• Home
  • /
  • Stories Hub
  • /
  • Illustraté
  • /
  • Les pulsions d'Isabelle: Chapitre 01

Les pulsions d'Isabelle: Chapitre 01

12

Prologue :

- Oui, voilà, vas-y Isa... Bondis bien sur lui et gémit autant que tu le peux, je veux t'entendre prendre du plaisir! Demande un homme avec une caméra sur l'épaule qui fait le tour d'une scène de partouze qui se déroule devant lui.

Une femme bien en chair, dont les seins d'une grosseur peu commune, virevoltent dans les airs, tandis qu'elle bondit comme une sauvage sur l'énorme pénis d'un homme à peau noire qui la lui rentre dans son vagin poilu.
Elle branle en même temps un autre pénis noir qu'elle suce de temps à autre en regardant la caméra qui filme son visage, ouvrant bien la bouche et en gémissant avec exagération comme lui a demandé l'homme qui les filme.

— Mmmmmmm... Mmmmmm Ouiiiiiiiiiii, baisez moiiiiiiiiiiiiii Mmmmmmmmmmmm j'aime çaaaa!!!

Cette femme mature semble aimer se faire prendre comme une vraie cochonne.

— Ouais Isabelle... Tu es géniale chérie... Vas-y, redemandes-en encore. Tes fans aiment te voir comme ça ma belle! L'encourage le caméraman.
— Ouiiiiiii prenez moi bande de salopards, j'aime ça, je suis une salope, j'aime vos queues, vos grosses queues noires! Insiste-t-elle à nouveau, rendant hystériques les deux bonhommes qui sentent que leur honneur de mâle est mise au défi.
— Attends, tu vas voir, grosse trainée, si tu aimes ça, alors j'ai une surprise pour toi! Prévient l'un des deux hommes en se plaçant derrière elle.

Il pointe son gros gland sombre contre son trou du cul déjà ouvert et sans attendre, l'enfonce jusqu'à disparaître entièrement devant la caméra qui immortalise cette intrusion anale.

— Aaaaaaaaaaaaaaah..... Aaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiii oooooooooooh ouiiiiiiiii mmmmmmmmmm! Hurle-t-elle en tirant sur les draps tout en serrant les dents.

Ce superbe pieu de chair la fait tout de même souffrir, écartant les parois de son fion tandis que l'homme en dessous d'elle, continue de la baiser par devant.
La pièce dans laquelle ils se trouvent résonne des bruits obscènes provoqués par ces va et vient intenses. La dame charnue, seulement habillée de bas auto fixant noirs en prend pour son compte... Ils lui jouiront dans les deux trous pour finir cette scène pornographique.

Plus tard, cette femme couverte d'un peignoir, se brosse les cheveux devant le miroir de sa coiffeuse, elle ouvre ensuite une boite où se trouve une photo un peu froissée. Dessus, on peut reconnaître un couple avec leur fils.
Leurs sourires expriment le bonheur qu'ils ont d'être ensemble pour la photo.
Mais on vient frapper à la porte de sa loge, c'est le caméraman qui entre avec une enveloppe qu'il pose sur une petite table devant l'entrée.

— Félicitation Isabelle, tu as été géniale encore une fois... Voilà ton chèque! Dit-il en pointant du doigt, l'enveloppe : « Au fait... J'ai deux ou trois idées pour la prochaine vidéo, mais je t'en reparlerai après les fêtes. Tu vas fêter le réveillon de noël avec ta famille? »

Elle regarde un moment la photo d'un regard vide puis lui répond :

— Non... Non, je ne vois personne pour Noël... Mais amuse-toi bien Angelo et passe un bon réveillon.
— Ah Ok... Bon ben à la prochaine alors, salut Isa!

A nouveau seule, elle replace la photo et se regarde à nouveau dans la glace.
Cette femme qui semble triste et seule, c'est Isabelle. Autrefois femme comblée et maman heureuse, aujourd'hui devenue une femme perverse dont sa réputation sur internet n'est plus à faire, beaucoup ont vu ses exploits sexuels en vidéo.
Certaines femmes sont outrées, certains hommes adorent la regarder se déchaîner devant une caméra.

Comment, pourquoi ... Que s'est-il passé pour qu'elle soit devenue la femme qu'elle est aujourd'hui?
Pour comprendre, il nous faut replonger dans son passé...

**************

Chapitre 1 : Spectatrice d'une scène perverse

Cinq années plutôt, le mois d'Octobre touche à sa fin dans un petit village du Nord-est de la France. Les prévisions météorologiques ont prévu que le grand froid d'hiver arriverait vite cette année. Sachant cela, les agriculteurs s'occupent la récolte des champs, alors que d'autres cueillent les dernières pommes avant que le gel n'arrive.

Au milieu des champs, se trouve un magnifique corps de ferme datant du 19ème siècle, rénové voilà plus de quinze ans maintenant, par la famille Leblond, qui depuis la fin des travaux, s'y est installée.
Patrick, expert-comptable à son compte dont son cabinet se trouve en ville à vingt minutes de là, boit le café que son épouse Isabelle Leblond, mère au foyer vient de lui servir. Juste après, elle prépare le petit-déjeuner pour leur fils Quentin.

— Il dort encore ce paresseux? Demande-t-il en souriant tendrement à sa femme.
— Oui, tu sais bien qu'il a toujours eu du mal à se lever le matin! Lui répond sa femme qui pose les biscottes et la confiture sur la table avant de quitter son tablier pour le poser sur le dossier d'une chaise. « (Soupir) Bon, je vais aller le réveiller, sinon il va encore être en retard à son travail!»

Elle se dirige vers les chambres au premier étage en empruntant le vieil escalier en chêne, dont les marches craquent sous ses pieds chaussés de pantoufles.

Isabelle est une maman aux formes généreuses... Très généreuses. A l'heure où une majorité de femmes ne s'acceptent qu'à partir du moment où il ne leur reste plus que la peau sur les os, Isabelle est charnue et accepte ses rondeurs sans complexes. S'il est des femmes à qui les rondeurs vont très bien, Isabelle en fait partie.


Ses cuisses sont toniques mais sensuelles et que dire de son opulente poitrine, deux énormes globes laiteux qui ont encore pris du volume après la grossesse de son fils.
Beaucoup de femmes considéraient la taille de ses seins comme un handicap mais Isabelle s'est habituée à ce sort que lui a donné la nature, bien que pour trouver un soutien-gorge ou un haut de bikini à sa taille soit à chaque fois un véritable parcours du combattant.
En attendant, les hommes qui croisent son chemin, regardent d'abord son buste qui pousse agressivement en avant et ensuite son visage afin de ne pas éveiller de soupçons, puis pour finir, lorgnent dans son dos, sa large croupe toujours enfermés dans des jupes courtes.


Jupe courte ne veut pas dire qu'elle les met pour aguicher les hommes dans la rue, Isabelle est fidèle à son époux Patrick. Leur fils, Quentin, qu'ils ont eu voilà 19 ans est le fruit de cette union. C'est plutôt pour elle un moyen d'accepter les kilos en trop que les diététiciens voudraient lui enlever. Et puis, jamais Patrick ne lui a fait une remarque à ce niveau-là.
En somme, Isabelle est une femme heureuse et qui a tout pour l'être ... en apparence.

Montant donc l'escalier pour venir réveiller Quentin, sa jupe orange qui comprime ses grosses fesses remonte peu à peu laissant apparaître la partie plus opaque du collant chair qu'elle porte aujourd'hui. Habituée ou se moquant que ses cuisses se dévoilent un peu trop aux yeux de son fils chéri, elle entre dans sa chambre en se dirigeant tout droit vers la fenêtre qu'elle ouvre, faisant rentrer l'air frais du matin comme elle a la coutume de le faire tous les matins.

— Quentin... Chéri, allez c'est l'heure! Lâche-t-elle d'un air joyeux.
— Mmmmm... Oh non maman, laisse-moi encore dormir un peu s'il te plaît! Se plaint le jeune homme qui prend son oreiller pour protéger ses yeux de la lumière.
— Non, allez lève toi, ça suffit... Tu vas encore être en retard! Ordonne-t-elle faiblement en s'approchant de son lit.

Elle tire sur le drap, dégageant le haut du corps et le torse nu de Quentin qui ronchonne en écrasant son oreiller contre son visage.
Puis résigné, il s'assied en se frottant les yeux tandis qu'elle s'installe à ses côtés en posant un genou sur le lit. Dans l'action, sa jupe étroite remonte au-delà du convenable et ses cuisses sont grandement écartées aux yeux de son fils qui tombent sur l'entre-jambe de sa maman, couverte par une minuscule culotte blanche transparente.

La zone sombre qui se détache à travers le collant et la culotte ainsi que les poils qui en dépassent de part et d'autre, laissent présager que sa mère doit posséder une toison pubienne bien fournie. Mais ce n'est pas nouveau pour lui, combien de fois, par inadvertance, elle lui a montré une jolie vue de ses culottes quand elle est auprès de lui.
Heureusement, il connaît trop bien ses réactions hormonales dans ces moments-là. Quentin a eu la judicieuse idée de passer sa main sur le drap afin d'empêcher son érection matinale de venir former une bosse à travers le drap qui couvre la partie basse de son corps juste habillé d'un boxer.

— Dis-moi mon cœur, je vais faire les courses dans la matinée, il y a quelque chose qui te ferait plaisir à manger ce soir, je n'ai pas d'idée! Se plaint-t-elle.
— Heuuuu non, je n'en ai pas maman! Répond Quentin dont le regard passe du visage de son mère à ses énormes nichons déformant le petit pull blanc qui semble à la limite de la rupture.

Cette maudite jupe qui ne cesse de remonter sur son bassin, semble vouloir l'exciter davantage ce matin. Ses fesses emprisonnées dans le nylon sont maintenant directement en contact avec le drap de son lit. Ne se rendant compte de rien, elle continue de lui parler, oubliant que si elle est montée le voir, c'est pour le sortir de lit, non pas pour lui faire la causette.


— Maman...
— Quoi qu'y a-t-il mon chou?
— Tu devrais t'en aller pour me laisser me changer car je vais être en retard, s'il te plait! Prévient Quentin, qui n'a qu'une envie... Aller pisser afin de calmer cette crampe matinale.
— Oh oui, mince, excuse moi... Je te laisse mais ne traines pas trop!

Elle quitte la chambre et retourne voir son époux qui a fini de déjeuner, il enfile sa veste pour partir à son travail.

— Bon, j'y vais ... A ce soir chérie?
— A ce soir, ne rentres pas trop tard... Je t'aime!

Elle vient vers lui en lui donnant un panier avec plusieurs Tupperware dedans.

— Mmmmm je sens que je vais me régaler à midi, merci Isa! Se réjouit Patrick, qui embrasse sa femme et s'en va à son cabinet d'expert-comptable.

Souriante, elle lui fait un signe d'au revoir au loin en le regardant partir dans son véhicule à travers la vitre de la cuisine. Son fils arrive à ce moment et se dépêche de déjeuner se sachant encore une fois, à la bourre.

— Oui voilà... Manges vite et étouffes toi espèce de gros bêta!!! Tu vas avoir mal au ventre toute la journée comme ça! Le sermonne-t-elle, les mains sur ses hanches épaisses.
— C'est bon m'man, je suis assez grand putain!
— Surveilles ton langage jeune homme et n'oublies pas de prendre ton dîner dans le frigo.

Pressé, il quitte la maison en courant tandis que sa mère sort dehors en restant devant la porte d'entrée. Le regardant monter dans sa Golf GTI que ses parents lui ont achetée après la réussite de ses études en électricité.

— Vas doucement chéri, je ne veux pas que tu aies un accident! Hurle-t-elle inquiète, sachant la puissance du moteur qui se trouve sous le capot de cette voiture. Elle n'était pourtant pas d'accord avec son mari pour la lui offrir.
— Oui ... Oui, je sais, tous les matins tu me le répètes (soupir)! Se plaint Quentin qui ne supporte pas que sa mère le cajole comme un enfant.

La voiture sportive quitte la cour, laissant la mère de famille seule, qui entre dans la maison se sentant comme abandonnée.

— Bon ben ... Je vais faire le ménage puis j'irai aux courses, ça m'occupera! Annonce-t-elle comme pour se donner du courage.

Le ménage fini, elle quitte la vieille maison en pierre en se dirigeant vers l'ancienne grange qui sert dorénavant d'abri à voiture. Sur son passage, elle croise Henri, le père de son époux, revenant du jardin en poussant une brouette pleine de courges.

— Bonjour Henri... Houuuuu, mais c'est qu'elles sont grosses cette année, les courges! Le félicite-t-elle en se penchant au-dessus de la brouette pour examiner les légumes.

Le vieux retraité habillé d'une salopette et d'un béret, scrute le décolleté qui s'ouvre à lui grâce au poids des seins de sa belle-fille qui tirent sur le léger pull blanc. Lui donnant envie de lui répondre : « Il n'y a pas que les courges qui sont énormes, bon dieu! »

— Bonjour Isabelle...On a bien réussi cette année en effet!
— Je vais faire les courses, avez vous besoin de quelque chose en particulier?
— Oh vous savez, vos plats sont tout le temps excellents, que pourrais-je demander d'autre très chère?

Il place la brouette à l'entrée de l'ancienne porcherie qu'il utilise dorénavant pour y stocker tous les légumes récoltés. Henri accompagne ensuite Isabelle jusqu'à sa Twingo.
Vieil homme usé, mais pas sans imagination coquine, car les jupes courtes qu'elle porte chaque jour, lui permettent un joli coup d'œil sur ses grosses cuisses et ses culottes lorsqu'elle grimpe dans son véhicule.
Et aujourd'hui ne fait pas exception à la règle, Isabelle entre dans la voiture tout en lui parlant de ses courses à faire alors que son beau-père en n'a strictement rien à secouer.
Tous ses sens sont axés sur la jolie petite culotte blanche qui se dévoile devant ses yeux voyeurs lorsqu'elle écarte les cuisses.

Ses joues rougissent alors qu'il se racle la gorge, le voilà servi comme il aime à chaque fois que cette opportunité se présente à lui.
Mais peut-on en vouloir à ce pauvre Henri veuf depuis 10 ans et fragile du cœur, qui a dû emménager dans l'expansion de la ferme que son fils Patrick à fait rénover pour l'accueillir lui et son autre fils, Marc.

— Allez, à tout à l'heure Henri! Intervient Isabelle, qui croit que cet homme l'accompagne par gentillesse jusqu'à sa voiture et non pour se rincer l'œil.
— Oui... Heu hum. A tout à l'heure Isabelle et surtout, roulez doucement.


Plus tard en ville, la femme mariée sort du super marché avec un sac de course bien rempli. Toute souriante, Isabelle regarde le beau ciel bleu qui illumine cette fin de matinée.

— Aaaaaaah quel beau temps que l'on a pour cette journée de fin Octobre, c'est agréable! S'enthousiaste-t-elle en imaginant le bon repas qu'elle va préparer avec amour pour toute la famille: « Dommage que Marc ne vienne pas manger avec nous... Ça doit être triste de manger tout seul dans son coin! » Rajoute-t-elle en pensant au frère de son époux.

Les talons de ses escarpins noirs claquent contre le bitume de la rue qu'elle emprunte pour raccourcir son trajet à sa voiture.
Ayant toujours du mal à trouver une place pour garer sa voiture dans le petit parking du supermarché, Patrick qui connaît bien la ville, lui a recommandé de se garer dans un parking souterrain payant mais à cinq minutes à pied du magasin.

Quelques minutes plus tard, la voilà dans le parking, elle sort ses clefs de sa voiture garée quelques mètres plus loin quand tout à coup, la voix d'une femme et d'un homme venant sur sa gauche à plusieurs mètres d'elle la fait sursauter.

Sa surprise est totale quand elle comprend ce qu'il se passe.

Une femme rousse, couchée sur le capot d'une Mercédès rouge est tout bonnement en train d'être prise sexuellement par deux hommes. Vu leurs accoutrements crasseux, il est presque sûr que ce sont des sans-abris.
L'un tient son pénis dans sa main pour lui gifler le visage avec, tout en ricanant, pendant que l'autre enfonce son énorme phallus veineux et bandant, tout droit de son cul.

— Mon dieu... Mais! C'est un viol, ces clochards sont en train de violer cette pauvre dame! Réagit-t-elle à voix basse, comprenant bien que cette dame habillée chic, n'est certainement pas d'accord pour une partie de jambes en l'air dans un parking où n'importe qui pourrait les surprendre.

Ses jambes habillées de bas gris maintenus par un porte-jarretelle en dentelle noir, sont tenues en l'air par ses agresseurs afin d'être sodomisée plus facilement sans pouvoir empêcher les va et vient du violeur. Sa culotte blanche en soie fut à peine retirée de son monticule et son chandail noire est d'un coup, grossièrement ouvert laissant apparaitre ses petits seins enfermés sans défense dans un soutien-gorge en soie blanche devant les regards affamés de ces goujats.

Isabelle aperçoit un bout de vêtements au sol, elle devine malgré la situation, une jupe de tailleur à motif jaune, sans doute arrachée par ses deux ignobles personnages.
Son premier réflexe est de se cacher entre deux véhicules, garés juste devant elle. Elle s'accroupie pour ne pas être vu mais oublie au passage que sa jupe courte remonte d'un coup sur son bassin mais cela lui importe peu en comparaison à ce qu'il se passe devant ses yeux. Isabelle regarde la scène sans savoir quoi faire.

— Tiens, prends mon gros pieu dans ton cul... J'savais que tu aimais ça la bourge! Déclare l'homme qui la sodomise sans ménagement.

« Mon dieu, mon dieu... Que dois-je faire, pourquoi il n'y a personne d'autre que moi pour lui venir en aide? » Se demande-t-elle en fixant tout de même le long pénis qui entre et qui sort du fion de cette pauvre dame.


Malgré la situation, son regard reste braqué un moment sur cette barre de chair, se rappelant au passage que celui de son tendre époux, à l'air bien ridicule en comparaison. Mais... Mais... Comment cette chose -qui lui semble si énorme- peut-elle entrer comme ça, aussi facilement? Se demande Isabelle que cette seule question la fait rougir d'embarras.

« Il... Il faut que j'appelle la police, je ne peux pas laisser faire ça! » Se reprend-t-elle en cherchant d'une main tremblante son téléphone portable dans son sac à main.

Mais d'un coup, les mots de cette femme aux cheveux roux comme les poils de son pubis, vont paralyser la pauvre Isabelle :

— Oooooh oui.... Mmmmmm prends moi espèce d'ordure puant, oui sodomise moi, fait moi jouiiiiiir ouiiiiiiiiiiiiii!!!! Gémit-elle avec un accent Anglais.

Relevant la tête en

se demandant si elle n'est pas en train de rêver, Isabelle regarde cette femme qui sautille dans tous les sens sous les coups de butoir du clodo.
En même temps, elle pompe, bouche grande ouverte, le membre de l'autre qui se trouve avec elle sur le capot rouge qui se tord sur leur poids.

12
  • Index
  • /
  • Home
  • /
  • Stories Hub
  • /
  • Illustraté
  • /
  • Les pulsions d'Isabelle: Chapitre 01

All contents © Copyright 1996-2024. Literotica is a registered trademark.

Desktop versionT.O.S.PrivacyReport a ProblemSupport

Version ⁨1.0.2+1f1b862.6126173⁩

We are testing a new version of this page. It was made in 18 milliseconds