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Solange, Mon Esclavage Pt. 01

Marthe, la bonne de Christelle, avait la cinquantaine. Elle avait été mariée quelques années. Divorcée, elle céda à quelques aventures lesbiennes. Mais le sexe n'était pas sa tasse de thé.

Elle fut longtemps gardienne de prison de femmes. Où elle dut faire face à des gangs de femmes d'une violence excessive. Ça lui avait forgé le caractère. Elle était blindée contre toute pitié.

Elle conduisait les détenues à la douche. Assistait passivement à la violence d'une bande sauvage sur une infanticide. Elles la tenaient écartée

— Enculez cette salope, gardienne Marthe. Elle enfonçait sa matraque dans le cul et dans le vagin de la malheureuse. Les filles la couchaient, lui pissaient, lui chiaient en bouche.

L'une d'elles avait une lame de rasoir, elle lui sectionna le clitoris. Marthe laissa faire.

La femme demanda à voir un médecin.

— Tu n'as qu'à mettre ta culotte comme quand tu as tes règles, dit Marthe.

Une autre fille était particulièrement rebelle. Marthe lui confisqua ses vêtements et lui mit une géante lesbienne comme codétenue, avec instructions de la mater. La géante immobilisa la rebelle. Marthe se déchaîna à la matraque, les seins, les fesses, le pubis. Puis la menotta sur son lit.

— Amuse-toi, dit-elle à l'autre en partant.

Le lendemain, la fille avait le corps couvert de griffes. Elle réclama ses vêtements pour la promenade.

— Tu n'as qu'à venir comme tu es, si tu veux prendre l'air.

Elle laissait ses collègues masculins venir assouvir leurs instincts sur les plus jeunes, les plus vulnérables. Ou les plus rebelles qui avaient besoin d'un dressage.

— Alors mes belles, qui vais-je choisir pour les plaisirs, ce soir? leur disait-elle au retour de la promenade.

Les filles surent vite ce qui les attendait. C'étaient des séances de coups, suivies de fellations, de baise, d'enculage, de pisse, de scato.

Parmi les prisonniers, ses collègues de la section homme gardaient aussi des violeurs

Régulièrement, ils organisaient des séances de punition, torture.

On prenait un violeur en série. Il était mis au cachot. Nu, les yeux bandés, les poignets menottés à un collier fixé par une chaîne au mur. Sans nourriture. Un prisonnier était amené pour vider son seau matin et soir et lui donner un litre d'eau à boire.

Au bout de trois jours, ils invitaient Marthe.

Les premières fois, elle regardait. Mais sur l'insistance de ses collègues masculins, elle commença à participer activement à la torture.

Elle y prit goût. Laissant libre cours à toute sa hargne jusqu'à l'extrême violence.

Il entendait la voix d'une femme.

— Un violeur, j'adore! Tu aimes ça, hein, faire souffrir les femmes.

Après une série de gifles, c'étaient des coups de pied dans les couilles, de violents coups de matraque sur le dos, ventre, la bite surtout. Un vieux chiffon l'empêchait de hurler. Elle lui mordait les tétons au sang. Elle lui enfonçait une matraque électrique dans le cul et déclenchait de violentes secousses.

Le prisonnier était alors couché au sol. Avec ses grosses bottines, Marthe lui marchait sur les couilles, les écrasait de tout son poids.

— Il doit avoir faim, donnes-lui à manger, l'encourageaient ses collègues, chie-lui dessus.

Elle remontait sa jupe, retirait sa culotte, s'accroupissait.

— Lèche mon cul, violeur.

Elle lui chiait alors en bouche.

À coups de matraque électrique, ses collègues le forçaient à mastiquer et avaler l'étron. Les gardiens lui pissaient dessus pour lui nettoyer le visage et la bouche. Puis se faisaient sucer, d'autres l'enculaient.

Les séances pouvaient se prolonger plusieurs jours.

Ses collègues masculins la soutinrent quand le besoin se fit sentir. Ils se tenaient les uns les autres.

Il y avait eu plusieurs morts suspectes, sans que la culpabilité de Marthe puisse être formellement prouvée.

Mais avec un tel faisceau de probabilités, l'administration ne pouvait rester sans réagir.

Pour éviter procès et condamnation, un compromis fut négocié.

Et fut licenciée pour faute grave, abus d'autorité, brutalités excessives, avec perte de ses droits à la pension.

Sans éducation, privée de ressources, elle fut obligée pour survivre de trouver du travail. Elle se fit femme à journée, c'est tout ce qu'elle savait faire.

Ses premières expériences avec des clients vicieux. On lui mit la main aux fesses, elle se retint de réagir. On lui offrit de l'argent pour une fellation. Trop dépendante, elle avait un besoin vital de ses maigres gages. Elle se soumit, la rage au cœur, se promettant de se venger des hommes, ces porcs.

Au courant de son passé par le directeur de la prison, un ami, qui la lui recommanda, Christelle s'arrangea pour faire sa connaissance lors d'une visite chez une relation où Marthe travaillait.

Elle sut la faire parler, raconter un peu de son histoire.

Christelle reconnut en Marthe son potentiel de vraie méchante, et vit le parti qu'elle pouvait en tirer. C'est foncièrement qu'elle était sadique. Seul obstacle, Marthe n'aimait pas le sexe, ne connaissait rien au SM même si elle le pratiquait sans le savoir.

Elle lui proposa néanmoins de l'embaucher comme bonne à demeure.

Peu à peu, elle gagna sa confiance et commença son éducation, lui montrant des photos, des films. L'initia pour en faire une dominatrice, lui faisant miroiter de gros gains. Marthe comprit vite où était son intérêt.

Une fois par mois, le club organisait une séance de torture réservée aux masos les plus durs.

Christelle lui proposa de participer pour la tester. Ce fut un éblouissement pour tous. Marthe fit montre d'une brutalité extrême, tant envers les femelles que les mâles qu'on livrait à sa cruauté.

Ce fut à ce moment que je tombai dans les filets de Christelle.

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