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Telle Mère, Telle Fille (05)

Le soir même, après son départ, ma mère entre dans ma chambre avec un grand sac poubelle. Sans me demander, elle ouvre mon placard et y met l'ensemble du tiroir contenant tous mes petites culottes.

- C'est tout? Il n'y en a pas ailleurs? J'ai déjà mis dans le sac celles que tu avais mises dans le panier de linge sale. Je les mets dans mon coffre de voiture et tu as interdiction d'y toucher. J'attends 2 semaines avant de les jeter.

- Non, il n'y en a pas ailleurs. Tu peux les jeter tout de suite.

- Je m'en doutais, tu as déjà prise ta décision. Tu es sûre?

- Oui, je suis sûre de moi. Je souhaite qu'il me dresse.

- Tu ne dois pas parler de notre Maître comme ça. Quand tu en parles, même si tu n'es pas seule tu dois dire mon Maître et avec moi notre Maître.

- Je peux te poser une question? Je vais vivre cul nu ces 2 prochaines semaines et après, mais toi, tu portes des culottes en dentelles?

- Notre Maître a l'intention de te dresser plus dur dès ta déclaration d'appartenance. Au départ, c'était un amant puis petit à petit notre Maître a décidé de me soumettre et de réaliser mes fantasmes. Toi ce n'est pas pareil. C'est toi qui lui a demandé de te dresser. Mais tu vois pour t'encourager et par solidarité, je suis aussi cul nu sous cette robe et je vais y rester tant que toi tu y seras.

Elle lève sa robe. En effet, elle est nue et des traces rouges zèbres ses cuisses et ses fesses.

- Tu as été punie et fouettée? C'était ça tes cris et quand lui disais « non, pas ça je vous en prie ».

- Oui j'ai été fouettée et c'est pour ça que j'ai crié. Pour le reste de la question, je ne suis pas autorisée à te répondre. Sache que tu étais concernée.

Je n'en saurai pas plus. Le retour en école de commerce le lundi est un peu (!!) différent que d'habitude. Je dois penser à faire attention quand je m'assois pour ne pas révéler l'absence de culotte. Je m'y fais très bien, ajouté au vent qui s'infiltre dans la rue sous ma jupe, je pense à mon futur Maître en permanence et j'ai hâte d'être 2 semaines plus tard.

Deux semaines plus tard, je suis excitée en rentrant à la maison le vendredi soir. Ma mère m'a prévenue que mon père serait à nouveau absent ce week-end et qu'elle a pris rendez vous pour nous deux chez son esthéticienne en fin de matinée. Tu verras, me dit elle, c'est une amie et je me suis souvent confiée à elle. A cette heure là nous serons tranquille. Je lui ai demandé de nous mettre dans 2 cabines contigües et de laisser le rideau ouvert entre nous. Tu n'as rien à cacher avec elle.

En arrivant, elle me demande de relever ma jupe courte pour vérifier. C'est une demande que notre Maître lui a faite. Pas de culotte ni pour moi, ni pour elle.

- Ce n'est pas si désagréable, me dit elle, j'avais oublié. Tu as mis une jupe très courte, tu n'as pas peur d'en montrer un peu trop, sachant qu'à partir de demain tu n'auras plus le droit de croiser les jambes.

- Non, il faut que je m'habitue et que j'assume. Tu ne veux toujours pas me dire pourquoi tu lui disais « non pas ca ».

- Notre Maître m'a appelé et je ne lui cache rien, moi non plus. Je lui ai indiqué tes questions, mes réponses et mes refus de réponse. Il m'a autorisé à te répondre. Comme tu lui avais dit que tu n'avais jamais eu de relation avec une autre femme, notre Maître m'a dit que ce serait moi qui t'initierai. Et je lui ai faite cette réponse car pour moi c'est impossible.

Je vois dans les yeux de ma mère une gêne mais aussi un doute et surtout son émotion. Je m'approche d'elle pour lui montrer mon affection et le lui caresse la joue. J'ai trop envie de l'embrasser et sans réfléchir je l'embrasse sur les lèvres. Je me recule mais c'est elle qui me prend la nuque pour m'embrasser et j'insinue ma langue entre ses lèvres. Elle enroule la sienne et le baiser se transforme en un baiser entre amantes. Je sens qu'un seul geste peut nous entrainer beaucoup plus loin. C'est moi qui stoppe.

- Tu sais chérie, il me demandera beaucoup plus qu'un baiser.

- Maman, je suis adulte et même si je n'ai jamais eu de relation lesbienne, je sais ce que font deux filles ensemble. Et toi? Tu as déjà eu une amante?

Elle y répond par un sourire que je dois interpréter. Oui? Non?

- Je dois aussi t'avouer quelque chose. Notre Maître et toi vous vous êtes déjà croisés à la sortie du théâtre où nous étions toutes les deux, il y a quelques mois et il t'avait trouvé à son goût. Il m'avait longuement interrogé sur toi. Quand tu es rentrée à l'improviste de tes cours, nous t'avons entendu rentrer et il m'a interdit de fermer la porte de la chambre, pour m'humilier mais aussi pour te prendre dans ses filets. Il était certain que comme sa mère tu avais des envies cachées. J'aurais du ne pas obéir, mais j'en avais assez de me cacher sur cette partie de ma vie.

- Tu as bien fait. C'est un cadeau que tu me fais en m'offrant à Lui. J'ai qu'une seule envie, tu le sais, c'est de partager totalement ma soumission avec la tienne.

A midi le lendemain, nous partons chez l'esthéticienne qui nous accueille avec un grand sourire et embrasse ma mère sur la joue, preuve de leur proximité. Nous sommes invitées à rejoindre les cabines de soins. Les nôtres ne sont séparées que par un rideau laissé ouvert comme lui a demandé ma mère, mais le rideau nous protégeant des regards indiscrets du couloir est également grand ouvert.

Une fois ma dernière cliente partie, je fermerai la porte de l'institut pour être tranquille, nous dit Sabrina. Elle est dans la cabine face aux nôtres, fermée par une porte. Elle ne peut nous entendre. Sabrina nous demande si elle doit fermer le rideau sur le couloir. Ma mère lui répond par la négative. Ce qui fait sourire Sabrina.

Ma mère et moi nous déshabillons. Sabrina me suit des yeux alors qu'elles discutent. Je n'ai que ma jupe et mon chemisier à enlever pour être intégralement nue, comme ma mère d'ailleurs. Telle fille, telle mère! C'est la 1ère fois que je me mets nue sans chercher à me cacher devant une femme, autre que ma mère.

- Ta fille est vraiment très belle. Lise que souhaites tu comme épilation?

- Intégrale, y compris derrière autour de mon petit cratère pour être parfaite et douce.

Je m'allonge sur la table et mettre les pieds dans les étriers, montrant l'intégralité de mon entre jambes et de ma fente, y compris quand la cliente sortira de sa cabine. Ma mère en fait de même, ce qui fait rire Sabrina.

Effectivement, quand la cliente sort de sa cabine, c'est mon entrejambe qu'elle découvre. Pas du tout choquée, elle prend le temps de bien détailler mon anatomie.

- Vous êtes très belle mademoiselle, vous devez avoir beaucoup de succès auprès des hommes mais aussi des femmes.

Ma mère me dira plus tard que c'est un salon largement fréquenté par une cliente de femmes ayant des aventures saphiques.

Sabrina s'occupe de moi, puis de ma mère. Nous ne sommes pas pressées et nous restons sur nos tables à profiter du calme de cet institut.

Sabrina finit le soin par une crème apaisante. Au lieu de me calmer le feu, ses caresses m'excitent. Sabrina a un grand sourire à la vue de l'effet qu'elle me fait.

- Si j'osais me dit elle. Une femme t'a déjà fait jouir? Tu as déjà été léchée par une femme?

- Non, jamais. Si vous me léchez vous serez la première. Mais je n'ai pas le droit de jouir. Je vous demande juste de vous arrêter avant.

Elle ne semble pas étonnée, et regarde ma mère, ce qui me fait supposer qu'elle en connaît beaucoup sur elle.

Après quelques baisers et caresses sur mes cuisses en progressant vers ma fente, sa langue vient recueillir l'humidité qui perle sur les petites lèvres. Sa langue cherche à s'insinuer entre mes lèvres pour aller à la source recueillir mes sécrétions, puis elle fait rouler mon clitoris qui gonfle sous sa langue. En même temps, elle introduit deux doigts dans ma chatte et avec le pouce agace mon œillet qui palpite. Je ne suis plus qu'une boule de chair bouillante et trempée. Les premiers spasmes de l'orgasme arrivent et je gémis de plaisir. Tout en bloquant les cuisses ouvertes avec ses mains, elle s'arrête. Ce ne sont plus des gémissements de plaisir mais des gémissements de frustration.

Je m'interdis de me caresser, un mélange de frustration et de fierté d'avoir résisté et d'avoir obéis à mon futur Maitre.

Elle me laisse pour que la tension diminue. En tournant la tête, je vois que la chatte de ma mère subit le même traitement, sans lui avoir demandé.

- Ne me fais pas jouir, laisse moi frustrée comme ma fille, lui demande t elle.

- Vous allez passer une belle soirée, je suis sûre, répond Sabrina

- Que sait elle exactement? Ma mère m'avait dit qu'elle s'était souvent confiée à elle.

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