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Une Histoire Homosexuelle

Une à deux nuits par semaine à Nantes, pour mon travail, je m'y ennuie ferme. L'envie a grandi, semaines après semaines, un peu bizarre, mais au fond il faut tout essayer. Je pousse la porte du bar sauna gay, assez stressé, sans trop savoir ce que j'y fais : je suis profondément hétéro, même si les relations avec les femmes m'ennuient de plus en plus, il y a un investissement affectif que je n'ai jamais ressenti de mon côté. Les hommes m'ont toujours dégouté jusqu'à ce que je comprenne que c'était mon propre sexe qui me dégoutait et pas les hommes en général, quoique. Mais c'est une autre histoire.

J'avais envie d'une aventure rapide, baise violente, sans lendemain, mais je ne connaissais rien des codes, ne sachant comment aborder les hommes, certains plutôt très avenants, mais j'attendais qu'ils fassent le premier pas.

C'est ma seconde fois aujourd'hui que je pousse la porte, je me suis dit qu'il faudrait un signe que je sois passif : je ne me vois pas enculer un homme! J'ai mis un anneau aux couilles qui les tirent bien, et qui me brûle un peu. Plusieurs mecs viennent me voir, certains caresser mes couilles tendues, un peu intrigués par ce que je porte. L'un, la quarantaine me regarde dans les yeux, et je les baisse. Il prend mon sexe tendu et me dirige vers une petite pièce avec un sling. Je m'y installe, il lève mes jambes au maximum et me pénètre d'un coup après avoir mis un préservatif.

La brûlure est immédiate, mais je la connais, elle ne dure pas, je gémis juste pour lui dire que je suis bien. Et c'est vrai que c'est bien, cela me change de mes godes, là je ne maîtrise rien. Et sur le sling, je flotte. Il est chaud, il me lime, c'est long, il saisit mes couilles tendues par-dessous, c'est malaisé, mais il serre un peu, je gémis plus fort, il me demande si j'aime, j'acquiesce, alors il serre encore plus fort, mes gémissements sont des cris alors qu'il jouit en moi. J'ai des étoiles dans les yeux, c'est vraiment ce que je désirais, c'est fantastique.

Il me demande d'ouvrir ma bouche, et vide le préservatif dedans, je ne dis rien, j'avale, pas la première fois que j'avale du sperme, mais du sperme d'un étrange oui! Il me demande si je serai là mardi prochain, je hoche la tête, il semble satisfait et disparaît. Pour une première fois, ou presque, je suis ravi, je comprends le plaisir homosexuel, on ne se prend pas la tête et c'est très simple. Je suis très naïf.

***

La semaine suivante je suis sur le sling suivant sa demande, plusieurs hommes passent, caressant ou serrant mes couilles à nouveau compressées, j'ai mis un encore plus gros anneau pour les étirer et les écraser plus tant j'adore la sensation, mais aucun ne me prend. Le temps passe, je m'endors à moitié quand je sens de grandes mains m'agripper, un sexe se positionne, et mon enculeur de la dernière fois me prendre tout aussi brutalement. Je crie de surprise, de douleur, de plaisir, je ne fais rien pour m'échapper au contraire. Je sens ses mains me tirer puis me pincer les tétons, me faisant bander comme jamais, tandis que je sens une autre personne me presser les couilles progressivement, j'halète au rythme du piston qui me défonce.

Il sort de moi avant d'avoir joui, et l'autre homme, à peu près du même âge prend sa place. Son sexe est plus gros mais plus court, c'est encore meilleur, c'est jouissif de sentir leur désir, leur puissance en moi, je suis leur poupée et j'adore cela. Je leur dis dans un gémissement, ce qui les fait rire. Le premier a enlevé sa capote et me jouis dessus, peu avant que le second ne s'épanche en moi. A nouveau il vide le préservatif dans ma bouche tandis que j'ai le visage maculé de l'autre.

- Cela te va bien le sperme sur le visage. Garde-le jusqu'à renter à ton hôtel.

- Oh (Cette demande m'excite)

- Tu es où?

- Au Mercure

- Mardi tu nous reçois dans ta chambre.

- Bien.

- Tu me laisses ton numéro et je t'envoie un texto pour le numéro de chambre.

- Vers quelle heure?

- Tu verras bien. Tu as envie d'être à nous?

- Oh oui

En fait j'ai mal compris la question, je pensais pour mardi prochain, mais lui ne pensait pas à cela. J'ai les jambes coupées, je suis ravi, un grand sourire sur les lèvres. Mes couilles et mes tétons sont sensibles, c'est délicieux.

***

Je suis à genoux, excité par la situation. J'adore me mettre en danger, et je trouve cela très attirant d'être dans une telle situation avec deux inconnus, même si j'ai plutôt confiance à leur look et attitude. Comme convenu, je suis nu, avec le même ball stretcher que la dernière fois, le cul bien lavé, et avec le matériel que j'ai chez moi, et amené ce matin, étalé sur le lit. La porte est juste poussée, ils ont reçu le numéro de la chambre.

Je garde les yeux baissés tandis qu'ils rentrent, et me saluent en bon toutou, je suis bêtement ravi. La suite que j'ai prise pour cette soirée les épate, ils me font venir dans le salon. Sans préliminaire je lèche Alain qui est mou, mais durcit rapidement dans ma bouche. Je me dis que j'ai été bête toutes ces années, c'est vraiment une sensation étonnante et agréable. Je ne sais pas trop comment lécher, je l'aspire, je masse son frein, je caresse ses couilles. Cela doit lui plaire, il jouit très vite, je l'avale sans rien dire, pas peu fier. Marc prend sa place, tandis qu'Alain met les nouvelles à la télévision. La bite est plus longue, il pousse au fond de ma gorge, j'essaie de m'offrir, je la sens passer ma gorge, et j'entends Marc me traiter de bonne suceuse, j'essaie de ne pas paniquer, cette sensation de gorge profonde est incroyable, sentiment d'être totalement possédé, j'ignorais que c'était même possible.

Heureusement il jouit vite, et me libère, son sperme est allé directement dans mon estomac.

- Cela fait longtemps que tu dragues comme cela en sauna?

- Non, c'est la première fois (Je suis assis nu à leur pied, cela semble assez naturel)

- Et cela te plaît?

- Oui beaucoup.

- Tu as beaucoup de potentiel, tu es plutôt mignon même si pas viril, tu nous intéresses.

- Merci (Je suis flatté d'intéresser sexuellement, avec les filles ce n'est jamais aussi direct et simple)

- Bon, tu nous invites à dîner?

- Euh, vous voulez dire quoi?

- Room service?

- Oui bien entendu.

Je n'ai pas trop réfléchi, mais je ne sens pas dire non. Ils m'interrogent longuement sur tout ou rien de ma vie, en attendant que le service soit prêt. Je suis très humilié et réticent à aller ouvrir, alors que je suis nu et que je connais tout le personnel. Le ton de Marc est très dur et fort, je baisse les yeux, et avec horreur je vois un début d'érection. Je me précipite pour ouvrir. Le temps d'arrêt du serveur est très court, il me sourit, nous nous connaissons bien. Il est plus surpris de voir mes amis habillés, mais ne dit rien et dresse une table pour deux personnes, avant de nous donner les consignes de tout mettre dans le couloir une fois le dîner terminé.

Pendant que mes deux acolytes mangent, ils me demandent d'agrémenter le divertissement, je dois aller et venir sur le plus gros de mes godes, que j'ai placé sur un tabouret. Même si je suis bien lubrifié, je n'arrive jamais facilement à le mettre. Là je n'ai pas trop le choix, et je le fais aller et venir le plus profondément possible. Ils veulent que je m'asseye dessus, mais c'est impossible, il reste au moins dix centimètres à rentrer. Je fais des efforts, cela appuie, je suis très dilaté. Le ton se fait plus dur, ils me demandent quelle lope je suis, incapable d'obéir. Cela tire dans mes jambes, le gode est vraiment gros, mais je bande bizarrement puisque c'est en général compliqué quand j'ai le cul rempli.

Marc me fait mettre à quatre pattes aux pieds de la table, le gode enfiché au fond de moi, et il appuie avec son pied pour l'enfoncer. C'est humiliant et horriblement rabaissant, j'ai le visage enfoncé dans la moquette. Il appuie très fort, par petits coups, la douleur dans le ventre est nouvelle, le gode trouve un chemin, j'hallucine, je supplie, mais Alain pose son pied sur mon dos pour m'immobiliser. Je sens enfin le pied de Marc qui touche mes fesses! Le gode est rentré, je suis scié en deux, j'ai très mal au ventre, je gémis de souffrance. Alain prend une corde que j'ai amenée, tandis que son ami continue d'appuyer. Il me fait une ceinture, puis passe un bout de la corde entre mes jambes pour bloquer le gode en position. Il sert se fort que le gode rentre un peu plus, m'arrachant un cri.

Je gis sur le tapis, pleurant de douleur et d'humiliation, avec une envie de jouir jamais connue. J'adore l'idée que le gode ait pu rentrer totalement, c'est terriblement excitant comme image, et j'imagine le pied de Marc me remplissant ainsi, quelle décadence. La corde me scie la taille, la tension est extrême, je ne peux me redresser d'aucune façon. Je suis un enculé comme ils se moquent de moi, me disant que je suis une chochotte et que je suis capable de prendre bien plus, que je le verrai très bientôt. Ils rient de voir mon sexe dur pointer sous moi, je leur demande si je peux jouir, et j'aurais été bizarrement déçu s'ils m'avaient répondu oui.

- Quel est le mot de passe de ton téléphone?

- Euh, pourquoi?

- Parce que je te le demande. Evite ce genre de réponse, veux-tu, cela peut nous énerver.

- Je, non, s'il vous plaît

Je n'en mène pas large. Est-ce que je suis tombé dans un guet-apens. Mais rien ne le montre, ils ne se sont pas intéressés à mon argent ou mon ordinateur, ils m'indiquent vouloir tout savoir de moi. Qu'ai-je à cacher? Mais non quand même. Alain me repose calmement la question, tandis qu'Alain saisit mes couilles et me les insère dans un écrase couille en plexiglas que j'aime beaucoup utiliser pour jouer. Très vite la pression est forte, bien plus que ce que je ne m'inflige. Elles sont déjà comprimées par le ball stretcher, et il a posé les plaques de plexiglass à la limite, pour pouvoir les écraser plus facilement.

- S'il vous plaît, j'ai mal

- J'espère bien, c'est fait pour cela non?

- Oui, non, mais là... aie, pitié

Il a resserré d'un tour chaque vis, mes couilles doivent être très écrasées. Alain me repose la question et à chaque fois que je réponds non, j'ai droit à un tour supplémentaire, je n'aurais même pas cru cela possible d'avoir les couilles aussi aplaties. Je n'en peux plus, je cède, je donne mon code de déverrouillage, ils rient, j'implore de me soulager les couilles, ils rient encore plus et serrent les vis de deux tours, je me roule par terre de douleur, je pleure, je les supplie. Le plus bizarre c'est que j'ai les mains libres, mais pas une seconde l'idée de me libérer moi-même ne me vient! Je me sens complètement écrasé par ces deux beaux mecs, toujours habillés, qui ont si peu abusé de moi.

- Lando Paris c'est qui?

- Mon patron Monsieur

- Intéressant

- Isabelle Rond?

- Une ancienne amie Monsieur

- Très intéressant

Il prend alors des photos de moi avec les couilles écrasées, le cul dilaté, la bite de son ami dans ma bouche, les seins pincés, me fait faire une courte vidéo, me disant que c'est pour mes souvenirs, où je dis que je suis la pute d'Alain et Marc et que j'ai beaucoup de chance. Une autre vidéo où Alain se fait à nouveau avaler dans ma gorge, Marc me dit qu'on voit la bite se faire le chemin dans mon cou. Après avoir jouit, il retire à peine son pénis pour que j'avale toute sa pisse, avec une prise de côté pour que ce soit bien visible qu'il me pisse bien dans la bouche. J'avale en automate, complètement brisé de souffrance et d'épuisement.

Ils s'amusent encore un peu avec moi, puis décident qu'il est tard et qu'il faut qu'ils rentrent. Ils me remercient gentiment du dîner et de la soirée très réussie, j'ai leur numéro de téléphone si je veux aller plus loin, ils sont disponibles pour moi, et les voilà partis, me laissant avec la suite en bordel, le dîner pas débarrassé, mais surtout avec mes couilles et mon cul explosés. J'hallucine quand je vois les plaques de plexiglas déformées par mes couilles qui sont aplaties comme jamais. Cela en est fascinant. La libération en est jouissive, j'éclate de rire, heureux de ma liberté, des sensations ressenties, de la trouille intense que j'ai eue, ils m'ont bien manipulé. Pour le cul, là aussi la libération est incroyable, je suis très fier de l'avoir avalé ainsi, terriblement émoustillé par la façon dont il est rentré, à même la moquette je me fais jouir en quelques secondes.

Cela ne calme en rien mon excitation, d'autant que je regarde les photos et vidéos prises par mon smartphone : il y en a bien plus que je ne pensais, quasiment tout a été filmé, c'est torride, rarement vu des vidéos aussi belles et réussies. On voit parfaitement la bite dans ma gorge, le jet d'urine que j'avale, mais surtout le gode rentrer en force dans mon cul et y rester enfoncé avec la corde. Je me masturbe deux fois de suite, j'ai mal au sexe, cela tire, j'ai les couilles hyper sensibles, ce que j'adore. Je suis aussi soulagé par leur attitude, j'avais raison de leur faire confiance, mais quelle trouille.

Je leur envoie un message de remerciement, en disant que j'ai passé une super soirée.

[SMS Alain]

Recontacte-moi seulement quand tu seras prêt à aller plus loin.

Je suis déçu de sa réponse, je me demande ce que cela veut dire aller plus loin, mais je n'ose pas lui demander. Ma nuit, comme les suivantes, est peuplée d'images torrides, de sévices et de plaisirs inouïs. Il ne me faut que quelques jours pour me décider, tant je suis obsédé par tout ce que j'ai pu vivre en quelques heures. J'ai l'impression que tout un chapitre s'ouvre devant moi.

***

21

Bonjour, j'aimerais que nous recommençassions et allions plus loin, je ne pense qu'à mardi dernier.

[SMS Alain]

Cela se voit que tu es fait pour cela. Cependant ce n'est pas aussi simple.

[SMS]

Comment cela? Je ferai ce que vous voulez.

[SMS Alain]

Oui bien entendu, je n'en doute pas. Ce n'est pas cela qui peut être bloquant.

[SMS]

Pourquoi? Qu'est-ce qui pourrait bloquer?

[SMS]

Dites-moi, je suis très motivé, prêt à tout pour vous.

Je suis hyper fébrile, je ne comprends pas, les messages se sont interrompus, vingt-quatre heures que je leur envoie message sur message et sans réponse, je n'arrive pas à bosser, je suis fiévreux, je n'arrive même pas à me faire jouir pour faire baisser la tension.

[SMS Alain]

Tu imagines que des jeunes comme toi il y en a plein. Nous avons le choix, et cela demande beaucoup de temps et d'énergie pour ton plaisir.

J'ai envie de leur répondre que c'est surtout leur plaisir, je me retiens et réalise qu'en effet c'est surtout le mien et qu'au sauna je n'ai presque vu que des mecs passifs en y repensant. Ils veulent du fric au fond, je suis affreusement déçu et dessaoulé.

[SMS]

Vous voulez combien?

Mon message amer reçoit une réponse cinglante :

[SMS Alain]

Petit con morveux, tu ne comprends vraiment rien, tu te prends pour qui? Allez va jouer ailleurs.

Je me suis gourré, merde, quel con, je ne sais pas quoi faire.

[SMS]

Je suis désolé Monsieur, j'ai mal compris, je vous demande humblement de m'excuser.

Je ne comprends pas ce que vous voulez dire par bloquer la relation, que souhaitez-vous que je fasse? Je souhaite plus que tout continuer Monsieur.

A nouveau mon message reste sans réponse. Je me dis que je dois attendre quelques heures. Mais trois jours après toujours rien, malgré mes relances, mes suppliques, mes promesses. Cela ne peut pas continuer ainsi. Je le leur écris, je leur dis que je n'en peux plus, que je suis à bout, qu'ils n'ont qu'à dire s'ils ne veulent pas, ou bien me dire ce que je dois faire.

Enfin un message arrive, je m'enferme dans les toilettes pour le lire, fébrile, excité, paniqué.

[SMS Alain]

Je ne suis pas certain que tu aies compris, alors je t'explique. Tu es une lope, maso en plus, tu le sais au fond de toi, regarde le matériel que tu as chez toi, c'est peu banal!

M'occuper de toi, Marc participe de temps à autre, demande beaucoup d'énergie, de temps, d'argent, aussi je me méfie des gars comme toi qui prennent ce qu'ils veulent puis disparaissent ensuite.

Il faut que tu acceptes, si je décide d'aller plus loin, que tu ne pourras pas décider de sortir de la relation, seul moi je le pourrai. Quelle que soit la relation, et je ne sais pas ce qu'elle sera à l'avance car cela dépend de tes capacités, si tu décide de sortir, alors tu en paieras un prix tellement élevé que tu le regretteras.

Imagine par exemple les vidéos de ton téléphone envoyées à ton carnet d'adresse, comme les photos, copie de tes messages compromettants. Cela a de quoi ruiner toute une vie. Mais c'est ton choix, soit tu avances avec moi, et tu ne contrôles plus rien, soit tu vis ta vie, les deux options me vont. Il n'y a rien à négocier, ni à discuter. Si tu veux aller plus loin, tu sais ce que cela aura comme conséquence.

Si tu n'as pas répondu sous deux heures, c'est que tu ne veux pas aller plus loin, pas de souci. Mais si tu me dis oui, tu es engagé à cet instant, et tu ne pourras pas te rétracter, tu n'as pas trente jours comme sur amazon, pas une seule minute.

Mon cœur bat la chamade, je me dis que c'est un mec clean et réglo, il aurait pu m'emmerder avec les photos et pas du tout, il annonce la couleur. Je n'ai qu'une vie, qu'est-ce que je risque, je suis certain qu'il va s'ennuyer au bout d'un moment. C'est vrai que je préfère les femmes, non, que j'aime les femmes, mais je suis dans un tel état depuis dix jours, je sens qu'il faut que je prenne le risque. Et puis avec mon boulot, j'ai du temps de libre autant m'amuser.

[SMS]

Je suis à vous

***

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