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Les Mésaventures de Laurence 01

Âgée de 19 ans, Laurence est une très jolie fille, resplendissante de jeunesse.

Mesurant 1m60, un fessier beau et ferme, une poitrine ronde affichant un bonnet C, des jambes délicatement galbées. Étudiante en communication, elle vient de tomber amoureuse de Sébastien, qui est inscrit dans la même option universitaire. Après quelques semaines d'approche, celui-ci s'est décidé à lui déclarer sa flamme, en plein réfectoire, s'agenouillant devant sa future dulcinée qui, conquise, accepte de sortir avec lui. Rouge comme une tomate, elle tombe immédiatement très amoureuse, d'autant que, timide, elle n'a jamais fait que « flirter » avec quelques garçons, notamment lors d'un séjour aux USA.

Elle est originaire d'une grande ville ouvrière et lui d'un milieu rural. La distance les séparant, bien qu'étant de 150 kilomètres, ne l'empêche pas de redescendre un week-end sur deux chez son petit ami. Celui-ci, sous des airs de poète maudit au spleen baudelairien, réussit toutefois à lui cacher son côté pervers et « borderline ». Il aime franchir les limites.

Doté d'un caractère dominant, il sait qu'il a trouvé ce qu'il recherchait : une femme manquant de confiance en elle. Les premières semaines, il se comporte en vrai gentleman, lui disant combien il est fier d'être en couple avec elle, qui est si douce et si gentille.

Il sait qu'il sera le premier à la dépuceler.

Après quelques approches dignes de deux jouvenceaux, il l'initie à la fellation : - Tourne ta langue doucement sur mon gland, lèche bien ma hampe. Ne va pas trop vite. Tout le plaisir est dans l'attente, ma chérie...

Après 3 semaines de patience, il l'informe qu'il souhaite lui faire l'amour. Souffrant d'allergies, elle lui signale qu'elle ne supporte pas la pilule.

Alors, insidieusement, il l'invite à envisager l'amour anal, ce qu'elle accepte, naïvement. Et pendant près de 3 mois, après s'être fait longuement sucer, il l'encule, après lui avoir tendrement passé de la vaseline sur son œillet. Il l'a contraint également, gentiment, à jouir pendant qu'il la sodomise et qu'elle branle son clitoris. A chaque fois, il se répand dans ses intestins. Elle finit par trouver normal ce type de pratique sexuelle.

Ayant enfin trouvé une pilule ne lui causant aucun souci hormonaux, Laurence découvre dans les bras de Sébastien les joies de l'amour vaginal.

Après des débuts chaotiques liés à au stress d'une première fois, elle se libère progressivement et, à chaque saillie, prend un pied d'enfer. Durant les semaines suivantes, elle est baisée de nombreuses fois. Avec toujours le même plaisir.

Elle est amoureuse comme jamais, se dit Sébastien. Il est temps de commencer à tester ses limites. Jusqu'où ira-t-elle pour me garder? Alors, il commence par de petites choses. Lorsqu'ils reviennent de l'université en train, il l'invite tout d'abord à montrer ses seins à la fenêtre du moyen de transport, sachant qu'il y a près de 20 minutes de trajet entre les 2 dernières gares. Personne n'est présent dans le wagon.

Elle s'exécute, dégrafe son soutien-gorge et s'exhibe devant la nature s'égrenant au rythme des rails. Personne ne la voit, mais elle ressent néanmoins une grande gêne.

La semaine suivante, toujours dans le même train et dans cet entre-deux gares, et toujours seuls dans le wagon, il l'oblige à le branler et à le sucer.

Elle s'exécute.

Il est temps de passer à l'étape supérieure, se réjouit-il intérieurement et vicieusement.

2 semaines plus tard, toujours de retour de leur semaine estudiantine vers le bercail rural, il lui ordonne cette fois de se déshabiller intégralement dans le wagon : veste, bottes, chaussettes, pantalon moulant, pull, puis soutien-gorge et culotte : tout y passe. Nue comme un ver, elle est invitée à le sucer langoureusement. Sébastien lui demande également de mettre ses vêtements dans son sac. Alors que moins de 5 minutes se sont écoulées, 2 messieurs de 50 ans pénètrent soudain dans le wagon. Laurence est tétanisée. S'asseyant au début de la voiturette, ils ne peuvent toutefois pas voir la nudité de la jeune femme. Son copain, d'un ton ferme, l'invite à poursuivre sa fellation.

- Ils ne te voient pas! Donc continue!

Elle poursuit sa tâche, le feu aux joues. Après 5 nouvelles minutes, son ami lui signale qu'il a besoin de soulager une envie pressante et de se rendre aux toilettes.

Avant qu'elle ait pu réagir, il se lève, emportant le sac avec lui, non sans lui donner un nouvel ordre : - Reste bien calme! Ne bouge pas! J'arrive!

Et déjà il est parti. Arrivant à hauteur des 2 quinquagénaires, il leur adresse un sourire complice, avant de déclamer à voix basse : - Vous devriez changer de place, aller à l'avant du wagon. Un beau spectacle vous y attend. Vous pouvez regarder, profiter avec vos yeux mais ne rien toucher...

Un instant interloqués, les 2 hommes se lèvent et s'installent sur la banquette voisine de celle occupée par la jeune femme. Dans sa plus totale nudité, celle-ci croit défaillir. L'un des 2 passagers ne manque pas de faire quelques remarques : - Regarde, Jean! En voilà une jolie demoiselle! Elle doit avoir chaud pour ne porter aucun vêtement! Elle tente de masquer son opulente poitrine en la cachant avec ses bras, mais ne peut empêcher les deux quinquas de se délecter des formes harmonieuses de son corps. Après 5 minutes d'une gêne totale, la fille est soulagée de voir enfin son ami revenir avec son sac. Sébastien lui tend ses vêtements : - Laurence, veux-tu bien te rhabiller? Allez, debout! Et enfile tes fringues! Ne sois pas gênée : ces Messieurs ont déjà tout vu!

Tête basse, elle remet ses vêtements, face aux 2 passagers, qui ne perdent rien de son anatomie. L'un des voyeurs émet une dernière réflexion : - Elle est magnifique! Nous avons bien tout vu! Dommage qu'elle ait des poils pubiens! Cela masque un peu trop ses lèvres vaginales!

S'enfuyant plus qu'elle ne sort du wagon, elle rejoint, en compagnie de son petit ami, la voiture qui les attend en-dehors de la gare et conduite par Raymond, le père de son copain. Celui-ci, proche des 50 ans, est aussi bien bâti que son fils : 90 kilos de muscles pour une taille d'1m80.

Cet homme, tout comme Sébastien, l'impressionne : elle a l'air si menue à côté de ces deux mâles athlétiques. Celui-ci, se voulant courtois, interroge sa belle-fille : - La semaine s'est bien passée? Contente d'être en week-end?

Encore sous le choc de l'exhibition qui vient de lui être imposée, Laurence se contente de répondre mécaniquement : - Oui, très bien! Heureuse d'être revenue ici!

Après le souper familial, réduit à trois personnes depuis que son beau-père a récemment divorcé, la jeune fille se retrouve dans la chambre de son amoureux, qui lui fait plusieurs fois passionnément l'amour en lui susurrant à l'oreille : - Merci, ma chérie, pour le spectacle que tu as bien voulu faire dans le train. Je suis excité comme jamais!

Elle le regarde tendrement dans les yeux : - Je t'aime!

Et lui de répondre : - Moi aussi, je t'aime!

Le lendemain matin, après une nouvelle séance de plaisir, Sébastien informe sa dulcinée, rasoir et crème à raser à la main, que les deux hommes rencontrés dans le train avaient raison : il convient de faire disparaître ses poils pubiens. -- Tu verras, Laurence, ce sera super excitant! Avec ton sexe imberbe, tu auras l'air d'une petite fille, d'un ange! Toujours aussi amoureuse, même si elle n'est guère d'accord avec cette proposition, elle se laisse faire et bientôt son sexe se retrouve parfaitement et totalement épilé.

-- Désormais, je souhaite que ton mont de vénus soit toujours glabre. De plus, à partir de ce soir, lorsque nous ferons l'amour, je souhaite systématiquement remplir tes 3 trous : d'abord la bouche, ensuite ton vagin et enfin ton cul. On appellera cela « le parcours de golf ». D'accord, ma puce? Toujours sous le coup de sa dévotion irraisonnée pour Sébastien, elle répond par l'affirmative :

- Si tu veux, mon chéri!

Manipulateur hors pair, il ne manque pas de la remercier comme il se doit :

- Si tu savais comme je t'aime ma chérie! Ce que tu fais, c'est une vraie preuve d'amour.

En fin de journée, le couple se rend avec le meilleur ami du jeune homme au café du village, où se déroule la traditionnelle partie de bowling. Une jeune femme, vêtue d'une mini-jupe, attire tous les regards masculins --une dizaine de joueurs- lorsqu'elle lance les boules. Ses fesses moulées ne manquent pas d'attirer une certaine concupiscence.

Ce qui ne manque pas de donner des idées perverses à Sébastien.

Le reste du week-end se déroule sans incident, ce dernier ne manquant pas de faire plusieurs fois jouir Laurence, tout en inaugurant son premier « parcours de golf » en terminant ce dernier en se vidant dans les entrailles de sa dulcinée tout en l'obligeant à se branler le clitoris. Durant la semaine à l'université, rien de particulier ne se passe, hormis une sexualité correspondant à celle de 2 jeunes adultes, même si ceux-ci ne logent pas au même endroit. Chaque fois qu'ils se voient, Sébastien ne manque pas d'imposer à sa chérie « le parcours de golf ».

15 jours plus tard, de retour dans la maison de Raymond, son beau-père, Laurence se voit invitée par Sébastien, le samedi soir, à adopter une tenue plus sexy pour se rendre au bowling : - J'aimerais que tu mettes ce soir une mini-jupe noire, des bas nylons et un string pour aller jouer. Tu es tellement belle! Et je n'ai pas aimé que tous les regards, la dernière fois, se portent sur une autre. En outre, personne ne verra rien...

C'est juste pour me faire plaisir!

Une fois encore, irraisonnablement amoureuse, elle s'exécute, malgré le profond sentiment de gêne. Et elle passe donc la soirée à tenter, entre chaque lancer, de rester décente, tirant sur sa mini-jupe pour ne pas dévoiler ses charmes. Mais rien n'y fait : 10 paires d'yeux masculines sont rivées sur son cul. Dès qu'elle se penche pour jouer, la mini-jupe se relève légèrement et dévoile tantôt ses bas, tantôt le bas de ses fesses. -- Quel cul! lâche même l'un des joueurs. Rougissante, elle fait semblant de ne pas entendre la remarque déplacée.

Parmi les participants, Pascal, le meilleur ami de Sébastien, ne manque pas une miette du spectacle. Peintre local renommé, il adresse un clin d'œil à celui-ci. Ce qui fait germer directement une idée perverse dans l'esprit de l'étudiant. Il garde celle-ci en son for intérieur durant toute la semaine, non sans en avoir préalablement parlé à son copain.

De retour à la maison familiale (Laurence passe maintenant 3 week-ends sur quatre chez son beau-père), il attend le samedi matin pour lui faire part de son nouveau désir : - Ma chérie, j'aimerais beaucoup un tableau de toi nue. J'ai demandé à Pascal s'il était d'accord de réaliser un tel portrait et il a accepté. Tu es d'accord? Cela me ferait tant plaisir...

- Mais Sébastien... c'est ton meilleur ami... je... je ne veux pas être nue devant lui...

- Justement! Tu n'as rien à crainte! C'est mon pote! Il te peindra... c'est tout! D'ailleurs je serai présent à la première séance de pose... Tu feras un modèle magnifique! Je t'aime tant... c'est un beau cadeau que tu puisses m'offrir...

- Je ne sais pas... je dois réfléchir... murmure-t-elle.

- Merci d'avance, ma puce! C'est d'accord, dis, c'est d'accord? On a rendez-vous dans une heure!

Et 60 minutes plus tard, Laurence, gênée comme jamais, se retrouve totalement nue sur un canapé, l'air lascif. Sébastien a en outre exigé qu'aucun détail de son anatomie ne soit oublié et c'est donc les cuisses largement écartées afin de découvrir son sexe en entier qu'elle pose devant Pascal, le meilleur ami de son amoureux... Pendant 3 samedis, elle passe donc sa matinée dans la peau d'un modèle amateur. Elle s'étonne de la lenteur mise par Pascal pour la dessiner puis la peindre. Le tableau enfin terminé, dont le résultat s'avère magnifique de réalisme, Sébastien ne peut manquer de s'exclamer :

- Mon dieu, Pascal! Quel travail d'orfèvre! Un vrai chef d'œuvre! Tu saurais faire le même, mais cette fois de son verso? J'adore son dos et ses fesses...

Les 2 hommes s'enthousiasment sans même attendre la réponse de l'intéressée et celle-ci, quinze jours plus tard, se retrouve à nouveau sur le canapé, mais cette fois en présentant son fessier. Son copain a également exigé qu'elle écarte bien les fesses afin que « même son anus puisse être peint ». Et pendant 3 nouvelles séances de pose, elle sert donc de modèle.

Même lenteur voulue par l'artiste afin de profiter le plus longtemps possible de sa nudité, même résultat extrêmement réaliste : le tableau ainsi fini est tout aussi beau que le premier. Le reste du week-end se passe sans anicroche, Sébastien faisant passionnément l'amour à sa copine.

Celle-ci, vaincue par les expériences récentes non voulues, a perdu toute confiance en elle.

Le week-end suivant, après lui avoir annoncé qu'il stoppait ses études pour travailler désormais avec son père dans l'entreprise familiale tout en la rassurant sur le fait que cela ne changerait rien à leur relation et qu'ils se verraient toujours, Sébastien lui indique aussi qu'à l'avenir ils feront l'amour dans la chambre en laissant la porte ouverte.

-- Mais... bégaie-t-elle, ton papa va m'entendre jouir? Je ne peux pas faire cela...

- Quelle importance? Mon père s'en moque. Et je te demande de ne pas te retenir et de crier comme d'habitude. Je trouve cela assez excitant. Cela maintiendra la passion que j'éprouve pour toi, mon amour.

Le samedi soir, Laurence vit cette première expérience étrange. D'autant qu'après l'avoir fait mettre à 4 pattes, il la sodomise longuement, l'obligeant à se branler le clitoris pendant tout le temps de la pénétration anale. D'abord rétive, elle finit par se soumettre et à crier au moment de l'orgasme.

Le dimanche matin, au petit déjeuner pris en famille, Raymond ne fait aucune remarque.

Sa belle-fille est soulagée : sans doute n'a-t-il rien entendu. Le reste de la journée se passe suivant le même schéma : elle est prise plusieurs fois par son copain, la porte de la chambre restante toujours ouverte.

La semaine à l'université s'écoule tranquillement et de retour le vendredi soir dans sa belle-famille, elle se voit annoncer par Sébastien, tout guilleret, que les deux tableaux la représentant ont été accrochés : - Finalement, je les ai mis aux murs dans la chambre de mon père. Ils donnent bien mieux, car l'endroit est très spacieux. Laurence se liquéfie :

- Mais... mais... arrive-t-elle à peine à articuler.

-- Bah... on lui doit bien cela. Il paie tout pour nous deux, nous emmène dans des restaurants gastronomiques... Au moins, le matin et le soir, en se levant et en se couchant, il verra une belle femme. Ce ne sont que des tableaux...

Les week-ends se suivent. Les vacances de Pâques arrivent. Laurence va se partager entre ses parents et son ami, à raison d'une semaine chez les uns et chez l'autre.

Le premier samedi de la semaine où elle revient dans sa belle-famille, Sébastien, après lui avoir sauvagement fait l'amour, demande à Laurence d'avoir la gentillesse d'aller lui chercher un verre d'eau. Alors qu'elle s'apprête à enfiler une nuisette, il l'arrête : - Non, vas-y comme cela...

- Toute nue? Mais si je tombe sur ton père...

- Pas de danger. A cette heure-ci, il dort comme un loir tellement il est crevé de sa semaine de boulot. Allez, fais-moi plaisir, vas-y comme cela.

Elle s'exécute, la mort dans l'âme, mais elle l'aime tellement qu'elle ne sait rien lui refuser. Dès qu'elle est sortie de la chambre, son copain adresse immédiatement et sournoisement un SMS à son père :

- Elle arrive...

Ouvrant la porte du frigo pour se saisir d'une bouteille d'eau minérale, Laurence à la surprise et l'effroi d'entendre une voix derrière elle :

- Et bien, tu as l'air d'avoir chaud! Elle se tétanise, ayant reconnu la voix de Raymond.

Elle se retourne, ne pouvant faire le moindre mouvement. Son beau-père s'approche et sans mot dire, caresse légèrement sa poitrine, avant de la retourner doucement et de lui palper les fesses : - Tu as de beaux seins et un cul bien ferme, se contente-t-il de lui dire. Avant de se saisir fermement de sa main et de l'entraîner dans sa chambre : -- Il est temps maintenant de goûter à tes charmes. Vu comme tu cries en faisant l'amour avec Sébastien, je suis sûr que je ne serai pas déçu par ta performance.

15 minutes plus tard, elle se retrouve la tête enfoncée dans l'oreiller tandis que Raymond la prend rudement en levrette. Il en a une aussi grosse que son fils, ne peut-elle s'empêcher de penser. Sciemment, son beau-papa a laissé la porte légèrement entrouverte et voit son fils passer la tête. Fasciné, il regarde la scène qui se déroule sous ses yeux avant de prendre la parole, sous le regard horrifié de Laurence, qui craint un violent incident entre père et fils. Mais il n'en est évidemment rien.

Sébastien tient en effet des propos pour le moins surprenants : - Dis, papa, quand tu auras fini, tu me la renverras! J'ai une grosse envie de son cul!

- D'accord, fiston! J'ai fini dans 10 minutes...

Et pendant plusieurs semaines, la jeune femme est soumise à de multiples pénétrations de son ami et de son beau-père. Chacun d'eux connaît désormais parfaitement sa bouche, son sexe et son anus. Elle est d'ailleurs la plupart du temps contrainte de rester, du vendredi soir au dimanche en fin de journée, nue dans la maison ou vêtue uniquement de bas autoportants et de hauts talons. Parfois, elle doit aussi passer sa journée vêtue de tenues érotiques : écolière perverse en mini-jupe ultra-courte sans culotte et avec des couettes, infirmière sexy avec une blouse largement échancrée dévoilant sa poitrine.

Elle est également obligée de s'occuper des tâches ménagères, notamment de faire la cuisine, en tenue de soubrette totalement transparente sur le devant, sans soutien-gorge évidemment, et fesses largement dénudées, seul un string ficelle séparant celles-ci. Un soir, Sébastien et son père décident de commander des pizzas et de se les faire livrer.

Un quart d'heure plus tard, on sonne à la porte. Laurence est quasi nue, portant uniquement des bas-nylons et des cuissardes. Son petit ami prend alors sèchement la parole et lui ordonne d'aller ouvrir au livreur.

- Mais, répond-elle, je ne suis pas habillée...

- Et alors? Tu as un beau corps. Autant le montrer. Tu es bien pudique tout à coup. Va ouvrir, je te dis. Tiens voilà de l'argent pour payer... Je t'observerai par la porte du salon, qui sera légèrement entrebâillée. Tu lui parleras gentiment et quand tu prendras les pizzas, tu te retourneras et onduleras bien du cul.

Là encore, vaincue, elle s'exécute, pour le plus grand bonheur du livreur de pizzas, un jeune étudiant de 16 ans habitant dans un village voisin.

Dans les mois qui suivent, Laurence -psychologiquement brisée- se soumet désormais docilement aux caprices de son amoureux et de son beau-père. Ceux-ci la forcent souvent à baiser l'un tout en suçant l'autre. Ou, lorsqu'ils se rendent au restaurant, l'obligent à voyager nue dans le véhicule et à leur prodiguer, à tour de rôle, une fellation langoureuse...

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