant de plus en plus fort. Samuel avait cessé de la photographier pour lancer une vidéo, voulant filmer cette scène de sexe à la limite de l'irréel.

La jeune femme avait les yeux exorbités et se laissait aller au plaisir, criant à chaque coup de rein. Le noir continuait sans relâche de pilonner ce joli corps à un rythme toujours plus rapide. Clarisse était comme possédée, oubliant tout ce qui l'entourait, ballottée telle une marionnette par son amant surexcité.

Les spectateurs étaient aux anges, subjugués par ce superbe spectacle qui dévoilait une belle nymphomane qui s'offrait sans aucune retenue.

- Vas-y Joseph, défonces-la, elle adore ça, encouragea Philippe.

Le noir n'avait pas besoin d'être motivé tellement il était heureux. Son sexe, dur comme le bois, rentrait et sortait de la vulve toujours aussi vite alors que la fille était à la limite de l'évanouissement.

Le géant était bien plus endurant que la majorité des hommes pour le plus grand bonheur de la jeune femme qui avait des orgasmes à répétition.

Lorsque enfin il éjacula, il s'enfonça au maximum pour remplir le ventre de Clarisse, la garnissant d'un sperme épais tout en inondant sa matrice.

Sa queue était intarissable et lorsque enfin il la relâcha, le corps de la jeune femme s'écroula, secoué par de nombreux spasmes.

- Je n'ai jamais vu une femme jouir autant, s'exclama Noël, et Dieu sait si j'en ai vu se faire baiser.

- Tu as dégotté une salope hors catégorie.

Clarisse avait repris un peu contact avec la réalité et les écoutait sans être choquée. Elle se rendait compte qu'ils avaient raison même si elle avait tout de même du mal à le réaliser.

Jamais avec son copain elle n'avait eu de tels orgasmes et pourtant ils faisaient l'amour très souvent. Était-ce le contexte ou y avait-il eu un déclencheur pour que son corps devienne aussi sensible?

Elle ne le savait pas et elle aimait cette nouvelle Clarisse.

Lorsque le géant quitta le lit, elle resta immobile, n'ayant pas tout à fait récupéré.

Samuel, à force de prendre des photos de la femme dans toutes les positions était lui aussi excité. Il avait envie de cette fille et il allait prendre son dû.

Il avait toujours profité des filles qu'il photographiait chez son ami et celle-là n'allait pas échapper à la règle.

Noël, en voyant son ami se déshabiller, sourit intérieurement. Décidément son acquisition plaisait à tout le monde et il ne regrettait pas de l'avoir accosté dans le train.

Clarisse se laissa faire lorsque l'homme la plaça sur le dos pour la prendre tranquillement. Il était moins fourni que son ami Joseph mais cela n'allait pas empêcher la jeune femme de prendre du plaisir.

Elle gémit en sentant le sexe s'enfoncer dans son intimité. Ses chairs distendues par le membre du géant étaient devenues sensibles et elle aima cette pénétration beaucoup moins douloureuse.

Elle sentit rapidement la montée de la jouissance alors qu'il la prenait tout en douceur contrairement au grand noir qui l'avait défoncée. Elle aima ce moment et regretta presque qu'il vienne trop rapidement en sentant les jets chauds inonder l'intérieur de sa vulve.

Il devait sûrement être très excité pour éjaculer aussi vite mais la jeune femme ne lui en voulut pas, sachant que son corps allait sûrement être pris en bien d'autres occasions.

A SUIVRE

All contents © Copyright 1996-2024. Literotica is a registered trademark.

Desktop versionT.O.S.PrivacyReport a ProblemSupport

Version ⁨1.0.2+1f1b862.6126173⁩

We are testing a new version of this page. It was made in 22 milliseconds