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Jeux Pervers - 03 (En Famille)

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Jeux pervers - 3 (en famille)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Laura fidèle à son vieux mari, Hervé, jusqu'à ses 37 ans, vient de le tromper avec un inconnu, Marc, rencontré dans un night-club. En fait, elle ne se sent pas femme adultère car son mari, dont elle a découvert les fantasmes grâce à Internet, l'y a plutôt encouragée. Son amie Marthe, sa gynécologue, maintenant retraitée, l'avait aussi poussée dans cette voie.

Elle a bien envie de poursuivre avec d'autres aventures car sa première expérience de femme libérée, pourtant avec un homme laid, lui a apporté un plaisir jusque là inconnu. Elle y a vu le monde qu'il y a, dans les rapports sexuels, entre un gros sexe et la petite chose de son mari. Hervé a cependant des qualités certaines pour le cunnilingus, d'autant plus qu'il n'a pas hésité à faire un 'nettoyage' parfait lorsque sa femme venait d'être remplie de sperme par son premier partenaire. Laura a laissé entendre à Hervé que, si elle continuait de le faire cocu, elle pourrait ne plus lui autoriser que cette tâche. Il avait semblé à Laura que cette idée excitait son mari.

Les fantasmes d'Hervé, qu'elle a découvert en analysant le contenu de son ordinateur, ne lui déplaisent pas et elle en partage beaucoup avec lui, sans le lui avouer vraiment. Bien sûr, Hervé, se dit-elle, va un peu loin dans ses idées de rapports sexuels sans contraception, mais il ne s'agit certainement que de fantasmes qu'ils pourraient partager dans des jeux de rôle.

Le roman érotique inachevé que son mari a commencé à écrire sur son ordinateur l'a vraiment choquée, d'abord parce qu'il les mettait en scène tous deux, mais surtout parce qu'il semblait y associer leur jeune fils de 18 ans, Maxime. Pour Laura, c'est inconcevable pour une mère qui a consacrée sa vie à son fils, qui lui manque tant depuis son départ en voyage pour ses études aux USA. Hervé ne sait pas que sa femme a découvert son roman car Laura n'a pas osé lui en parler, sujet trop tabou pour elle.

Alors que, heureuse de sa première expérience extraconjugale, Laura envisage de s'engager dans d'autres aventures excitantes avec le plein accord de son cocu, des petits problèmes de santé bien féminins l'inquiètent. Elle en parle à son amie Marthe qui lui conseille de s'adresser à son successeur en se recommandant d'elle. Laura, habituée à une gynécologue femme, se sent moins à l'aise avec un homme, mais elle s'abstient de le faire remarquer, ne voulant pas passer pour une femme rétrograde. Grâce à Marthe, elle obtient un rendez-vous sans délai.

Dans le cabinet du médecin, Laura a droit à un examen complet, sur la table gynécologique, les pieds posés sur des étriers très écartés. Les doigts gantés du praticien palpent partout à l'intérieur du vagin. Laura s'inquiète de sentir une humidité naissante envahir cet endroit intime. Elle n'avait jamais eu ce problème avec Marthe. Peut-être est-ce parce qu'il s'agit d'un homme ou simplement parce que les attouchements paraissent anormalement longs.

Lorsqu'elle est rhabillée et assise devant le bureau du gynécologue, celui-lui dit :

« Je pense que vos ennuis viennent en grande partie de la pilule contraceptive et peut-être un peu d'un problème hormonal. Nous pourrions essayer une pilule différente, moins fortement dosée, mais, comme vous êtes sous contraception depuis une quinzaine d'années, il serait bien d'arrêter pour laisser votre corps retrouver son état naturel. »

« N'ai-je pas un risque de me retrouver enceinte, docteur? », interroge Laura.

« Tout à fait, Madame », répond le médecin, « car vous êtes encore très loin de la ménopause. De plus, il me faut vous prescrire un traitement hormonal, qui devrait vous éviter tout problème, mais qui est aussi très fréquemment utilisé pour augmenter la fertilité. Donc, la prudence s'impose. Je pourrais vous poser un stérilet, si vous le souhaitez. C'est un peu moins efficace que la pilule mais conseillé dans ce cas. »

« C'est que ... je n'aimerais pas trop avoir quelque chose de permanent en moi, docteur », argumente Laura.

Le gynécologue conclut en disant :

« Il vous reste le diaphragme, à placer avant tout rapport en le recouvrant de gel spermicide. L'efficacité est loin d'être parfaite et sa pose crée un moment bien délicat avant un rapport sexuel. Si non, il vous reste le préservatif ou ... l'abstinence. »

Laura, incapable de choisir, règle le praticien et repousse sa décision à plus tard.

Le soir même, Laura se confie à son mari, qui ne lui donne aucun conseil. Elle comprend bien qu'Hervé est déçu de voir ainsi compromises les aventures à venir de sa femme. Laura lui rappelle qu'avec lui il n'y aura pas de problème puisqu'il n'est plus autorisé à la pénétrer. Hervé tente de lui faire comprendre que, dans ces circonstances, elle pourrait peut-être revenir sur sa décision. Une petite discussion s'en suit :

« Non, mon chéri ! » lui dit Laura, « Depuis que j'ai goûté à autre chose, ton petit zizi ne me fait plus d'effet. Je sais que tu n'y es pour rien ... mais ... »

Hervé, cherchant à se justifier, l'interrompt par :

« Je n'ai pas eu de chance. Mon père était dans le même cas et il m'a tout transmis. J'aurais préféré hériter génétiquement de mon grand-père, qui avait fait des ravages dans la gente féminine car il était, paraît-il, monté comme un cheval. »

« Mon pauvre mari cocu, je suis tout de même là pour te faire du bien », conclut Laura, qui ouvre la braguette du pantalon de son mari, en extrait son pénis déjà bien dur et se met à le sucer avec application.

Pendant sa fellation, l'esprit de Laura est ailleurs. Elle pense que, en génétique, des sauts entre générations ne sont pas rares. Son fils Maxime, son petit chéri, est-il doté comme son père, comme son grand-père ou comme cet aïeul plus lointain? Elle s'aperçoit qu'elle n'en a aucune idée. Depuis la puberté de Maxime, elle ne l'a jamais vu nu, voulant toujours lui laisser cette intimité si difficile à partager à cet âge, même avec sa mère. Quand il rentrera de son stage aux USA, il faudra qu'elle sache ce qu'il en est !

Lors de la jouissance de son mari, Laura ne se recule pas mais avale tout. Il faut tout de même qu'il puisse profiter au maximum du peu qui lui reste, se dit-elle en bonne épouse. Peu de temps après, Hervé lui montre le paquet de préservatifs qu'il vient d'acheter pour le cas où elle changerait d'avis. Laura trouve son mari tristement pathétique et elle se dit qu'elle devrait lui offrir plus souvent quelques petits plaisirs.

C'est le cas dès le lendemain soir, au lit. Laura, pour l'exciter, s'est couchée nue et a pris la petite bite en main. Elle veut donner du plaisir à son mari en ajoutant à cette simple branlette des fantasmes qui devraient lui plaire. Aussi lance-t-elle un échange érotique :

- Laura : « Je devrais continuer à te faire cocu, n'est-ce pas? »

- Hervé : « Oh oui, mais ... dans ces circonstances? »

- Laura : « Je pourrais le faire dans une période peu dangereuse. Le risque serait acceptable. Qu'en penses-tu? »

- Hervé : « Euh ... oui, peut-être, mais on n'est jamais certain ! »

- Laura : « Avant d'apprendre que je devais arrêter la pilule, j'avais pensé appeler Marc, pour un deuxième tour avec lui. Je sais, il est laid, mais il sait si bien y faire ! Peut-être pourrais-je l'appeler tout de même? »

- Hervé : « Ce n'est pas raisonnable, mais il est vrai que ça m'exciterait ... alors ... pourquoi pas un soir, tout au début de ton cycle? »

- Laura : « Bien sûr, mais j'aimerais ensuite faire encore quelques sorties. Ce serait sans toi, pour me faire draguer. Je pourrais trouver un homme aussi bien monté et qui serait bien plus attirant que Marc. Je pourrais me faire baiser, même si c'est un peu plus loin dans mon cycle. »

- Hervé : « Peut-être pourrais-tu lui faire mettre un préservatif? »

- Laura : « Oh, non ! C'est bien meilleur sans. Je pourrais lui demander de se retirer ... mais, dans l'instant de la jouissance, il y a toujours le risque qu'il ne le fasse pas ... surtout si, dans l'excitation du moment, je le retenais en moi. »

- Hervé : « Oh, non ! Là, ce serait bien trop dangereux ! »

- Laura : « Pas tant que ça, mon chéri, puisque je serais encore dans une période peu risquée ... mais tout à fait à la fin, c'est vrai. »

- Hervé : « Après ça, il faudrait vraiment que tu arrêtes tes aventures ! »

- Laura : « Oui, bien sûr ... mais ... imagine que je veuille rester un peu plus longtemps avec lui ... parce que je serais ... tombée amoureuse. »

- Hervé : « Oh ! Là, c'est en dehors de nos conventions ... tu as ma permission seulement pour le plaisir physique ! »

- Laura : « Tu sais, pour une femme il peut être difficile de séparer les deux ... si l'homme est prévenant et la baise bien. Comment pourrais-je ne pas tomber amoureuse ... d'un si bel ... Africain. »

- Hervé : « Oh ! ... Tu resterais peut-être ... un peu trop longtemps avec lui. »

- Laura : « Oui, sûrement une semaine ou deux, pour bien profiter de lui ... et de son énorme bite. »

- Hervé : « Peut-être jusqu'à une période dangereuse ... ou même jusqu'à ton ... ovulation? »

- Laura : « Oh, oui ! Et je lui demanderais de ... jouir en moi ... plusieurs fois. »

- Hervé : « Tu tomberais certainement enceinte de lui ! »

- Laura : « Oui, j'en aurais tellement envie. Et ensuite je paraderais devant toi avec mon gros ventre. Ça t'exciterait, mon gentil cocu, n'est-ce pas? »

La seule réponse de son mari est la giclée de sperme qui arrose sa main, mais Laura continue de penser que c'est pour lui seulement un fantasme.

Quelques semaines plus tard, Laura semble avoir été délivrée des problèmes de santé liés à la pilule. Une seconde visite chez son gynécologue montre que tout paraît être rentré dans l'ordre. Elle prend quotidiennement son traitement hormonal. Le praticien confirme que tout va pour le mieux, puisqu'il constate même une ovulation. Il lui conseille la prudence dans ses rapports sexuels dans les prochains jours.

Dès son retour, heureuse de se retrouver en bonne santé, Laura raconte tout à son mari. Après un dîner rapide, Laura lui dit :

« Maintenant, il faut que tu retournes dans ta cachette. J'ai de la visite, ce soir. »

« Mais, comment? », interroge Hervé, perplexe.

« Oui, Marc m'a appelé et je n'ai pas pu résister. J'ai trop envie de son gros sexe. Ne t'inquiète pas, il ne restera par longtemps car je lui ai dit que tu allais seulement prendre un pot avec des copains après le dîner. »

Cela ne rassure pas Hervé, qui lui dit :

« Aujourd'hui, un jour d'ovulation, c'est de la folie ! »

« Je lui demanderai de se retirer avant de jouir, c'est simple », répond Laura.

« Je n'ai pas confiance », insiste son mari, « je te laisserai un paquet de préservatifs sur la table de nuit. »

« Bon, j'essaierai », dit Laura, « mais je ne te promets rien. »

Hervé a juste le temps de se cacher dans le dressing avant que l'on sonne à la porte. Laura embrasse fougueusement l'arrivant. Il semble que la laideur du visage de l'homme ne lui importe plus, tant elle apprécie une autre partie de son corps. Ils se ruent vers la chambre où ils se déshabillent frénétiquement. Marc sait bien qu'il n'est là que pour un 'petit coup vite fait'. Il ne faudrait pas qu'il soit découvert par un mari qu'il imagine bien jaloux. Laura prend quelques minutes pour sucer ce gros membre, tout en caressant des bourses aussi grosses. Elle ne peut que penser à tout le sperme qu'elles peuvent produire.

Puis, Laura se couche sur le lit, cuisses écartées, offerte. Ce n'est pas le moment des longs préliminaires. Être obligée de se faire baiser comme ça, 'à la va vite', l'excite énormément. Elle prend tout de suite plaisir à sentir le gros gland qui écarte les lèvres de sa chatte et plonge d'un coup dans le vagin, lui faisant ressentir cette dilatation qui lui fait tant de bien.

Hervé, par l'entrebâillement de la porte, voit avec effroi que l'homme vient de pénétrer sa femme sans protection. Elle ne lui a même rien dit. Le coït se poursuit et il entend alors sa femme dire à Marc :

« Je n'ai plus de contraception et je suis au pic de ma fertilité. Il vaudrait mieux que tu te retires et jouisses sur moi. »

Il semble qu'entendre ça a encore plus excité Marc qui accélère le coït, ce qui fait dire à Laura, en repoussant son amant :

« Oh là ! Je ne te fais pas confiance. On va continuer avec un préservatif. »

Laura l'aide à s'équiper et c'est difficile, car Hervé les avait achetés pour lui, d'où le problème pour s'adapter à la taille du sexe de Marc. Cela finit par aller et le coït reprend avec toujours autant de vigueur. Pour eux deux les sensations sont moins bonnes et Laura se dit qu'elle n'en utilisera plus, même si elle prend alors des risques. Les sensations étant moins fortes, leur rapport dure plus longtemps, à tel point que Laura doit rappeler à son amant que son mari devrait bientôt arriver. L'idée de risquer d'être découvert provoque l'éjaculation de Marc. Laura, elle, n'a pas atteint l'orgasme et ces circonstances lui ont un peu gâché le plaisir qu'elle espérait en retrouvant cette grosse bite. Elle enlève précautionneusement le préservatif du sexe de Marc, qui se sauve alors en ne déposant qu'un petit baiser sur les lèvres de Laura, tant il est inquiet.

Dès son départ, Hervé rejoint sa femme, qu'il s'étonne de voir nouer le préservatif et le poser sur le lit. Serait-ce pour lui rappeler l'adultère qu'elle vient de lui offrir? C'est le genre de question qu'il peut se poser en branlant le pénis sorti de sa braguette.

« C'était un peu trop rapide », dit Laura, tout en déshabillant son mari.

Alors qu'elle le branle doucement, Hervé la questionne :

« Pourquoi as-tu gardé ce préservatif, ma chérie? »

« Mais c'est pour toi, mon amour », lui répond sa femme, « pour que tu puisses faire ce travail de cocu que tu aimes tant. »

Alors Laura se couche sur le dos, dénoue le préservatif et en déverse la moitié du contenu sur son pubis. Son mari se précipite sur elle et embrasse l'endroit, suçant, aspirant, heureux du cadeau qu'elle lui fait. Évidemment, le passage de la langue dans les poils pubiens n'est pas l'idéal et Laura se rend compte des difficultés de son mari.

« Ce serait plus facile plus bas », lui dit-elle en écartant les lèvres de sa chatte de ses deux mains.

Hervé se saisit du préservatif et hésite un instant, mais il est tellement excité qu'il verse le reste du sperme entre les lèvres vulvaires bien ouvertes. Il se précipite tout de suite pour essayer d'aspirer en bouche cette grosse flaque blanche, ce qui fait dire à Laura :

« Oui, vite, nettoie tout, avale tout ! Il ne faudrait pas que tu engrosses ta femme avec le sperme d'un autre homme ! », et cette phrase déclenche deux orgasmes simultanés.

Après cette dernière aventure, c'est le calme plat. Marc a appelé Laura pour lui dire qu'il est muté à l'étranger, ce qui met fin à leur relation. Laura aurait évidemment pu se lancer dans d'autres recherches pour trouver des hommes bien montés pour la satisfaire, mais Maxime doit bientôt rentrer de son stage d'étude. Hervé et elle sont heureux de retrouver leur fils après une si longue absence, mais sa présence rendra difficile voire impossible les aventures de Laura.

Lorsqu'ils accueillent Maxime à sa descente d'avion, les embrassades sont de circonstance. Laura couvre son fils retrouvé de baisers et le serre fortement et longuement dans ses bras. Hervé n'y voit curieusement pas une preuve d'amour maternel. Il a l'impression qu'il s'agit d'un homme prenant possession de sa femme devant lui, le cocu voyeur. Hervé est gêné de penser ainsi et il se traite intérieurement de pervers, mais il ne peut rien y faire, son pénis bandant fortement pour accompagner cette idée.

Pour le déjeuner, Laura a choisi les plats favoris de son fils. Rien ne doit être trop beau pour l'accueillir. Elle s'est d'ailleurs faite belle pour son retour. Elle a mis un haut qui moule bien sa poitrine et une jupe un peu trop courte, comme elle l'aurait fait pour un rendez-vous galant. Cependant, c'est sans penser à mal qu'elle l'a fait.

Comme c'est le week-end, les deux parents sont là, disponibles pour leur fils. Pendant le repas, ils interrogent Maxime à propos de son séjour aux USA. Ils veulent tout savoir et leur fils est heureux de partager son expérience avec eux. Ils apprennent alors qu'il pourra retourner là-bas pour suivre un enseignement très valorisant pour ses études après les grandes vacances qu'il entame maintenant. Hervé pose alors une question plus personnelle :

« Fiston, as-tu trouvé une belle américaine? »

« Oh, Hervé ! », s'insurge Laura, qui trouve la question trop indiscrète.

« C'est que », répond leur fils, « ce n'était pas facile. Je possède un anglais scolaire mais je ne maîtrise pas toutes les subtilités qui sont bien utiles pour draguer. Donc, à part quelques petits flirts de rien, ça a été le calme plat pour moi pendant ces trois mois. »

Hervé lui donne un conseil :

« Puisque tu y retournes, pense à lire des livres en anglais pendant ces vacances. Il y en a plein la petite bibliothèque dans ta chambre. »

« Je les ai déjà tous lus, alors? », rétorque Maxime.

Après le repas, Hervé va dans son bureau pour se connecter à Internet. Il accède à un site qui vend des livres en langue anglaise, dans le domaine de l'érotisme. Il a vite fait de sélectionner une courte nouvelle qui sera moins rébarbative qu'un long roman. Son titre est 'Motherly love'. Son résumé montre qu'il s'agit d'une relation amoureuse entre un fils et sa mère qui conduit celui-ci à un comportement qui frôle l'indécence. Ce n'est pas pornographique mais très érotique. Hervé s'empresse de le commander avec l'option de livraison express.

Le soir, lorsque Maxime, fatigué par le voyage, veut se coucher tôt et donne le bonsoir à ses parents, Laura lui rappelle :

« Te souviens-tu, mon grand, de notre bonsoir quand tu étais petit? Je venais toujours te faire la bise quand tu étais couché. Je t'embrassais pour te souhaiter une bonne nuit. »

« Je m'en rappelle bien », lui répond Maxime, «C'était très agréable ... j'aimais beaucoup ça ... mais j'étais petit. »

« Pour moi », lui dit sa mère, « tu es toujours mon petit », bien qu'il fasse maintenant une tête de plus qu'elle.

Avant d'aller au lit, Laura enfile la longue chemise de nuit qu'elle avait mis la veille, sans penser que la température a beaucoup augmenté aujourd'hui. Au moment de se coucher, elle repense à son fils et à ce rituel du soir, abandonné depuis des années. Pourquoi pas ce soir, pour son retour? Ce n'est même pas une question car elle a envie de retrouver ce moment de partage, aussi va-t-elle dans la chambre de son fils, qui s'étonne de sa venue :

« Un problème, maman? »

« Non, mon chéri », lui répond-elle, « j'avais juste envie de te dire un petit bonsoir, comme au bon vieux temps. »

Elle s'approche et s'assied au bord du lit. Elle s'étonne alors de la tenue de son fils :

« Tu n'as pas mis de pyjama ! »

« Non », lui répond-il, « J'ai seulement le drap sur moi. Avec la chaleur qu'il fait, c'est bien suffisant. »

« Tu as raison, mon chéri », confirme Laura, « Il faudra que je mette une chemise de nuit d'été. Ce sera plus de saison que celle-ci. »

En se penchant pour embrasser son fils, Laura pose la main sur le lit pour trouver son équilibre et sursaute en sentant sous sa main une chose bien dure et bien grosse.

« Oh, pardon ! », s'exclame-t-elle en enlevant sa main, avant d'entendre dans un murmure :

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