• Home
  • /
  • Stories Hub
  • /
  • BDSM
  • /
  • Quatre à Quatre Ch. 01

Quatre à Quatre Ch. 01

12

[Marie]

Je prends mon courage à deux mains et j'ose aborder Alexandra, la nouvelle propriétaire de la grande maison au cœur de notre copropriété.

- Bonjour Madame

- Bonjour (elle me regarde inquisitrice, surprise d'avoir été ainsi abordée)

- Nous ne vous avons pas vus à la fête des voisins hier, comme je suis finalement la seule qui soit vraiment voisine de vous, accepteriez-vous de venir dîner un soir avec votre mari et vos filles?

Un long silence s'installe, j'ai le rouge aux joues, et je me demande bien pourquoi je veux inviter cette famille qui, de façon ostensible, méprise le reste de la copropriété, et vit sa vie sans contact avec nous. Il est vrai que si le standing est très correct, la maison qu'ils ont acquise correspond à un autre niveau, avec ses cinq cents mètres carrés. C'est une petite incongruité dans la copropriété, occupée pendant plus de trente ans par un artiste célèbre, qui n'était pas moins indifférent au reste des habitants.

Après m'avoir longuement regardée, elle se décide à me répondre.

- Très bonne idée, mais venez plutôt à la maison, nous serons plus à l'aise. Samedi vingt heures, et venez avec vos enfants, cela distraira les jumelles.

Elle me plante ainsi, ne sachant quoi lui répondre. C'est vrai que notre appartement est petit, mais quand même. Cependant, découvrir la maison me tente beaucoup, personne ne la connait vraiment. Je reste très stressée et fébrile de samedi, réfléchissant déjà à comment m'habiller.

Ce qui n'est pas simple pour moi. Je suis petite, 1m62, fine, mais avec une grosse poitrine qui me donne facilement l'air d'être grosse. Il faut donc que je trouve des vêtements qui remontent sous mes seins, sinon on a l'impression que j'ai un gros ventre, ce qui est injuste, compte tenu des efforts que je fais pour rester avec mon ventre plat, malgré deux grossesses!

Les hommes ne s'en plaignent pas, il est vrai! Je suis harcelée tout le temps, et je ne m'en plains pas non plus. Julien, mon mari, a été mon premier homme et le seul pendant quelques années. Nous avons eu Lucie et Kevin, très jeunes, j'avais dix-huit ans pour la première et vingt pour la seconde! Et à mes vingt-cinq ans j'ai découvert que le sexe d'un homme pouvait donner du plaisir, être gros et grand, que faire l'amour était génial. Je me suis largement rattrapée depuis, ayant de très nombreuses aventures, parfois épicées, toujours torrides. Beaucoup d'hommes me décrivent comme une bombe sexuelle, et ayant vécu avec moi leur meilleur coup! Il est vrai que j'aime tout, que je suis insatiable et surtout très active!

Au début, ces infidélités me mettaient un peu mal à l'aise par rapport à Julien, je les lui cachais. Mais rapidement cela m'a pesé d'avoir une double vie, aussi je le lui ai dit, bien qu'il s'en soit évidemment douté. Aujourd'hui, je le fais au vu et au su de toute la famille, partant parfois toute une nuit ou même un week-end, alors que Julien s'occupe de la maison et des enfants. Nous n'avons plus fait l'amour depuis près de dix ans, et je sais qu'il compense cela avec des masturbations quotidiennes et répétées. Cela ne me gêne pas, et nous avons notre équilibre ainsi. Pour être honnête, le sexe de mon mari est dans la moyenne, j'ai croisé plusieurs hommes moins bien montés, mais je le laisse dans cette croyance qu'il est peu membré, ainsi il est totalement compréhensif sur mes agapes multiples et permanentes. Ce n'est pas très gentil, mais ma priorité c'est mon plaisir!

Lucie semble avoir hérité de mon tempérament sexuel. Elle multiplie les copains, mais ne s'attache pas, passant d'un mec à l'autre. Elle est tellement jolie, je me demande comme nous l'avons faite, car elle est plus grande que moi et Julien, qui ne dépasse pas 1m70. Elle est élancée, fine, mais avec une jolie poitrine, moins grosse que moi heureusement, de longs cheveux soyeux, tous les hommes craquent. Je l'ai même vue avec des hommes plus âgés que nous, il faut dire que nous sommes encore jeunes, nous ne fêterons nos quarante ans que dans deux ans!

Son frère c'est autre chose, il est tout aussi timide que le reste de la famille (même si sa sœur et moi avons une forte libido, nous sommes toutes les deux assez timides et en retrait, quant à Julien, on peut le décrire comme effacé), et je ne crois pas qu'il ait eu une relation sexuelle, ni même une petite amie. Il n'en parle pas, quand Lucie ou moi étalons nos conquêtes sans pudeur. Il a hérité de la très petite queue de son père, et sans doute se sent-il diminué par-là, j'avoue avoir du mal à le rassurer. Je la vois régulièrement, sa bite, car nous ne sommes pas très pudiques entre nous. Et c'est vrai que je plains sa future femme.

Bon, cela étant, je pense prendre un haut blanc très moulant, ainsi ma plastique est mise en avant, avec une jupe légère et fleurie, et des escarpins blancs à haut talon. Je n'ai que des hauts talons, sinon je fais vraiment petite. Et si Alexandra doit mesurer 1 m 75, son mari, Geoffroy est encore plus grand. Finalement ce sera Julien le plus petit, cela me fait sourire.

La maison qu'ils habitent était à l'origine une maison close, puis un lieu échangiste gay, avant que l'ancien propriétaire en face son habitation. L'extérieur en brique est magnifique, et elle dispose d'un jardin privatif de deux cents mètres carrés. En plein Paris, c'est unique et coûte une fortune sans doute. Je ne sais rien des nouveaux propriétaires, sinon que je ne les ai jamais vu sourire, qu'ils sont tous les quatre magnifiques, et que les jumelles doivent faire des ravages chez les garçons. Brunes aux yeux bleus, je ne les distingue pas l'une de l'autre, toujours habillées pareil. Ils ont en fait un droit de passage sur notre copropriété, et notre appartement est le seul à avoir une vue sur la maison, mais pas sur le jardin. Dans le parking, les quatre places qui leur sont attribuées sont occupées par des voitures magnifiques, chacun a la sienne, les deux filles chacune une Tesla noire. Je me demande pourquoi, car je ne les ai jamais vues l'une sans l'autre.

J'arrive au Castorama, toujours perdue dans mes pensées. J'enlève ma culotte que je mets dans la boîte à gant, et je me rends au rayon plomberie, désert à cette heure-là. J'ai le cœur qui bat, la chatte qui mouille, Roger m'attend, et je frissonne de désir. Je ne sais rien de ses plans, mais je connais sa puissance et sa violence sexuelle, je ne suis jamais déçue. Il est bien plus jeune que moi, d'une vigueur incroyable, et avec une queue vraiment énorme, la plus grosse que je connaisse. Et désolée, mais cela compte énormément. J'adore me sentir remplie, défoncée voire déchirée, c'est une plénitude incroyable. La douleur se mêle au plaisir, c'est inouï.

Il m'embrasse, m'empoigne par mes mamelles comme il dit, et me tire dans un rayon désert où s'amassent de gros tubes. Il me retourne brutalement, soulève ma robe et me casse en avant, mes bras sur un rayonnage pour lui offrir mes fesses, comme il le désire. Je me suis méfiée, aussi j'ai lubrifié mon cul avant de partir, et j'ai bien fait! Il sort son engin par la braguette, le pointe sur mon cul, et s'enfonce d'un coup.

Je mords ma main pour ne pas crier, mélange de stupeur, de douleur, de plaisir, de plénitude. Il cherche à aller profondément, sentir son membre buter, avant de commencer des allers et retours puissants et violents. J'ai des frissons partout, mon corps se détend, acceptant ce corps étranger et pourtant si désiré. Je perds la tête, j'ai les yeux fermés, juste concentrée à ne pas perdre mon équilibre.

- Excusez-moi, mais ce n'est pas le lieu pour de telles pratiques.

Un employé vient nous interrompre. Roger reste profondément en moi, et appuie une main sur mon dos que je ne bouge pas.

- Vous voulez en profiter, elle adore cela.

- Je n'en doute pas, mais je ne vais pas perdre mon poste pour une telle salope.

- Et si c'est à l'abri des regards?

- Suiviez-- moi

Le jeune vendeur part vers une réserve, Roger a sorti son membre de mon cul qui reste frustré, et je les suis un peu chancelante. Le vendeur ferme la porte derrière nous, je suis allongée sur la table, je suis bien. Les jambes écartées, Roger lui vante la marchandise.

- C'est une petite bourgeoise qui a besoin de se faire défoncer, il ne faut pas hésiter à y aller fort, voire très fort. Elle aime cela.

Le vendeur ne se fait pas prier, et je sens une nouvelle queue me sonder profondément. Elle est plus raisonnable, et je n'ai que du plaisir, je l'excite avec des mots, le suppliant de me défoncer, j'ai envie des deux bites en moi, mais le lieu ne s'y prête pas. Le jeune jouit rapidement, Roger récupère la capote et me la fait avaler, le vendeur est sidéré par mon plaisir, il mate ma poitrine et Roger me demande de la lui montrer. Ma robe est à terre, mon soutien-gorge aussi, et il s'en donne à cœur joie à me peloter, me pincer, puis il commence à me gifler les seins. Instinctivement je mets les mains dans le dos, et les coups commencent à pleuvoir, cela fait à peine mal, mais c'est très excitant de les voir voler dans tous les sens. Le jeune s'échauffe, me traite de tous les noms, me promets mille tortures, cela m'excite tant. J'ai besoin de Roger dans mon cul.

Il vient derrière moi, je fléchis un peu les genoux, et il rentre comme dans du beurre, je me sens bien ainsi. Le jeune a pris une palette en bois, et me fouette les seins, c'est douloureux, les marques sont vives, je suis dans une position hyper inconfortable mais je lâche une main pour me caresser, je jouis très vite, et je hurle mon plaisir. Roger n'est pas en reste, le calme revient vite. Le vendeur semble un peu décontenancé par sa propre violence, je le rassure en le remerciant, et nous sortons comme si de rien n'était, mon cul rempli du sperme de Roger, qui commence à s'échapper. Je suis à peine rassasiée. Je suis soulagée de remettre ma culotte, mes cuisses sont déjà maculées de sperme. J'envoie un SMS à Roger, quand il veut, où il veut!

***

[Julien] Je n'ai vraiment pas envie d'aller à ce dîner. Je ne sais pas pourquoi Marie s'est mise en tête de les inviter. Je préfère largement rester à la maison, je suis de plus en plus ours, rien ne m'intéresse, sinon passer des soirées devant mon ordinateur.

Je suis responsable de la maintenance dans une gare parisienne, et c'est pour moi une sacrée promotion sociale. Mes parents étaient ouvriers agricoles, et j'ai eu la chance de pouvoir faire un BTS malgré la naissance non prévue de Lucie, puis celle prévue, de Kevin. Ma vie me convient bien, je suis calme au travail comme à la maison. Je sais bien que je ne satisfais pas Marie depuis longtemps, sinon depuis toujours, et je trouve cela normal qu'elle aille voir ailleurs. Parfois elle me raconte, j'avoue que cela m'excite, et que je me masturbe en y pensant. Rien que de la regarder, je suis toujours aussi émoustillé, avec ses gros seins pendant! Je l'aime tellement, je pense qu'elle n'en a pas idée, aussi je l'ai toujours laissée faire ce qu'elle voulait. Je ne comprends pas les hommes jaloux, là-dessus. Parfois je lui offre de la lingerie que je sais qu'elle portera avec d'autres.

Mais ce soir elle nous a embarqué dans un truc que je ne sens pas du tout. J'ai mis une chemise en lin sur mon jeans, et cassé ma tirelire pour acheter deux belles bouteilles de Bourgogne. Marie pense que c'est plus chic que du bordeaux. Nous sommes tous les 4 un peu crispés, Kevin comme moi un peu boudeur, les deux femmes bien plus excitées. Je suis quand même curieux de la demeure dont nous allons franchir le seuil!

Première surprise, et de taille, la porte s'ouvre sur une femme de 35-40 ans, en tenue de soubrette, avec le petit tablier blanc, un truc dans les cheveux, une robe noir ultra courte juchée sur des talons aiguilles interminables! Elle semble sortir tout droit d'un des sites fétichistes que je consulte parfois. Sa peau est couleur miel, ses seins semblent vouloir jaillir de son corsage qui masque à peine le haut d'un corset qui la contraint. Malgré la chaleur, elle porte des bas, dont les jarretelles se découvrent à chaque pas. Mon petit sexe est déjà au garde à vous, Kevin, comme moi, a les yeux exorbités, tandis que les deux filles ne disent rien. Quelle apparition!

Le hall est majestueux, avec un grand escalier partant dans les étages, incroyable en plein Paris. Tout est en marbre, nous avons l'impression de rentrer dans un palais, et nous ne devons pas être loin de la vérité. Les talons de la soubrette claquent sur le sol, nous la suivons, hypnotisés par le bruit et fascinés par la vision qu'elle nous offre. Elle n'a pas prononcé un mot, nous fait rentrer dans un salon, n'ayant nul besoin de prendre nos manteaux, puisque nous n'en avons pas. Nous n'avons eu que quelques mètres à parcourir. Nous nous regardons complètement subjugués.

Le salon est immense, peut-être 100 m2, décoré de façon très moderne, avec de grands canapés, de nombreux tapis, les murs couverts de tableaux. Je n'y connais rien, mais je trouve cela très beau. Nous restons debout, un peu nerveux, faisons le tour, apercevant quelques fenêtres de chez nous. Déjà la soubrette revient, nous sert un verre de champagne à chacun, avant de s'éclipser, prononçant ses premiers mots pour nous annoncer que ses Maîtres arrivaient. Nous sommes tendus et n'ouvrons pas la bouche. L'ambiance semble irréelle évidemment me mot Maître m'interroge, l'ambiance aussi.

- Bonsoir, c'est gentil d'être venus jusqu'à chez nous!

Alexandra nous souhaite la bienvenue, sans un sourire, tout en étant très accueillante. Elle est dans une robe noire moulante, magnifique, c'est une très belle femme, décidément. Geoffroy, dans un costume bleu nuit, sans aucun doute sur mesure, ne l'est pas moins. Quant aux jumelles, habillées de façon identiques, elles ont plutôt pris le look gothique et dentelle, avec un maquillage très sombre. Les canapés sont bien assez grands pour que tout le monde trouve une place confortable. Marie en bord de canapé, de peur de laisser voir à tout le monde sa culotte. Ce que Julie n'hésite pas à faire, malgré mes gros yeux.

La conversation se noue plus facilement que je ne l'aurais cru, les enfants parlent entre eux, tandis que nous devisons avec Alexandra et son mari. Je n'ai jamais été très bon en small talk, mais ils s'en occupent pour nous. Geoffroy est chirurgien esthétique et possède sa propre clinique dans l'ouest parisien. D'où leur déménagement pour se rapprocher. Il inspire une grande confiance, avec beaucoup d'autorité, je suis assez impressionné par lui. Alexandra, quant à elle, dirige une petite agence de publicité à Levallois Perret. Nous sommes dans des milieux inconnus de nous. Marie est responsable administrative dans une petite société, n'ayant jamais pu faire d'étude supérieure, et nous sommes déjà très fiers de ce que nous offrons à nos enfants.

Nos hôtes ne semblent pas du tout gênés par ce décalage, et nous mettent à l'aise. Le champagne coule à flot, et j'ai la tête qui tourne. Geoffroy me félicite pour le choix du vin, je me sens plutôt bien. Avant de passer à table, je souhaite faire un tour aux toilettes. Alexandra sonne la soubrette, Cila de son prénom, et lui demande de m'accompagner à l'étage pour les toilettes de la chambre invités.

Je la suis et ne manque pas de découvrir qu'elle n'a pas de culotte sous sa robe, les escaliers ne me cachant rien de son anatomie. Cette femme aux formes divines, me fait un effet dingue. Je suis tellement dur, je pourrais jouir sans me caresser. Une coursive fait le tour de l'entrée, pour desservir un étage supérieur, et plusieurs chambres. Cila ouvre une grande chambre occupée par un lit immense et me conduit à la salle de bain. Elle referme la porte derrière moi, ébloui par le luxe évident, mais aussi par la chaleur que Cila dégage. Mon sexe est tellement dur, que je suis incapable de me soulager. Je n'ose me masturber pour me soulager.

- Venez, je vais m'occuper de cela

Je sursaute, je n'ai pas vu Cila rentrer. Je suis tétanisé, mon sexe sorti de ma braguette, raide comme jamais. Sans un mot de plus, elle saisit ma hampe, me fait pivoter, et à genoux se met à me sucer, enfonçant mon sexe au fond de sa gorge. Je jouis en quelques secondes, des étoiles plein les yeux, gémissant mon plaisir. Cela fait si longtemps que Marie ne m'a plus touché.

Retirant à peine mon sexe de la bouche, Cila m'intime l'ordre de me soulager dans elle! Son regard est sur moi, je suis momifié, je ne sais que faire, je me demande si j'ai bien compris, mais elle garde mon sexe ramolli en bouche, je me décide, je ferme les yeux, tant l'image m'excite prodigieusement. J'urine dans sa bouche, ou plutôt sa gorge, elle avale tout, sans peine. Me lèche précautionneusement après, me faisant rebander. Elle me suce, le plaisir est plus long à venir, mais je le sens monter, cette femme est terriblement excitante. Quand je sens que je vais jouir, elle se redresse, me laissant le sexe à nouveau bandé, et reprend le chemin du retour. Je cours derrière elle, me rhabillant, le sexe trouvant heureusement une place entre mes cuisses.

Personne ne fait attention à moi quand j'arrive à table pour m'asseoir, heureusement, car mon pantalon est déformé. Je suis rouge de confusion, mais aussi de frustration, j'ai tellement envie et besoin de jouir à nouveau, c'est une torture. Mes yeux ne quittent plus Cila, qui semble n'avoir aucun égard particulier pour moi. Je me demande pourquoi elle a fait une telle chose.

Cette fois, nous sommes tous les quatre sur le gril. Le couple semble passionné de découvrir qui nous sommes, ce que nous faisons, nos loisirs, nos habitudes, notre cercle social. Ce faisant, il est facile de conclure que notre vie est plutôt pauvre, même pour nos enfants. Nous n'avons guère de choses excitantes à raconter, mais ils continuent à s'intéresser, à nos familles, nos entourages, en quelques dizaine de minutes, ils savent tout de nous. Jamais personne ne s'est intéressé à nous de la sorte!

Ils décident que les enfants montent dans les appartements des jumelles pour prendre le dessert, quant à nous, nous irons au petit salon pour continuer cet échange. Marie est subjuguée par nos hôtes, je le vois à ses yeux brillants, à sa façon de pencher la tête, et à mille autres détails. Je le suis tout autant, je ne m'en cache pas. Leur autorité et leur bienveillance fait un cocktail très particulier. Le vin a été très bien choisi et sans doute les deux bouteilles, un peu justes. Nous prenons le dessert au champagne.

Geoffroy propose à Marie de lui faire découvrir le sous-sol de la maison, nous ignorions qu'il y en avait un, tandis qu'Alexandra revient sur notre rencontre, avec des questions plus intimes, maintenant que les enfants sont en haut. Je réponds franchement à ses questions, lui avoue mon complexe, comment Marie en est frustrée, ses nombreuses aventures dont elle me parle souvent. Elle est surprise que je ne sois pas jaloux, s'interroge sur ma propre sexualité, c'est quelque chose de doux de lui répondre, de m'ouvrir ainsi. Pourtant elle n'est pas chaleureuse, mais elle m'écoute!

Elle me fait décrire ce que Marie aime, les rencontres qu'elle fait. Se demande pourquoi moi je n'en fais pas. En vérité, je ne sais pas, Marie a été ma seule femme, et je crois que je n'oserai pas me montrer devant une autre femme. Alexandra me regarde intensément, me demande de confirmer que je n'ai jamais touché aucune autre femme, l'image de Cila dans la salle de bain me revient, et je le lui dis. Cela m'excite terriblement de le lui dire, ma frustration de tout à l'heure n'a pas faibli. Elle ne semble ni surprise, ni choquée. Satisfaite je dirai. Peut-être que je lui dise la vérité. Ou de me voir ainsi? Elle fait tinter sa clochette et Cila s'empresse d'arriver.

Julien m'apprend que tu l'as aidé à uriner?

Oui Madame

Cela a-t-il été difficile?

Il bandait très dur, aussi je l'ai soulagé avant

Très bien, il a joui vite?

Oui très vite Madame, il était très excité

12
  • Index
  • /
  • Home
  • /
  • Stories Hub
  • /
  • BDSM
  • /
  • Quatre à Quatre Ch. 01

All contents © Copyright 1996-2024. Literotica is a registered trademark.

Desktop versionT.O.S.PrivacyReport a ProblemSupport

Version ⁨1.0.2+1f1b862.6126173⁩

We are testing a new version of this page. It was made in 11 milliseconds