Jeux Pervers - 03 (En Famille)

« Ce n'est pas grave, Maman. »

Laura embrasse son fils sur les deux joues, puis recommence. C'était leurs quatre baisers traditionnels. En fait, les baisers ont plutôt été au coin des lèvres. Est-ce lui ou moi qui a bougé? Laura se le demande un instant, puis elle se dit que, quelle qu'en soit l'origine, c'était un accident. Si c'était le cas, pourquoi les deux derniers baisers ont-ils été au même endroit? Elle repense aussi à ce sexe bien dur qu'elle a senti un instant sous sa main. C'est probablement normal, face à une femme, pour un jeune qui a été quasiment privé de fille pendant trois mois. Puis Laura se dit que, tout de même, elle n'est pas une femme comme les autres, elle est sa mère.

De retour dans sa chambre, elle retire cette chemise de nuit trop chaude et se couche, nue, à côté de son mari. Laura a besoin d'amour. Elle sait bien ce qui est à l'origine de l'humidité de sa chatte et elle en a un peu honte. Elle se met à genoux au-dessus de son mari et s'empale sur son sexe en disant :

« Je vais faire une petite exception, mais essaie d'être silencieux. Maxime est dans la chambre voisine. Surtout, retire-toi avant la jouissance. Tu pourras finir dans ma bouche. Tu vois, je suis gentille, ce soir. »

Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, chacun vaque à ses occupations, Hervé dans son bureau et Laura mettant un peu d'ordre dans la maison. Maxime a disparu depuis un moment et est peut-être dans sa chambre. Laura, passant dans toutes les pièces, ne voit son fils nulle part et s'en étonne : serait-il sorti sans les avoir informés? Tout à coup, il lui semble avoir entendu du bruit au sous-sol. Elle y descend et voit que la porte de la lingerie est à demi ouverte. Cela l'intrigue, aussi s'approche-t-elle à pas de loup.

Devant elle, lui tournant le dos, Maxime se tient debout, juste devant la corbeille qui contient le linge sale. Il tient à la main une des culottes de sa mère qu'il approche de son visage pour finir par en lécher l'entre-jambes en soupirant d'excitation. Sa position légèrement de côté permet à Laura de voir que sa main masturbe un sexe démesuré, d'une trentaine de centimètres de long et gros comme une canette de bière. Laura ne pensait pas qu'il puisse en exister de cette taille. Mon fils est monté comme un âne, se dit-elle. Laura en est heureuse pour lui : il a hérité de son arrière-grand-père. Encore une fois, elle sent que sa chatte est trempée et elle a honte de réagir comme ça. Elle se retire dans la plus grande discrétion.

Pendant toute la journée, Laura ne pense qu'à ça. Dès qu'elle se trouve avec son fils, elle ne peut s'empêcher de regarder son pantalon au bon endroit pour y détecter une bosse qui l'attire. A chaque fois, elle rougit comme une gamine. Doit-elle garder son secret? Si elle doit en parler à son mari, ce sera ce soir, au lit.

Dans l'après-midi, pour bien finir le week-end, Laura propose de profiter de leur piscine, par cette chaleur toute nouvelle. Ce n'est pas la seule raison qui y pousse Laura. C'est une bonne occasion de voir son fils dans une tenue peu couvrante. Même si elle n'ose pas se l'avouer, Laura veut aussi savoir si elle, sa mère, lui fait de l'effet. Elle choisit de mettre un tout petit bikini qui ne cache pas grand-chose, une tenue de bain que son mari lui avait offerte pour leurs baignades à deux et qu'elle n'avait accepté de mettre qu'une fois, pour lui faire plaisir. Quand elle entre dans l'eau, elle voit bien la surprise et peut-être l'envie dans le yeux de Maxime. Laura remarque que le boxer de son fils est vraiment bien rempli et elle a du mal à le quitter des yeux.

Lorsqu'elle se décide à sortir de la piscine, Laura se souvient alors que le bikini n'était pas doublé, raison de son refus de le porter après la première fois. En sortant, elle se rend compte qu'il est presque complètement transparent. Ses tétons comme sa toison pubienne sont bien visibles. Elle devrait se précipiter pour s'entourer de sa serviette de bains, mais elle s'attarde longuement, prétextant qu'elle ne la retrouve pas. Ni son mari ni son fils, qui ont bien vu où elle est, ne font le moindre effort pour l'aider, profitant tous deux de la vue intéressante. Lorsqu'elle s'en drape enfin, Laura, en regardant son fils, voit un énorme gland qui dépasse de la ceinture d'un boxer dépassé par les évènements.

Pendant le dîner, c'est cette fois Maxime qui interroge ses parents, s'informant à propos du travail de son père et s'inquiétant de leur santé à tous deux. Laura lui confie qu'elle a eu quelques petits problèmes féminins et que tout va bien maintenant. Pourquoi a-t-elle dit ça? Cela ne regarde pas son fils, se dit-elle. Cependant elle se surprend elle-même à poursuivre :

« J'ai dû arrêter toute contraception et ... ton père et moi devons faire très attention ... si on veut t'éviter un petit frère ou une petite sœur ! »

Laura voit son fils rougir et réajuster discrètement quelque chose qui le gêne dans son pantalon.

Le soir, au coucher, Laura se déshabille complètement et cherche quelle tenue mettre pour les traditionnels baisers du soir avec son fils. Son choix se porte sur une chemise de nuit d'été à peine plus longue qu'une mini-robe et dont le décolleté est très généreux. Dans la chambre de son fils, elle s'assied au bord du lit, comme la veille. Ce doit être un rituel, chaque soir, se dit-elle. Aussi, pose-t-elle sa main sur le drap, au même endroit. Cette fois, la main se retire pas. Il n'y a pas d'excuse. Les doigts serrent le membre qui grossit sous eux et ne le lâchent plus. Un soupir d'excitation s'échappe des lèvres de Maxime.

Laura se penche lentement pour l'embrasser et s'arrête dans son mouvement. Elle a vu le regard de son fils plonger dans son décolleté. Dans cette position, il doit bien voir en totalité les gros seins qui pendent devant lui. Elle lui laisse le temps de contempler ce qui lui fait tant d'effet, si elle en croit ses doigts serrés. Maxime cherche aussi à prolonger le moment, aussi dit-il :

« Tu étais très belle dans ton bikini, à la piscine. »

« J'ai bien vu que ... ça te faisait de l'effet », lui répond sa mère.

Laura n'a pas envie d'aller plus loin, ce soir, aussi se penche-t-elle pour les quatre baisers traditionnels qui sont bien à demi sur les lèvres, cette fois sans la moindre erreur. Puis elle se relève pour le quitter en disant :

« Bonne nuit mon chéri. Dors bien ... même si tu n'y arrives pas tout de suite ... à cause de ... ça ! », montant du doigt la bosse que fait le sexe sous le drap.

Maxime retient sa mère par le bras et lui dit :

« Maman, j'aime beaucoup ce rituel du soir et j'espère nous allons continuer, mais peut-être pourrions-nous finir sur un cinquième baiser plus ... comment dire ... plus appuyé et ... un peu plus long. Qu'en penses-tu? »

« Pourquoi pas? On peut innover », répond sa mère.

Laura pose alors sa bouche sur celle de son fils et ils échangent un long baiser passionné, comme le feraient deux amants, leurs langues se cherchant. Quand ils sont à bout de souffle, Laura se redresse et dit :

« Ce cinquième baiser, qui fait maintenant parti du rituel, doit rester notre secret, n'est-ce pas? »

« Oui, maman », répond Maxime, dont la main bouge déjà sous le drap.

Quand Laura rejoint son mari, au lit, l'exception devient l'habitude, car elle se laisse pénétrer par son mari sans protection. Cette fois, elle ne reste pas discrète, bien au contraire. Elle veut que son fils l'entende prendre du plaisir. Elle sait que cela va finir par le faire jouir. Laura raconte à son mari ce qu'elle a vu à la lingerie. Ses mots sont entrecoupés de gémissements de plaisir. Elle parle de la taille du sexe de leur fils, ce qui fait dire à son mari :

« Toi qui aimes les grosses bites, tu vas être servie ! »

« Mais c'est mon fils ! », s'exclame Laura, « Quel cochon tu es ! », se montrant plus choquée qu'elle ne l'est vraiment.

Quand Hervé sent monter sa jouissance, il demande si il doit se retirer et sa femme lui répond :

« Non, tu peux jouir en moi. Ma période dangereuse n'est qu'à son tout début. »

Hervé, qui n'a pas souvent eu cette chance, en est encore plus excité et il inonde le vagin de sa femme d'un sperme trop longtemps gardé. Laura, qui ne veut pas prendre trop de risques, se fait au plus vite une toilette intime à la salle de bain.

Dès le retour de sa femme au lit, Hervé lui dit :

« Puisque Maxime a l'air de bien aimer tes petites culottes, tu devrais essayer d'en laisser en évidence pour lui. »

« Peut-être ... », répond-elle avant de s'endormir.

Le lendemain, Laura se lève tôt pour préparer le petit déjeuner qu'elle prendra avec son mari, qui doit se rendre de très bonne heure à son bureau pour une réunion. Maxime n'est pas encore réveillé.

Lorsque tout est prêt, Laura repense à la recommandation de son mari, conseil qui l'excite vraiment. Elle veut laisser un sous-vêtement bien visible par son fils. Elle sélectionne une petite culotte brodée, rouge vif, qu'elle place sur le dessus d'un tiroir dans son dressing. Elle 'oublie' volontairement de refermer le tiroir, puis elle s'habille. Elle met le soutien-gorge assorti à la petite culotte. Elle met ensuite une chemisier qu'elle laisse largement ouvert pour que le soutien-gorge soit bien visible, ainsi qu'une jupe qu'elle portera sans rien dessous, puisque la petite culotte est restée dans le tiroir ouvert. Laura a l'impression de mettre pour son fils un appât, comme on le ferait pour pécher un gros poisson. On verra bien, se dit-elle.

Pendant ce temps, Maxime a pris son petit-déjeuner seul et est retourné s'habiller. Après sa soirée d'hier, il s'est réveillé encore plus excité que d'habitude. Il lui prend l'idée de revenir faire un tour dans la lingerie à la recherche d'un sous-vêtement excitant. Il est bien déçu de trouver un panier à linge vide. Oserait-il aller chercher dans le dressing qui jouxte la chambre de ses parents? Son père est parti et sa mère est dans la cuisine. Il tente alors sa chance. Dans le dressing, il voit tout de suite le tiroir ouvert. La petite culotte rouge qui est sur le dessus est parfaite, très sexy. Il s'en empare et retourne dans sa chambre. Là, il sort son sexe et utilise la culotte pour se branler. C'est pour lui incroyablement excitant de faire ça avec un tel sous-vêtement de sa mère. Quand il va jouir, ce sera comme s'il la baisait. Il va y mettre tout le sperme qu'il a gardé en lui si longtemps. Il pense à ce qu'elle a dit à propos de sa contraception. Il l'imagine fertile et recevant sa semence. Cette pensée si érotique provoque son éjaculation. Il nappe complètement l'entre-jambes de la petite culotte en plusieurs couches.

Après une telle jouissance, il devrait avoir débandé et se demander quoi faire de cette culotte maculée. Ce n'est pas le cas, car son membre est toujours bien dur et son excitation est encore là, le poussant non pas à cacher son forfait mais à vouloir que sa mère le découvre. Il prend précautionneusement le sous-vêtement pour ne rien renverser de ce qu'il contient et va le placer, à la lingerie, bien visible au fond du panier à linge, où il trône seul. Si sa mère le découvre, elle sera peut-être excitée, ce qu'il espère, ou alors furieuse, ce qui l'inquiète.

Dans la matinée, alors que Maxime vient de partir pour rencontrer quelques copains avec qui il a prévu de déjeuner, Laura fait un tour dans le dressing. La petite culotte rouge n'est plus là. Puis elle rentre bredouille d'une inspection dans la chambre de son fils. C'est à ce moment qu'elle pense à la lingerie. Elle y trouve la petite culotte et est surprise de voir la quantité de sperme qui la remplit. Alors, sans la quitter des yeux, elle se fouille le vagin avec deux doigts, imaginant son fils se masturbant et éjaculant pour elle. Laura pense un instant à mettre cette petite culotte complètement souillée, mais n'ose pas, surtout à cette période.

Après sa réunion qui a commencé très tôt, Hervé prend un moment pour revenir déjeuner avec son épouse, avant de retourner reprendre son travail. Il est pressé et Laura lui prépare un repas tout simple, qu'ils expédient si vite que son mari à encore une demi-heure devant lui. Elle en profite alors pour lui faire partager sa découverte. Quand Hervé voit le sous-vêtement et son contenu, il dit à sa femme :

« Pour l'assortir avec ce beau soutien-gorge que tu montres bien, tu devrais enfiler cette jolie culotte ... telle quelle ... évidemment. »

« Oh, non, ça serait trop dangereux en ce moment », fait remarquer Laura.

« Ce n'est pas un gros risque car tout cela restera à l'extérieur de ta chatte, ma chérie », explique son mari.

Alors, obéissante, Laura enfile la petite culotte. Elle a une sensation curieuse quand le sperme s'étale sur ses lèvres intimes qu'il englue complètement. Elle soulève alors sa jupe pour s'exhiber devant son mari à qui elle dit :

« Voilà, tu es content? »

« On peut faire un peu mieux », lui répond Hervé qui, de ses deux mains, attrape alors la culotte à la taille et la tire fortement vers le haut.

Laura sent bien le tissu de l'entre-jambes se glisser entre ses lèvres, entraînant avec lui une bonne dose de sperme dans l'entrée du vagin. Malgré le risque, elle va rester comme ça. C'est si excitant !

Peu de temps après, le père et le fils se croisent à l'entrée de la maison.

Maxime, maintenant seul avec sa mère est inquiet. A-t-elle trouvé la petite culotte? Comment a-t-elle réagi. Laura l'accueille tout sourire. Il pense alors qu'elle n'a encore rien vu. Cependant, il remarque le chemisier très déboutonné qui laisse voir en partie le soutien-gorge rouge assorti à la culotte qu'il a subtilisée. Voyant la direction du regard de son fils, Laura tente de refermer un bouton de son chemisier mais Maxime l'arrête d'un :

« Oh, non, Maman ! Tu as un très beau soutien-gorge, très sexy », puis il ajoute dans un murmure :

« C'est dommage de ne pas avoir pu mettre une culotte assortie ... »

Ça y est, il s'est lancé. Il a signé son forfait. Elle doit savoir maintenant qu'il a pris la petite culotte. Mais l'a-t-elle trouvée? C'est tout ce qui tourne en boucle dans la tête de Maxime. Aussi est-il surpris d'entendre sa mère dire :

« Mais non ! J'ai mis la petite culotte qui va avec. »

Voyant l'étonnement de son fils, Laura soulève sa jupe en disant :

« Regarde. »

N'en croyant pas ses yeux, alors que sa mère garde sa jupe bien relevée, Maxime avance une main vers la culotte. Sous ses doigts, il sent bien le tissu englué de son sperme. La salope, elle l'a fait, se dit-il. Il est encore plus excité de voir que l'entre-jambes du sous-vêtement souillé a glissé entre les lèvres de la chatte. Sentant le contact des doigts de son fils à cet endroit, Laura, par prudence ... à moins que ce ne soit que pour l'exciter encore plus, lui dit :

« Fais attention, Maxime, je suis dans une période dangereuse en ce moment. »

Le garçon ne sait que faire. Doit-il retirer sa main? Sa mère est allée déjà si loin en remettant ainsi cette culotte souillée de son sperme ! Il retire sa main et voit dans le regard de Laura ce qui lui semble être une déception. Pour en avoir le cœur net, il replace sa main et un sourire illumine le visage de sa mère. Alors, il glisse un doigt dans le vagin, à côté du tissu. Ce faisant, il pousse un peu de sperme plus loin. Laura se met à trembler d'excitation. Son envie est évidente. Ce qu'il lui fait l'excite tant qu'elle en veut plus encore. Alors, Maxime baisse la petite culotte jusqu'à mi-cuisses. Ses doigts récupèrent tout le sperme qui la nappe et le poussent dans le vagin de Laura, jusqu'au fond. Lorsque, de deux doigts bien enfoncés, il étale son sperme sur l'ouverture du col de l'utérus de sa mère, celle-ci est envahie par un des plus forts orgasmes qu'elle ait connu, alors que Maxime, sans s'être touché, éjacule dans son pantalon.

Quelques heures plus tard, en rentrant du bureau, Hervé trouve dans sa boîte aux lettres le livre qu'il attendait. Dans sa chambre, il le feuillette rapidement. C'est bien ce qu'il espérait : une relation entre un fils et sa mère qui devient de plus en plus chaude, jusqu'à une relation sexuelle incestueuse. Tout s'enchaîne dans cette nouvelle comme si il ne pouvait y avoir aucune autre fin possible entre eux deux. Dans cette histoire, le mari, fait cocu par son fils, finit par participer à cette relation dans le rôle du voyeur excité. Hervé, place subrepticement le livre dans la bibliothèque de la chambre de son fils.

Au cours du dîner, Hervé rappelle à Maxime qu'il devrait bien lire un peu d'anglais pendant ces vacances pour conserver voire améliorer ses compétences dans cette langue. Pour lui faire plaisir, son fils répond qu'il va lire un peu au lit ce soir.

Maxime retourne dans sa chambre sans tarder. Il passe en revue les livres de sa bibliothèque qu'il connaît tous, sauf un, 'Motherly love', qu'il voit pour la première fois. Trop content d'avoir une nouveauté, il se met nu, comme d'habitude et se couche pour commencer à lire. Certains mots lui sont inconnus, mais, dans l'ensemble, il comprend bien l'histoire. Plus il avance dans sa lecture, plus il est excité. Il repousse le drap, et, tenant son livre d'une main, il se masturbe de l'autre.

Dans la chambre voisine, sa mère se prépare à aller donner les baisers du soir à son fils. Hervé l'arrête en disant :

« Ne te précipite pas, ma chérie. Tu vois, il y a encore un rai de lumière sous la porte de sa chambre. Il doit être en train de lire de l'anglais, comme je le lui ai conseillé. Raconte-moi plutôt ta journée. »

Alors Laura fait à son mari le récit détaillé de l'aventure du jour avec son fils, tout en branlant la petite bite de son mari, qui a bien du mal à éviter sa jouissance. A la fin de son récit, Laura lui dit :

« Ça t'excite vraiment, mon cochon ! On dirait que tu aimerais que j'aille encore plus loin, n'est-ce pas? »

Son mari lui répond curieusement en changeant de sujet :

« Regarde, ma chérie, j'ai un petit cadeau pour toi », tout en lui tendant un paquet.

En l'ouvrant, Laura trouve un vêtement qu'elle essaie tout de suite. C'est une nuisette absolument transparente et si courte qu'elle s'arrête à cinq centimètres sous l'entre-jambes. Il n'y a pas mieux pour se faire violer, pense-t-elle.

« Ne serait-ce pas plutôt un cadeau pour toi, mon chéri? », questionne-t-elle.

« C'est vrai que cela plaît beaucoup aux hommes », répond-il, « mais ce n'est pas seulement pour moi. Je ne suis pas le seul mâle ici ... »

Laura a sa réponse. Elle pose alors un rapide baiser de remerciement sur les lèvres de son mari et se dirige vers la chambre de son fils.

Elle entrouvre la porte sans faire de bruit et découvre son fils se masturbant pendant sa lecture. Lorsqu'elle s'avance enfin, Maxime sursaute, non pas d'être surpris dans ses activités mais par la vue qu'il a.

« Je ne le crois pas ! », dit-il, « Tu es ... extraordinaire ».

« Tu étais en train de lire. Mon chéri, de quoi parle ton roman? », dit Laura.

« Viens tout près, Maman, je vais te le dire à l'oreille » , lui dit Maxime.

Alors Laura vient se placer à genoux au-dessus de lui. Elle se penche pour lui faire les quatre baisers traditionnels au coin des lèvres mais s'arrête avant le fameux cinquième, attendant son récit. Dans sa position, Laura sent bien l'énorme sexe de son fils contre les lèvres de sa chatte. Elle ne peut s'empêcher de bouger lentement d'avant en arrière, puis dans l'autre sens, et de recommencer de nouveau. A chaque mouvement ses lèvres intimes coulissent le long du membre, sans pénétration, y déposant sa mouille féminine.

« Dis-moi ... » est le murmure qu'entend Maxime avant qu'il dise :

« C'est l'histoire d'un fils et de sa mère qui ont, comme nous, des relations intimes très érotiques ... mais ... ils finissent par faire vraiment l'amour. »

« Comme ça? », dit Laura qui vient de prendre en main l'énorme membre et en placer le gland entre ses lèvres vulvaires, puis elle ajoute :