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L'orage

Après le dîner, je retourne à ma chambre pour réviser quelque leçon, bien décidé à obtenir ce soir ce que je n'ai pu obtenir le soirs précédents. Je me grise un peu du fantasme de posséder deux femmes différentes le même jour.

Au moment du coucher je viens donc voir maman et commence une série de câlins et de baisers dans son cou. Sans vraiment protester, je ne la sens pas très partante ce n'est vraiment pas l'enthousiasme de sa part. Je force néanmoins le destin et lui montre que moi j'ai très envi d'elle et je commence son dé habillage. La voilà en soutien gorge devant moi, comme un peu absente et ne consentant aux caresses qu'à contre cœur. Je lui fais part de mon étonnement « Qu'est ce que tu as, je te sens comme absente », maman me regarde et fond en larmes, « Je n'ai pas eu mes règles ce mois ci ! ». Je la prends dans mes bras et la berce comme un enfant, ses larmes coulent sur mon épaule. « Ce n'est pas si grave, elles vont venir ! » j'essaie de la rassurer, « Non, je ne crois pas, d'habitude elles arrivent au jour près, et là j'ai plus de deux semaines de retard, j'ai peur d'être enceinte ! ». Enceinte ! maman serait enceinte ! inutile de chercher qui lui aurait fait ça, il n'y a que moi qui l'ai approché en tant que mâle. Je suis abasourdi par sa révélation et je tente de sortir du tourbillon infernal qui tourne ma tête. « Ce n'est pas possible, tu prends toutes les précautions, tes règles vont revenir c'est sur ! ». « Rappelle toi, nous avons fait l'amour et j'ai tardé à faire ma toilette l'autre jour quand je me suis endormi sur ton lit ». « Mais maman, il y a une semaine de cela, tu ne peux pas savoir après si peu de temps ! ». « Il y a eu d'autres moments » m'affirme-t-elle, et elle paraît sure d'elle.

La panique me prend petit à petit, qu'allons nous devenir ? j'ai fait un enfant à ma mère, tout à coup l'univers s'effondre autour de moi. Maman se rend compte de mon trouble, elle me prend le visage et me force à la regarder. Je fonds en larmes devant son visage triste et je la sers très fort dans mes bras. « Allons, allons, me dit elle nous allons nous arranger », je la regarde surpris et mes larmes se tarissent peu à peu. « Que veux tu dire ? », « Je vais aller voir quelqu'un et me faire avorter ».

Tout s'embrouille dans mon esprit, je suis bien incapable de mettre une idée derrière l'autre, l'avortement est interdit, si maman se fait prendre cela peut lui coûter cher, je le lui fais remarquer. « Il faut être prudent et n'en parler qu'à des gens de confiance » me répond-t-elle.

« Tu connais quelqu'un ? », « Non, mais je sais qu'une amie a eu recours à un avorteur », « Quelle amie ? », « Je ne te le dirai pas, mais je sais qu'elle pourra m'aider, il faut faire vite. » . « Demain ? » je ne puis m'empêcher de presser le mouvement. « Non ce n'est pas possible, mais dès que possible j'irai la voir ».

Oui, il le faut, le plus tôt sera le mieux, je ne veux pas voir le ventre de maman grossir de par ma faute. Je regarde mieux son corps toujours offert à mes yeux, je constate que son soutien gorge est bien rempli et semble déborder un peu. Serait ce l'effet de sa grossesse, pour avoir vu mes tantes enceintes les unes après les autres, je sais par expérience que ce sont les seins des femmes qui gonflent avant leur ventre. Maman a suivi mon regard, elle regarde à son tour et se tourne vers moi, « Oui, je sais, mon soutien gorge devient trop petit, c'est un signe ».

Je reprends pieds doucement, je fais confiance à maman pour nous sortir de là, elle ira voir son amie et tout sera réglé. Je lui souris et caresse doucement son sein enflé par la grossesse.

Petit à petit j'arrive à chauffer son esprit, ses seins sont plus sensibles et elle répond à mes caresses ; Sa main se perd du coté de ma braguette et mon sexe apparaît à la lumière de la lampe de chevet. Maman me branle doucement, comme pour me consoler d'un grand chagrin. Je plonge ma main à mon tour entre ses cuisses et caresse sa culotte de satin couleur chair, après quelques instants, je vois bien que le tissu se mouille sous mes doigts. Je l'embrasse à pleine bouche comme jamais je ne l'ai fait, nos langues se mêlent pour un baiser d'amour comme on en vit peu. Je la bascule sur le lit et me met à la caresser de haut en bas. J'écarte un bonnet du soutien gorge et l'aréole brune m'apparaît, elle est presque noir maintenant et plus large. Je suce le sein maternel, provocant soupirs et geignements, en même temps je repense à madame lefait qui au dessus de nos têtes s'apprête à se coucher auprès de son époux. Ma bite est encore toute rouge d'avoir ramoné le cul et la chatte de la voisine et c'est maman qui va s'en régaler ce soir. Je retrouve mon insouciance pour bien baiser maman, oubliée les règles qui ne viennent pas, l'angoisse d'une probable grossesse, ce soir je veux baiser, planter ma bite bien au fond de sa chatte et bourrer son vagin de mon sperme.

C'est à ça que je pense en montant sur son ventre et en fourrant ma queue au plus profond de sa fente. Elle a poussé un « Ah ! » de surprise quand ma tige raide a forcé le passage des grandes lèvres et s'est planté dans son réceptacle. Sans attendre je me suis mis à besogner de la bite dans sa chatte. Petit à petit j'ai senti son trou se lubrifier et ma queue aller facilement en son fourreau. Ses seins durs et gonflés agacent ma poitrine, les tétons sont érigés, je les sens durs contre ma peau. Je baise comme un fou, de plus en plus vite mes coups de reins ébranlent le corps de maman, je la secoue de la tête aux pieds dans une rage de cul que je n'ai jamais ressenti. Le sperme me monte de mes couilles qui me font mal, je ne les ai guère ménagé aujourd'hui. Je sens aussi maman qui monte vers le plaisir, nous allons jouir ensemble, je le veux, nous sommes dans la même galère et nous devons être solidaires. Nous jouirons ensemble et nous serons ensemble dans l'épreuve, « Tu veux maintenant ? ». Je lui ai glissé cela à l'oreille, « Oui, maintenant ! » souffle-t-elle à son tour. « Tu veux du sperme ? » la question m'est venue comme avec madame Lefait juste au dessus de nous et qui cherche le sommeil auprès d'un époux qui ronfle. « Oui, donne moi ! », maman me le glisse au creux de l'oreille au plus fort de mes coups de reins. « Je vais te remplir de mon sperme, tu vas tout prendre et tout garder ! » , « Oh ! mon fils oui, donne moi ton sperme donne le moi ! ». Maman a écarté ses cuisses en grand, je les prend sur mes épaule et m'enfonce au plus loin dans son vagin pour délivrer une charge de foutre qui gicle au fond d'elle en me martyrisant les couilles. Cette fois j'ai vraiment mal d'avoir tant baisé, je grimace de jouissance autant que de douleur et m'effondre sur maman.

Pourquoi ai-je l'impression que son ventre me repousse ?

Maman n'a pas bougé, nous sommes restés l'un dans l'autre nos corps soudés ensembles. Elle n'a pas éprouvé le besoin d'une toilette rapide de son sexe, à quoi bon, elle sait que la petite graine a germé en elle et que si elle laisse faire son ventre enflera inexorablement.

Nous finissons par nous endormir ainsi sans nous désunir pour plonger dans un sommeil lourd de fatigue et d'émotion.

*

Le lendemain je pars pour l'école comme d'habitude, mais mon humeur est sombre. Maman le sait et son baiser est plus tendre quand elle me souhaite une bonne journée.

En classe je suis distrait, je n'écoute les profs. que d'une oreille distraite, tout mon esprit est tourné vers maman et l'angoisse qui est la sienne. Machinalement mon regard passe mes copains en revue et je me trouve comme un extra terrestre face à eux. Inutile de se poser des questions, je suis bien le seul à vivre une telle situation, qui en dehors de moi a couché avec sa mère ? Qui en dehors de moi l'a engrossée, lui a fait le ballon, lui a planté un gosse ?

Je me rends compte du lourd secret que j'ai désormais à porter en même temps que maman porte le fruit de nos amours. Je sais maintenant que la confidence est impossible, ça aussi me rend différent quand tous les autres se répandent en bavardages pour compter leurs exploits. Je suis encore plus solitaire qu'avant, je n'ai plus de confidence à faire.

Je rentre de l'école vers cinq heures, sans hâte excessive je regagne l'appartement, je sais trop ce qui m'attend là haut.

Maman est là comme à son habitude, elle me prépare mon goûté et s'assoie en face de moi. Elle me regarde, l'angoisse a disparu de sa face pour faire place à une sorte de triste résignation. « J'ai acheté un test de grossesse », je me suis figé et je la fixe, attendant la suite, j'arrive à articuler « Et alors ? » . La réponse me vient immédiatement « Positif , je suis bien enceinte. Ce n'est pas fiable à cent pour cent mais cela confirme mes craintes, je suis bien enceinte de toi ».

« Enceinte de toi », ces mots résonnent dans mon crane comme un mal de tête. S'il venait de n'importe quelle femme se serait une joie, là c'est un drame qui me choit dessus, un drame pas banal, avoir engrossé sa propre mère !

« Et maintenant ? »

« J'attends encore une semaine et je vais voir mon amie »

« Pourquoi attendre ? »

« Pour être bien certaine »

« Mais il semble bien que… »

« Oui mais je veux vraiment être sure à tout prix, ce n'est pas quelque chose qu'on dévoile à la légère, il faut être certaine de son fait »

« J'irai avec toi ! »

« Certainement pas, je ne veux pas que tu saches qui est cette amie ! »

« Oui mais après, je veux être avec toi »

« Il me faudra de l'aide, nous verrons bien comment cela se passera. »

« Je t 'accompagnerai là où tu iras, je veux être avec toi »

« C'est gentil mon chéri » et elle me gratifie d'un sourire un peu triste.

*

Nous sommes maintenant en Novembre, cela fait deux mois pleins que maman n'a pas vu ses règles. Son état de grossesse est confirmé et elle a été voir sa mystérieuse amie. Cela s'est passé un Samedi après midi, maman s 'est habillée et m 'a simplement dit « Je sors » sans plus de précision. Je n 'ai pas osé en demander plus, je me doutais bien du but de cette sortie. J'ai continué mes devoirs distraitement, pensant à maman et à son voyage à travers la ville. Cela a été assez long, elle n'est rentré qu'en fin de soirée, je commençais à m'inquiéter.

« Alors ? » ne puis-je m'empêcher de la questionner. Elle a un soupir de lassitude et son regard est triste pendant qu'elle cherche une chaise pour s 'asseoir. J'ai la gorge sèche en attendant sa réponse.

Enfin elle lève les yeux vers moi, « Ce n'est pas gagné » me dit elle, « J'ai vu mon amie, elle m'a donné le nom et l'adresse du médecin, c'est un médecin à la retraite mais il est extrêmement méfiant, il a déjà eu des problèmes et est très réticent à recevoir les femmes dans mon état ».

« Tu l'as contacté ? »

« Oui je l'ai appelé, et il m'a envoyé promener ». Je ne crois pas ce que j'entends, je reste sans voix et sans réaction, nous voilà à nouveau en plein drame, moi qui pensait que la solution serait facile je me trouve confronté à la dure réalité de la vie d'adulte. Je m'assieds à mon tour car mes jambes se dérobent, je vois déjà le spectre du scandale fondre sur nous et nous entraîner dans un tourbillon qui finira par nous broyer tous les deux. Mon père va me tuer s'il arrive à savoir ce qui s'est passé derrière son dos, ma mère sera dé honorée à jamais, elle supportera jusqu'à la fin des temps les conséquences de nos frasques. J'imagine ce que cela sera dans trois ou quatre mois quand son ventre sera gonflé , elle ne pourra plus sortir sans que l'on se demande qui est le père de l'enfant qu'elle porte, les commères savent bien compter elles qui habitent un port et savent quand les maris sont en permission. Combien de femmes ayant pris un amant se sont trouvé démasquées par ces femmes sachant trop bien calculer, j'en ai entendu assez sur le sujet en laissant traîner une oreille dans les conversations entre adultes.

Tout cela me court dans la tête à la vitesse de l'éclair, maman n'a pas la réputation d'une coureuse, et les questions ne tarderont pas à se poser à son sujet.

Maman a bien vu mon désarroi, elle me prend la main « Ne t'en fait pas, j'essaierai encore demain, il sera peut-être mieux disposé qu'aujourd'hui, et s'il ne veut rien savoir, je demanderai une autre adresse ».

Brave maman, qui essaie de me protéger de ses ennuis par tous les moyens. Il n'en reste pas moins que ce soir est triste et pluvieux comme l'hiver qui vient vers nous à grands pas. Dans un mois et demi ce sera Noël, papa sera là, ce devrait être la fête, se sera peut-être le drame de notre vie.

Maman a senti la profondeur de ma tristesse, elle est plus maîtresse de ses sentiments, « Allons ! », elle se lève et vient à moi toujours sur ma chaise. Elle prend ma tête dans ses mains et me serre contre sa poitrine, j'étouffe à demi coincé entre la chair généreuse et dilatée de ses seins. Sa chaleur réchauffe un peu mon optimisme, assez pour avoir à ce moment des pensées sensuelles. Ses seins sont tendus dans le soutien-gorge, je saisis à quel point ils repoussent le tissus léger qui les retient. Il me vient un début de bandaison, mes bras enserrent la taille de maman, je la retiens à mon tour contre moi et lui caresse doucement les fesses. Mes mains descendent encore le long de ses cuisses sur sa jupe jusqu'à le limite du tissus, je sens sous ma paume le fin nylon de ses bas. Mes mains remontent le long de ses jambes et entraînent la jupe avec elles, j'atteins la limite des bas, voici la chair chaude de sa cuisse où court une courte jarretelle jusqu'à sa gaine. Ma bouche embrasse ses seins à travers son corsage, je la sens qui se laisse aller entre mes bras, trop d'émotion, trop de lassitude, ont eu raison de sa résistance, je la sens prête à succomber à mes fantaisies, sans doute en a-t-elle aussi envie pour oublier cette pénible journée.

Mes mains sous sa jupe lui palpe son fessier ferme sous mes doigts, elles courent sur sa peau de ses cuisses à ses hanches en réchauffant la chair et le désir. Je le sens bien rien qu'à son souffle plus haletant. Je sors mes mains pour dégrafer sa jupe qui choit sur le plancher, son corsage en un tourne main suit le même chemin, enfin sa combinaison vole par dessus sa tête et maman est devant moi en sous vêtements.

Je me lève à mon tour pour la regarder mieux, je la trouve belle, ses seins dilatés par sa grossesse dardent plus que jamais et menacent la fragilité du soutien-gorge de dentelle qui leur sert d'écrin, le spectacle est à la fois charmant et infiniment érotique. Est ce une idée que je me fais, il me semble voir son ventre plus bombé que de coutume dans la gaine de couleur chair qui l'enserre, je refuse cette idée de voir grossir son ventre, elle s'aperçoit de mon trouble et me prend dans ses bras. « Viens » me souffle-t-elle à mon oreille alors qu'elle me guide jusqu'à sa chambre.

Nous nous abattons sur le lit, enlacés et plus que jamais avides l'un de l'autre.

Commence alors la plus folle nuit que n'ayons jamais eue. Sans plus attendre, j'arrache mes vêtements et nu comme à mon premier jour je fonds sur elle et la chevauche. Ses cuisses s'ouvrent et mon sexe trouve son pubis déjà brûlant. Je l'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent et font l'amour pendant que nos mains se caressent de toute part. Sans attendre davantage, je glisse une main entre ses cuisses et écarte brutalement sa culotte, maman se raidit brusquement sous mon geste, je ne m'arrête pas à ce qui pourrait être une réticence, je guide mon sexe vers ses lèvres et force le passage vers son vagin que j'envahis d'un coup de reins. Maman a tressailli sous l'assaut, elle pousse un « Ohhh ! » surprise et contente à la fois. Je besogne déjà dans son canal humide, je glisse sans difficulté pour toucher le tréfonds de sa chair, je pousse ma queue aussi loin qu'il m'est permis et l'ouvre de mon gland exalté.

Elle gémit d'une voix doucement geignarde, elle ne s'attendait pas à cet assaut de hussard que je lui fais subir. Ma bite fore sa chatte à chaque coup de reins que je donne, je suis maintenant tout à mon affaire : oublié nos angoisses et nos affres, oublié ce vieux toubib qui finira bien par céder, je veux baiser comme je ne l'ai jamais fait, procurer à maman un plaisir dont elle se souviendra toute sa vie. Elle sent qu'il va se passer de grandes choses car je la sens prête à tout ce soir , à cette espèce de passivité qui laisse libre court à toute mon imagination. Pour l'instant je veux l'entendre bramer de plaisir sous mon ventre qui la presse et mes coups de reins qui la pilonne, j'ai la queue dure comme jamais je ne l'ai eue, je la sens aussi grosse qu'un concombre.

Son plaisir, je le sens qui monte sous mes coups de boutoir à ses râles qu'elle profère à la cadence de mes reins. Attentif et besogneux, je pousse des « Han, han han, » au rythme de mon piston et son souffle me répond « Ah ! ah ! ah ! » quand elle sent s'enfoncer en elle mon épieux de chair. Nous montons à l'assaut du plaisir à la cadence de nos reins unis dans une course de fond.

Je vois son visage sous le mien qui se détend peu à peu, ses rides qui s'effacent et cette légère crispation qui affecte son nez quand mon sexe touche le col de l'utérus. Mais je veux aller bien à fond en elle, sans la ménager, mélanger jouissance et souffrance, lire sur son visage ce mélange si excitant qui me pousse encore et toujours en avant.

Son râle est continu, un long son de gorge, primitif et instinctif. L'instinct de la création, la continuité de la race, perpétuation de l'espèce, le don de la vie, chaque coup de ma bite est symbole, quand elle vient frapper la porte de sa citadelle comme le bélier de jadis.

A ce train, la jouissance ne tarde pas à poindre son nez, je sens mes couilles qui se contractent et le sperme monte inexorablement le long de ma queue. Je bloque encore un instant le flot qui s'annonce et en avertis maman. « J'ai envie de jouir, je sens que ça vient, je vais te donner tout mon sperme, le veux tu ? »

« Oh oui ! donne moi tout ton sperme mon fils donne moi ! », c'est une supplique qu'elle m'adresse, elle est prête à tout prendre et tout garder cette fois. « Tu garderas tout, je veux que tu gardes tout en toi, je vais te remplir de ma liqueur », elle tressaille, « Ohh !! donne moi, donne moi tout mon chéri donne à ta maman, je te veux je te veux en moi, donne moi tout je t'en supplie donne moi !! ». Je la sens partir dans son délire érotique et veux un peu plus l'entendre. « Je vais faire couler en toi tout mon foutre, tu prendras tout jusqu'à la dernière goutte qui sortira de ma queue, je te remplirai de sperme jusqu'à ce que ta chatte en déborde, je veux voir ta chatte baver mon foutre ! ». Penché à son oreille je profère les insanités qui me viennent à l'esprit et maman en frémit de désir. « Donne ! donne » ordonne-t-elle soudain avec une détermination qui ne laisse pas place à la discussion. Son bassin s'avance vers mes reins, ses cuisses s'ouvrent, je les prends sur mes épaules et maman s'abandonne tout à fait à la jouissance. Son visage se crispe un peu alors que je lui annonce l'arrivée de mon flot, « Ca y est je te remplis ! » je lui ai crié à l'oreille tandis que je lâche les vannes de ma semence qui se précipite par mes tressaillements en la cavité avide de la recevoir. Mes pulsations dégorgent ma queue trop longtemps retenue comme un cheval retrouvant soudain la liberté. Je me recule un peu hors du vagin, juste pour laisser place au sperme dans le conduit étroit, je veux vraiment que maman soit pleine de moi et qu'elle en perde un minimum.

Elle a jouit en même temps que moi d'un long râle bestial incontrôlé qui se meurt lentement au fur et à mesure que se vident mes couilles.

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