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Un Voyage à Atlanta Ch. 03

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé par certains pays dont les USA. Nous nous sommes très largement inspirés de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Chaque histoire est indépendante, les personnages secondaires se retrouvent d'une histoire sur l'autre.

Ont déjà été publiées :

*Un centre Pour Roux

*L'esclave Mystère

Emmanuelle et moi avons mixé nos différents points de vue.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

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Les Ni Dioman

-Macha, ma chérie, tu es là? » cria une voix.

-Nous sommes en haut, nous descendons! » dit mon hôte. Nous posâmes mes bagages dans ma chambre et nous descendîmes!

-Bonjour Emmanuelle! Comment allez-vous, après ce long voyage! » Me demanda Erik, en s'approchant de moi.

-Bonjour Erik! » Répondis-je un peu embarrassée de le voir en compagnie de sa femme. Mais lui m'embrassa, me faisant un baisé sur chaque joue.

-C'est comme ça que l'on fait en France, » expliqua-t-il à son épouse.

-Si tu le dis, » répondit Macha visiblement amusée par la situation, plus que vexée ou jalouse.

-Le repas est bientôt prêt, » ajouta-t-elle.

-Qu'avez-vous fait ce matin, on dirait que vous venez d'arriver, » demanda Erik.

-Je lui ai fait visiter le SCCM, » expliqua Macha

-Oh, Emmanuelle, j'espère que vous n'avez pas été dégoûtée par ce que vous avez vu dans ce temple de l'esclavage moderne, » dit Erik.

-Le marquage... m'a choquée, » réagissais-je.

-Oh, oui. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est très à la mode en ce moment, » commenta Erik comme si nous parlions d'un crop top.

Une fois le repas fini, Erik me conduisit à l'université, où je commençais à collecter les documents dont j'aurais besoin.

-Macha vous a fait visiter Atlanta? » Me demanda Tom.

-Oui, le marché aux esclaves surtout! » Répondis-je en faisant une grimace.

-J'aime bien montrer l'évaluation des esclaves, » réagit-il.

-Vous m'en avez déjà parlé, et j'ai vu, » dis-je. Je me souvenais que Macha m'avait avertie, mais sans me souvenir exactement de quoi je devais me méfier.

-Oui, la salle des ventes est impressionnante aussi. Macha vous a-t-elle expliqué la lumière? »

-La lumière? Non, je ne crois pas. »

-La lumière éblouit les esclaves. Ils ne voient pas qui est dans la salle et qui enchérit sur eux, » m'expliqua-t-il.

-C'est pour cela que l'esclave que j'ai vue semblait perdue? » Pensais-je à haute voix.

-Absolument, » confirma-t-il

-Elle m'a fait voir le marquage aussi. »

-C'est spectacle pour initiés. Tout le monde ne sait pas l'apprécier, » rit-il.

-L'esclave que l'on marquait n'a pas apprécié non plus, » observais-je.

-C'est possible, mais de plus en plus de personnes qui se font évaluer demandent à être marquées. »

-J'ai du mal à y croire. »

-Je vous comprends. Je crois que ceux qui font ce choix-là le regrettent vite, » se moqua-t-il

Le soir même, Erik me conduisit chez lui, où nous devions rejoindre Macha.

-À propos, Macha, lui as-tu parlé du FREED? » demanda Erik.

-Euh, non, pas encore, » commença Macha soudainement mal à l'aise. « En Fait, Tom lui a parlé de l'évaluation et... »

-Ah... Il faudra faire un point, mais Macha, il est bientôt l'heure, » dit simplement Erik. Il avait l'air amusé, et mettait Macha mal à l'aise.

-Euh... Erik a raison, je dois te parler des FREED, Emmanuelle, » dit Macha, tout en rougissant.

FREED : littéralement, ce mot signifie libéré. Je pensais qu'il s'agissait d'une association s'occupant des esclaves récemment libérés, ou alors militant pour la fin du 35e amendement.

-Un FREED est un « Fragmented Rights and Employment Entitlement Document » soit un document de droits fragmentés et de droits au travail, » m'expliqua Macha sans que je comprenne vraiment. Juste, je me doutais que FREED était une mauvaise plaisanterie.

-Il s'agit d'un système qui fait de moi une esclave à mi-temps. Le FREED que j'ai signé précise quand je suis une femme libre, libre de travailler et de gagner mon argent. Et à quels moments je suis une esclave, » me dit Macha de manière nettement plus explicite.

-On peut... » Commençais-je, sans être capable de finir ma phrase. Macha défaisait la ceinture de sa jupe, puis la laissa glisser le long de ses jambes. Ensuite, elle ouvrit son chemisier, et le retira pour le poser sur la jupe. Elle retira ses chaussures, son soutien-gorge, et enfin sa culotte. Dès qu'elle fût nue, elle s'agenouilla.

-Maître, Madame, puis-je aller m'occuper du repas, » demanda-t-elle.

-Macha est mon esclave toutes les nuits, et tous les week-ends, » m'expliqua Erik. Alors que son épouse était à genoux devant nous. Ses cuisses étaient largement écartées et laissaient voir son sexe épilé et ouvert. Elle ne pouvait rien cacher.

-Collier, » annonça Erik. Macha bascula la tête sur le côté en écartant ses cheveux. Erik attrapa un collier dans un tiroir pour le refermer autour du cou de Macha. J'étais sans voix, choquée du spectacle qui se jouait devant moi. Mais ce qui me choquait encore plus, c'était que j'avais chaud. J'étais tout excitée de ce que je voyais. Pouvais-je donner des ordres à cette femme nue devant moi?

-Finis le repas, salope, et viens nous servir, » ordonna Erik. Macha se leva et alla dans la cuisine en disant :

-Bien, Maître. » J'avoue que l'insulte d'Erik me frappa, mais la réaction placide de Macha me surprit encore plus. Bien sûr, on m'a déjà traitée de salope, mais pas dans ce contexte.

-Venez, Emmanuelle, je vais vous expliquer, » me dit Erik en me conduisant dans la salle à manger. Il n'y avait que deux couverts sur la table.

-Macha, ne mange pas avec nous? » demandais-je, de plus en plus mal à l'aise.

-Si, mais, elle mange à genoux, sur le sol, » dit-il. Je le regardais, les yeux écarquillés.

-Vous faites cela à votre femme... » Commençais-je.

-Techniquement quand elle est esclave elle n'est plus ma femme. La dernière fois que vous êtes venue, elle était dans un centre de formation pour nouveaux esclaves. Donc je ne commettais pas d'adultères. Après, oui, je fais cela à l'esclave que devient ma femme. Mais ce FREED est son idée, sa demande, » me dit-il, encore.

-Le repas est prêt, Maître, » annonça Macha en sortant de la cuisine nue.

-Passons à table, » proposa Erik. Macha nous servit, puis alla s'asseoir sur un tapis à côté d'une gamelle.

-Les esclaves mangent du Grit normalement. Mais je trouve cela un peu difficile, » expliqua Erik, et se levant en faisant glisser un bout du plat dans la gamelle. C'est ensuite que nous avons commencé à manger.

Le plat n'était pas extraordinaire. Mais Macha n'avait sans doute pas eu le temps de faire mieux. Je jetais un œil vers elle. N'ayant pas de couverts, elle devait manger comme un animal en enfonçant sa tête dans sa gamelle.

-C'est quoi, le Grit? » demandais-je.

-C'est une spécialité locale une forme de bouillie de céréale avec un jus de viande. Mais la version que l'on donne aux esclaves est dégradée. Macha en a quand elle va dans des centres où il y a d'autres esclaves. Mais pas à la maison. »

Quand nous avons fini de manger, nous sommes allés au salon et Erik ordonnait à Macha d'aller se laver et de débarrasser la table.

-Mais je croyais que Macha était manipulatrice d'esclaves? »

-C'est ce qu'elle fait le jour. La nuit, c'est elle l'esclave, » me dit-il en riant.

Il m'expliqua que beaucoup de manipulateurs se posaient des questions sur ce qu'ils feraient s'ils étaient esclaves. Cette proximité était dangereuse. Et finalement, Macha vint nous rejoindre, et s'agenouiller en face de nous.

-Que puis-je pour vous, ou pour notre invitée, maître, » demanda l'esclave.

-Il est assez courant que les invités testent les aptitudes orales des esclaves, » me dit Erik.

-Les aptitudes orales? » demandais-je, sans comprendre dans un premier temps.

Puis j'entrepris de remonter ma jupe puis de baisser ma culotte. Dès que mes fesses furent désengagées, Macha m'aida à retirer le sous-vêtement.

-Merci, Madame, » me dit-elle, en glissant sa tête entre mes jambes.

Je m'attendais à ce qu'elle vienne me lécher. Qu'elle glisse sa langue entre mes lèvres, voire qu'elle titille mon clitoris. Mais rien de tout cela : Macha soufflait. À quelques centimètres de mon sexe, elle soufflait vers ma fente! Je sentais la caresse légère et chaude de son souffle. Une caresse insensible, mais pleine de promesses. J'écartais les cuisses, pour lui faire plus de place, et pour ouvrir mon sexe à sa caresse. Elle s'approcha un peu plus, et embrassa l'intérieur de mes cuisses. Je descendis un peu, pour basculer mon bassin, et m'offrir encore un peu plus à la petite esclave rousse. Elle embrassa mes lèvres, puis alterna avec des petits coups de langue. Mais pas des léchouilles bien molles, non de vrais coups d'une langue toute dure sur l'intérieur de mes lèvres.

J'étais sans voix, face à ce traitement surprenant, mais très efficace. Et, ma réaction fut d'écarter les cuisses, de les remonter pour m'offrir complètement à ce traitement. Sur le moment, j'en oubliais même Erik. Ma seule préoccupation était mon clitoris. Mon bouton sensible. Mon centre de plaisir qu'elle semblait prendre un malin plaisir à éviter. Je gémissais d'un mélange de plaisir et de frustration.

Laurence, ou encore Michel ne me faisaient jamais ça! Quand ils m'avaient excitée, ils me pénétraient de leur langue, et enfin caressaient mon clitoris. Là, Macha, pourtant une esclave, se moquait de moi!

J'attrapais sa chevelure épaisse et corrigeais sa position. Mais quand elle était à gauche de mon clitoris, et que je la poussais vers la droite, elle passait alors à droite de ma fente! Se jouant de moi encore!

-Macha, ma douce salope, je crois que notre hôte voudrait que tu occupes de son clitoris, » dit alors Erik. J'étais un peu gênée d'avoir oublié sa présence jusque-là. Mais Macha, ses mains toujours dans son dos, fit glisser sa langue entre mes grandes lèvres et les petites. La diablesse s'était rapprochée de mon organe, mais l'était encore! J'allais protester, quand elle darda sa langue raide contre mon bouton tout aussi raide m'arrachant un cri de plaisir. Elle me donna encore deux coups de langue, comme pour soulever mon capuchon, puis elle me pénétra de sa langue encore une fois avant de recommencer à tourner autour pot! Je grognais, mais elle frappa mon clitoris d'un coup de langue, puis elle recommença, comme un boxer frappe une balle suspendue. Elle s'arrêta. Puis elle aspira franchement.

Quand elle eut fini, je n'étais qu'une masse de chair palpitante en train de récupérer d'un orgasme d'une violence inattendue. J'avais l'habitude de la douceur des femmes. Macha m'avait laissée K.O..

Elle était là, à genoux devant moi. Le sourire aux lèvres, l'air satisfaite d'elle. Ses mouvements de bassin trahissaient une excitation non satisfaite. Pour autant, elle ne semblait pas quémander un orgasme, juste être là, excitée, et contente de m'avoir fait jouir.

-Emmanuelle, vous semblez un peu éprouvée de cette expérience, » demanda Erik. Je le regardais, et la bosse à la base de son pantalon en disait long sur son excitation à lui.

-Effectivement, c'est une expérience... Macha est... » Je cherchais mes mots.

-Insupportable? » tenta Erik.

-Oui, aussi, » éclatais-je de rire, en repensant à comment Macha m'avait manipulée du bout de la langue.

-Macha, va donc chercher une canne, » ordonna le maître des lieux. Je ne comprenais pas bien : même si j'étais un peu groggy, je n'avais pas besoin d'une canne pour marcher. Le visage de Macha était soudain grave, mais elle se leva sans poser la main au sol. Quand elle se retourna, je constatais que ses mains étaient attachées dans son dos par une paire de menottes. Quand Erik les lui avait-il mises? Peu importe, Macha m'avait fait jouir les mains attachées dans le dos. Quelle maîtrise de sa langue : j'étais admirative. Un peu jalouse aussi. Il me fallut un moment de plus pour remarquer les traces rouges sur ses fesses. Je comprenais soudain son malaise pour conduire.

Macha revint immédiatement avec une baguette de bois dans la bouche, et je compris alors ma méprise. La canne n'était pas pour que je puisse marcher, mais pour corriger Macha.

-Erik, non, elle ne mérite pas d'être punie! » M'écriais-je alors que Macha était à côté moi, et avait un geste de la tête qui correspondait un peu à la demande d'un chien quand il vous apporte un bâton à lui lancer. Je ne pus faire autrement que de prendre l'objet.

-Quand un maître a décidé de punir son esclave, il ne doit pas changer d'avis. » me dit Erik, avant d'ordonner à Macha : à quatre pattes, présente tes fesses »

-Bien Maître, » dit-elle. Était-ce une blague?

-Madame, cette esclave est prête, »

-Macha, vous voulez que je vous corrige? »

-Madame, si vous ne le faites pas, mon Maître le fera, » me dit-elle. Je ne suis pas bien sûre que sa voix était vraiment assurée. Mais j'étais soufflée.

Je levais la canne, et j'ajustais ma frappe.

-Non, Emmanuelle, là vous allez frapper sur le bas du dos. Il faut la corriger, mais pas la blesser, » me dit Erik, en retenant mon bras. Il se mit derrière moi, et me montra le mouvement de balancier que je devais reproduire.

J'appliquais la leçon. La canne siffla, et s'écrasa sur ses fesses.

-Aïe, un, merci Madame, » dit-elle. J'étais subjuguée.

-Vous ne frappez pas assez fort. Il faut que cela laisse une trace rouge si vous voulez que cela la... marque » rit Erik. Je levais la canne une seconde fois, et appliquait le mouvement de balancier. Le sifflement fut plus marqué, et je vis les fesses se déformer sous l'effet du coup!

-Aïïïe! » cria Macha, avant d'ajouter : « Deux, Madame, »

La marque rouge apparue peu après. J'étais assez fière de moi.

-Voilà, c'est un début, mais maintenant il faudrait mettre plus de force, » dit Erik.

Je forçais un peu plus pour mon troisième coup. Et l'effet fut visible.

-Aïe, » réagit-elle soulevant un peu les fesses sous l'effet de la douleur. La rougeur apparue plus vite cette fois-ci.

-Trois, merci, Madame, » dit alors Macha, reprenant la pose.

-Là, c'est un coup doux, mais correct, » me dit Erik

Je lui rendis la canne. Il la leva, et dans un mouvement de balancier tellement naturel la canne prit de la vitesse en s'abattant sur les fesses de la malheureuse esclave dans un sifflement caractéristique.

-OUtch! » hurla Macha pendant un moment. La nouvelle marque était si visible que les miennes étaient à peine visibles.

-Quatre, merci Maître, » dit une Macha en larmes.

-Nous allons nous coucher, je crois, » dit Erik.

Macha eut du mal à se lever, mais Erik la stabilisa et lui retira ses menottes. Elle gratta sa nouvelle marque en grimaçant. À l'étage, Erik ouvrit une cage dans leur chambre. Macha se mit à quatre pattes et entra dans la cage sans discuter.

-Voulez-vous profiter de mon lit, Emmanuelle? » me dit Erik, alors qu'il rattachait les, mais de son esclave. Elle ne pourrait même pas se toucher.

-Je ne sais pas si je dois, » dis-je, embarrassée. Je baissai les yeux, pour tomber sur la bosse dans son pantalon.

-Vous ne dormez pas ensemble? » demandais-je.

-Nous avons prévu de vous faire l'honneur de notre lit » me dit Macha, dont les larmes coulaient encore.

Je décidais alors de profiter de l'hospitalité qui m'était offerte.

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