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L'orage

« Raconte moi cela ! » je lui commande d'une voix haletante et incrédule, « Comment cela a-t-il pu arriver ? ».

Pour entendre plus commodément ses confidences, je me glisse contre elle dans son dos. Par pudeur, maman s'est mise sur le coté et je me mets contre elle .

« C'était juste avant la communion solennelle, nous avions une période de retraite avec des prêtres où nous faisions une préparation à la cérémonie. C'était aussi une sorte de petites vacances pour les enfants. Les prêtres nous emmenaient à la campagne et nous faisions des jeux. Un de ces prêtres avait une réputation de dureté envers nous et il ne fallait pas faire une bêtise sous ses yeux sous peine d'être punie sans pitié. Un jour, j'ai été jugé trop bavarde par lui et il m'a dit de le suivre dans son bureau. J'étais terrorisée, il s'est assis devant moi l'œil sévère et m'a demandé d'approcher. Je me suis avancé jusqu'entre ses genoux et il a commencé à me parler durement tout en me tenant fermement les bras en me secouant de temps en temps. Peu à peu ses mains se sont mises à se promener sur mon corps, de mes épaules à mes jambes, il me palpait les cuisses en me disant qu'elles étaient bien rondes. Le ton s'est radouci et il m'a murmuré des choses à l'oreille, comme quoi finalement j'étais une bonne fille et je ne sais comment sa main est venue prendre la mienne et je me suis retrouvé avec son sexe à la main. Il m'a fait faire les mouvements de masturbation, j'étais tétanisée et n'osais plus bouger, même pas regarder sa bite entre mes mains. Il m'a demandé de m'agenouiller devant lui, je suis littéralement tombée tant mes jambes ne me soutenaient plus et il m'a dit de le sucer. J'ai ouvert la bouche sans réfléchir et il a guidé son sexe en ma bouche. D'une voix douce il m'a dit comment procéder et je l'ai fait tant bien que mal. Je le sentais haleter au dessus de moi, je n'osais pas lever les yeux, complètement dépassée par ce qui m'arrivait.

A un moment il a haleté plus fort et m'a sorti le sexe de la bouche, je ne sais comment je me suis retrouvé avec son membre entre les doigts qu' il me tenait pour imprimer le mouvement. Il y a eu une secousse puis deux et j'ai vu un jet de sperme jaillir de son gland et couler le long de mes doigts. C'était chaud mais répugnant, j'étais dégoûtée de voir ce liquide gras se répandre sur ma main . Il a sorti son mouchoir et s'est mis à essuyer le sperme qui se coulait tout en parlant doucement et me demandant mon silence.

Il n'aurait pas eu besoin de le faire tant je fus abasourdie par l'expérience.

Le reste de la retraite je tentais de le fuir, j'avais peur qu'il recommence mais je me rendis compte qu'il accompagnait d'autres petites filles qui n'avaient pas été sage dans son bureau. »

Le récit de maman me laisse sans réaction, je savais qu'il courrait des bruits, mais je n'imaginais pas que quelqu'un d'aussi proche de moi put être victime de ce genre de personne. La confidence de maman tourne dans ma tête comme un manège sans fin et peu à peu je sens mes sens qui s'échauffent à nouveau. J'ai la queue dure entre les fesses de maman, je ne demande rien et de ma main j'écarte ses fesses et guide ma queue vers son petit trou. Elle ne réagit pas et je peux à mon aise préparer son anus à la pénétration. Mes doigts s'activent à ouvrir un peu le passage avant que je présente mon gland à l'entrée de la grotte secrète. Maman me semble passive ce soir, je lui saisis la hanche pour l'empêcher de reculer et je pousse mon membre en elle. J'y entre sans trop de mal ni pour elle ni pour moi, une fois le gland engagé je fais une pose pour qu'elle s 'habitue à ma queue fichée en elle. Je bouge en tournant mon bassin pour agrandir le passage et j'entre lentement dans le conduit brûlant qui cède peu à peu.

Je dégrafe le soutien-gorge et le fait glisser loin d'elle et puis je m'installe pour l'enculer langoureusement, mon bassin collé à ses fesses, mes bras passés sous son torse je lui empoigne les seins.

Je suis bien, nous sommes bien, nous ne bougeons ni l'un ni l'autre, faisant durer l'instant, reculant le temps de la jouissance qui viendra comme la récompense promise à nos déchaînements érotiques. Je repense à sa confidence de tout à l'heure et ma bite s'en trouve durcie, j'ai envi d'en savoir plus sur sa vie amoureuse.

« Et l'amour de cette façon, tu l'as pratiqué avant ? »

« Oui » répond-t-elle dans un soupir.

« Dis moi quand tu l'as fait, dis moi tout, je veux tout savoir de toi. »

« Quand j'étais jeune fille je l'ai fait, parfois un garçon trop entreprenant voulait faire l'amour et comme il fallait arriver vierge au mariage, c'était une façon de détourner l'interdit ».

« Dis moi quand exactement, qu'elles circonstances »

« Ah ! oh ! vas doucement tu me fais un peu mal ! A la sortie d'un bal une fois mon cavalier était vraiment très excité, je l'avais senti en dansant collé contre lui et il m'a demandé si l'on pouvait s'isoler. Je lui ai dit les conditions et il a accepté. Nous sommes sortis et avons cherché un coin pour notre petite affaire. »

« Et alors ? tu as aimé ce qu'il t'a fait ? »

« Il était assez tendre, mais quand il a voulu me pénétrer il s'est montré impatient et il a failli me déchirer. Au passage, il a fallu que je me batte pour qu'il ne ma pénètre pas par devant car il s'énervait et voulait à toute force entrer en moi. Je l'ai calmé et il est parvenu à ses fins et a joui rapidement en fait tant il était excité. »

« Il y a eu d'autres fois ? »

« Oui, deux ou trois fois encore avant que je ne rencontre ton père, après je ne l'ai fait qu'avec lui jusqu'au mariage. »

« Les deux ou trois fois, c'était au bal aussi ? »

« Deux fois oui, mais une fois cela s'est passé dans une maison. »

« Raconte moi tout, je veux tout savoir de toi ! »

« Oh ce n'est pas bien glorieux, j'ai honte de cette fois là. J'avais dix huit ans et ma mère m'envoyait régulièrement lui chercher du tissus de confection pour ses robes qu'elle faisait elle même. C'était dans une boutique loin du village où nous habitions, j'y allais en vélo, je me souviens de la boutique obscure.

Un jour je suis arrivé et c'est le patron qui était là. Je lui ai demandé mon tissus et il m 'a dit de le suivre dans l'arrière boutique. Là, il a mesuré et coupé le tissus. Au moment de me le donner il m'a dit que ma mère avait une dette envers lui mais que si je me montrais compréhensive il annulerait le dette. J'étais au courant de la situation qui gênait fortement ma mère qui était peu fortunée. Je ne sais pas ce qui m'a prise, j'ai accepté. Sans doute me suis-je dit que je n'entendrais plus ma mère se plaindre de cette dette.

Il s'est avancé et m'a annoncé ses conditions, j'ai accepté et il m'a fait pencher sur la table où étaient les rouleaux de tissus. Il a écarté les rouleaux et m'a fait m'accouder au comptoir, après il a soulevé ma robe et m'a caressé les fesses. Il m'a un peu masturbé et de ses doigts mouillés il m'a lubrifié mon anus en faisant entrer ses doigts. Quand il m'a jugé prête, il a présenté son sexe pour entrer.

Ce que je ne savais pas, c'est que cet homme était fortement membré, il a poussé son gland contre mon trou qui s'est écarté mais pas suffisamment. Il a poussé encore au point de me faire mal et j'ai hurlé, son gland est tout juste entré, mais je me tordais de douleur sous lui. Il m'a tenu en place pendant qu'il forçait le passage, j'ai crié, j'ai hurlé, mais il a continué jusqu'à ce que sa bite me prenne entièrement. Je souffrais et serrais les dents pour ne pas hurler davantage tandis qu'il continuait à progresser en moi ; Je n'en pouvais plus de douleur et je l'ai supplié de s'arrêter un instant. Il a consenti à suspendre sa pénétration et s'est mis à me peloter les seins pendant ce temps. Je serrais les dents en essayant de surmonter ma douleur. Au bout d'un temps qui m'a parut très long, la douleur a semblé diminuer et l'homme a jugé que cela suffisait, il a poussé un grand coup et j'ai cru qu'il me déchirait pour de bon. J'ai hurlé tant la brûlure fut intense. Mais il n'en tint pas compte et commença à me pistonner avec vigueur. Sous lui je tentais de m'échapper et criais de souffrance sans attirer la pitié de mon bourreau. Il m'a limé ainsi sans relâche pendant une demie heure qui m'a parut un siècle avant d'éjaculer dans mes profondeurs. J'ai accueilli son sperme avec soulagement, il me lubrifiait en même temps qu'il annonçait la fin du supplice.

En effet l'homme n'a pas tarder à se retirer, mais en reculant il a appelé quelqu'un qui était derrière nous et nous épiait. C'était son fils, il lui a dit de venir et de profiter de l'occasion qui était offerte.

Le fils ne le s'est pas fait dire deux fois, il était déjà en moi et me limait férocement. Heureusement il était moins membré que son père et je le laissais faire avec soulagement. Il a éjaculé une première fois et a continué jusqu'à une seconde éruption de sperme.

Après cela, les deux hommes ont jugé que je pouvais m'en aller, ils ont porté le tissus jusqu'au vélo et m'ont regardé partir, ensembles sur le pas de leur porte. J'avais très mal aux fesses et ne pouvais m'asseoir sur la selle, ils ont ricané dans mon dos en me voyant partir ainsi en danseuse sur mon vélo.

Sans doute était on au courant dans le village, les hommes me regardaient passer avec un air ironique, ce fut l'humiliation de ma vie. »

Pendant que j'écoute cette confession, je suis toujours dans son ventre et l'évocation de l'aventure a fait gonfler mon sexe. Imperceptiblement d'abord mes reins se mettent en mouvement, et de plus en plus franchement au fur et à mesure que maman déroule son récit. J'ai l'impression d'être le marchand de tissus qui s'acharne sur son cul, ma queue, dure comme un bâton de buis perfore le trou sombre de son anus.

« Comme tu as du avoir mal ! » je m'exclame quand elle a fini.

« La douleur ne m'a pas quitté d'une semaine entière, j'avais beaucoup de mal à me tenir assise. »

« Et mamie, qu'est ce qu'elle a dit ? »

« Oh ! rien, elle n'a rien dit mais je savais rien qu'à sa façon de me regarder qu'elle devinait ce qui c'était passé, et par la suite je ne suis jamais retourné chez le marchand de tissus »

« Est ce que tu veux dire qu'elle savait ce qu'elle faisait en t 'envoyant là-bas ? »

« J'y ai pensé sans jamais oser rien demander, le poids des tabous est très fort de par chez nous tu le sais bien. Mais j'ai bien l'impression d'avoir été l'objet d 'un marchandage. D'ailleurs plusieurs personnes m'ont confié s'être acquitté de leur dette de cette façon, c'était monnaie courante dans le pays ».

Maman me fait bander comme un cerf a l'évocation de toutes ces histoires et je la lime de plus belle, la bite bien enfoncée entre ses fesses. L'envie de jouir monte à nouveau depuis mes couilles, j'en fais part à maman « Je sens que ça vient, je vais jouir encore en toi ! ».

« Attend un peu, s'il te plait, je ne suis pas encore prête. »

Désirant lâcher mon jus je me décide à l'exciter davantage en me saisissant de ses deux plantureux nichons que je pelote vigoureusement. Les seins de maman ont tant gagnés en volume que je ne peux les tenir tout entier en main, je les masse jusqu'aux tétons durs et gros qui se tendent à mes caresses. « Tes seins ont beaucoup grossis », « C'est l'unique avantage d'une grossesse, ils sont plus sensibles aussi, tu m'excites à les caresser comme tu fais ! Oh mon dieu comme tu m'excites ! je vais jouir moi aussi ! ».

Je laisse monter son plaisir au gré de mes mains et de ma bite qui oeuvrent pour son nirvana : mes reins enfoncent mon dard dans ses tripes et mes doigts agacent les pointes sensibles de ses nichons que je sens prêts à éclater de bonheur.

Sa jouissance est aussi subite qu'imprévue : maman lance un long son rauque et douloureux, profondément érotique. Un son qui n'a rien d'humain mais vient de loin à travers l 'univers du plaisir. Elle reprend bruyamment son souffle comme le plongeur resté trop longtemps en apnée et relance son cri de nulle part. Elle me fait peur tant sa jouissance est intense, elle se tord sur le lit et semble m'échapper et puis se met à murmurer à mon oreille « Vas-y met moi ton foutre, vas-y, donne moi ton jus de bite, donne moi tes spermatozoïdes, je veux tout en moi, donne, donne ! ». Son dernier mot est un ordre et je m'empresse de lâcher la vanne de mon plaisir pour me répandre aussi loin que me permet ma queue dans le colon de maman.

Son délire continue pendant que le foutre se répand en elle, « Oui mon garçon, oui, donne à ta mère ce qu'il y a de meilleur en toi, je veux te vider complètement, pomper tes couilles pour qu'il n'y reste plus rien pour d'autres femmes, je veux tout ton jus, toujours, même si je dois avorter tous les mois, j'ai trop de plaisir à sentir ton sexe dans mon ventre ! ».

« Maman, maman ! » je bégaye, la rejoignant dans son délire érotique, serrant la chair de ses seins à lui faire mal. « Je te donnerai toujours tout le jus de ma bite, c'est promis ! ».

La dessus, elle s'abat sur le lit telle une masse et s'effondre en sanglots longs et inextinguibles. Je ne sais plus que faire tant les larmes affluent à ses yeux noyés de brume. J'ai l'air con à coté de cette femme qui a cherché un instant l'échappatoire à son drame.

Timidement je lui mets la main sur l'épaule et essaie de l'attirer dans mes bras, elle résiste, j'insiste, elle cède et tombe au creux de ma poitrine où mes bras se referment sur son corps. Elle continue à sangloter au creux de mon épaule, tout son être est secoué par les larmes et je finis de la rejoindre dans son désespoir.

C'est ainsi que nous trouvons un sommeil lourd et perturbé qui finit par nous engloutir dans son néant.

*

Le lendemain matin, lorsque j'ouvre les yeux, maman est toujours dans mes bras, elle est belle quand elle dort ainsi. Dans la nuit, elle a fini de se débarrasser de ses dessous que je n'avais pas ôté et elle gît nue au creux de mon corps. Le contact de son épiderme me provoque une nouvelle érection matinale sans que je puisse rien contrôler et voilà mon sexe dur qui pousse contre son flanc. Maman soupire, son réveil n'est pas loin et il lui vient un début de conscience, elle appuie davantage son flanc contre mon sexe et en reconnaît la fermeté. Ses bras m'enlacent, elle se retourne sur le dos et m'entraîne à sa suite. Aussitôt ses cuisses s'ouvrent et je glisse entre elles. Mon gland n'a aucun mal à forcer sa fente et me voilà encore en sa chatte. Je me mets à la limer lentement, elle n'a pas encore ouvert les yeux et se laisse faire avec délice, le corps tout alangui de sommeil. Nous ne recherchons pas la baise à tout prix, juste le plaisir d'une rencontre, nous accomplissons juste la complémentarité de nos corps. C'est un moment de pur délice, mes reins pulsent lentement mon membre dans le vagin chaud et gras qui s'ouvre en cadence, suçant ma queue comme le ferait une bouche, nous laissons filer le cours de l'eau.

Ce n'est que bien plus tard que nous nous rejoignons dans la jouissance, je laisse aller mon plaisir après avoir averti maman de l'imminence de celui-ci et après qu'elle m'eut donné son feu vert, je me laisse aller en elle en spasmes langoureux et la remplis encore de ma liqueur.

Ce sera notre seul moment de plaisir en ce Dimanche de Novembre, bien vite nous retombons tous les deux dans la morosité. En fin de matinée, maman me demande d'aller acheter le pain, je saisis l'occasion pour fuir momentanément l'ambiance lourde de l'appartement.

Dans l'escalier je croise les deux scouts du dessus qui reviennent de la messe, nous nous saluons et comme je continue à descendre, je croise monsieur et madame Lefait, qui suivent leurs enfants. Eux aussi reviennent de la messe, monsieur précédent madame, je suis frappé de leur différence d'age du couple : monsieur en pardessus gris et chapeau mou, accuse bien quarante cinq ans. Je le salue au passage et il me grogne un vague bonjour. Madame est en manteau beige et chapeau elle aussi, mais son visage est celui d'une femme au début de sa trentaine, elle me lance un sourire équivoque suivit d'une œillade et tandis que je la croise et laisse traîner une main sur le haut de ma cuisse. Un peu soufflé par son audace, je dévale l'escalier jusqu'au rée de chaussé et m'enfuis par la rue jusqu'au boulanger.

Dimanche interminable, sinistre et pluvieux. Il pleut tant que je ne peux prétendre rejoindre un copain, en définitive, je décide d'avancer mon travail scolaire et me plonge dans l'étude et la rêverie.

Maman a décidé de faire ses travaux managers, machinalement elle vaque à travers la maison, son esprit est visiblement ailleurs, vers une maison lointaine et improbable où vit un vieux docteur acariâtre.

Vers le soir, je descend à la cave chercher le seau de charbon qui nous réchauffera le corps à défaut du cœur, et je croise bien sur madame Lefait dans le même exercice que moi. Le seau à la main nous nous regardons dans la lumière pauvre de la cave et nous nous embrassons fougueusement. « Je t'attends Mercredi ! » me lance-t-elle dans un souffle, « j'ai trop envie de toi, je vous ai entendu hier soir et je me suis masturbé en pensant à toi, au moins, tu l'as fait jouir ta mère. Comme j'aimerais être à sa place ! ». « Peut être pas en ce moment ! » pensais-je à cet instant. Nous nous quittons sur une promesse d'un Mercredi chaud et je retourne à l'appartement où m'attend mon calvaire. Vivement Lundi, c'est ce que je me dis, au moins l'école m'offrira ce dérivatif pour ne plus penser à ce lourd secret entre maman et moi.

*

Je me concentre sur mon travail tout au long de ce jour, faisant abstraction de tout ce qui est en dehors des études, je ne m'intéresse même pas aux copains qui chahutent où qui veulent se faire remarquer. La journée en fin de compte me paraît courte et je suis tout étonné d'entendre la cloche annonçant la sortie.

Je traîne les pieds jusqu'à l'appartement et monte les escaliers comme s'il s'agissait d'un échafaud. Maman m'accueille sur le palier et son visage me sourit pour la première fois depuis des semaines. Déjà le l'interroge du regard, avant même d'avoir refermé la porte, et lorsque celle-ci se clos dans mon dos je lance avec espoir « alors ? ».

« J'ai réussi à obtenir un rendez vous ! » . J'émets un soupir de soulagement si profond que la tête me tourne, je tends les bras vers les murs pour me retenir.

« Seulement, le rendez vous est pour dans quinze jours » poursuit maman. Je la regarde, « Cela fera combien de temps que tu seras enceinte ? »

« Deux bons mois d'après mes calculs, mais c'est tout à fait acceptable, tant qu'on ne dépasse pas les trois mois, il n'y a pas trop de complications. »

« On arrose ça ! » je lance dans mon enthousiasme retrouvé.

« Ne soit pas trop pressé, il y a encore du chemin à faire avant de tout régler : il m'a dit de venir avec du liquide, il ne veut pas de chèques et il m'a dit d'être à l'heure et très discrète. Il prétend que sa maison est surveillée par la police. » Cette évocation me donne froid dans le dos, j'imagine maman partant entre deux gendarmes.

« Je viendrai avec toi ! »

« Il me faudra de l'aide car je risque d'être mal après l'intervention. »

« Où habite ce docteur ? »

« C'est en banlieue lointaine, un coin assez retiré d'après ce qu'il m 'a dit, il y a de la marche à pieds jusqu'à chez lui, mais il m'a donné son adresse . »

Le goûter qui suit est le meilleur depuis un bon moment, je retrouve la saveur des choses de la vie et l'insouciance de mon age. Je suis si heureux que je gratifie maman de caresses tant et si bien que nous nous retrouvons à faire l'amour dans la cuisine. Nous nous embrassons et nous pelotons comme des amants d'un jour, curieux de découvertes, nous sommes excité et lubriques comme jamais et je finis par lui dire de s 'appuyer à la table pendant que par derrière je remonte jupe et combinaison jusqu'à sa taille avant d'écarter le slip et de la prendre à la hussarde. Je lime férocement entre ses fesses avant de décharger rapidement et goulûment dans son vagin chaud et accueillant.

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